Des chercheurs des universités de Princeton et d'Oxford, et du département américain de l'énergie ont annoncé une avancée dans le domaine de l'informatique quantique. Ils ont ainsi combiné un électron, un cristal de silicone et le noyau d'un atome de phosphore pour stocker une information quantique. La combinaison de l'électron et d'un nucléon permet de bénéficier à la fois de la vitesse de calcul de l'électron et de la capacité de mémoire du nucléon. Pour le moment, les chercheurs n'ont pu stocker l'information qu'une fraction de seconde, mais ils espèrent à terme pouvoir prolonger cette durée à deux secondes.
D'après leurs recherches, si un système quantique peut stocker une information durant au moins une seconde, les techniques de correction des erreurs permettraient ensuite de protéger la donnée durant une période de temps indéfinie.
D'après leurs recherches, si un système quantique peut stocker une information durant au moins une seconde, les techniques de correction des erreurs permettraient ensuite de protéger la donnée durant une période de temps indéfinie.
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