Le service de renseignement britannique pour la cybersécurité (NCSC) estime possible de limiter les risques liés à l'utilisation dans la 5G d'équipements du géant chinois des télécoms Huawei, révèle lundi le Financial Times. Cette décision va à rebours des efforts déployés par les États-Unis pour contrer le développement de Huawei dans les pays occidentaux, Washington s'inquiétant de liens éventuels entre le groupe et les services de renseignement chinois.
Selon le quotidien britannique, qui s'appuie sur deux personnes proches du dossier, le NCSC pense qu'il y a plusieurs manières de gérer les risques posés par Huawei dans le déploiement de la technologie 5G au Royaume-Uni. Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a, de son côté, affirmé que son gouvernement « a toujours encouragé les entreprises chinoises opérant à l'étranger à respecter les lois locales ». La conclusion du service de renseignement devrait peser dans la décision que le gouvernement britannique doit prendre en mars ou avril sur l'utilisation de Huawei dans la 5G.
Selon le quotidien britannique, qui s'appuie sur deux personnes proches du dossier, le NCSC pense qu'il y a plusieurs manières de gérer les risques posés par Huawei dans le déploiement de la technologie 5G au Royaume-Uni. Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a, de son côté, affirmé que son gouvernement « a toujours encouragé les entreprises chinoises opérant à l'étranger à respecter les lois locales ». La conclusion du service de renseignement devrait peser dans la décision que le gouvernement britannique doit prendre en mars ou avril sur l'utilisation de Huawei dans la 5G.
Envoyer une nouvelle à un ami