Officiellement ouvert le mois dernier, le FlyZoo, établissement de 290 chambres, est un incubateur technologique qu’Alibaba entend vendre à terme au secteur hôtelier mais aussi opportunité de montrer son expertise en matière d’intelligence artificielle (IA). C’est également une expérience qui teste le degré de confort des consommateurs avec des services sans relations humaines en Chine - un pays où la technologie intrusive du partage de données est facilement tolérée. À l’intérieur de l’hôtel, des murs lambrissés de blanc et légèrement éclairés rappellent les intérieurs des vaisseaux spatiaux des studios d’Hollywood. Les clients se présentent devant des appareils qui scannent leur visage, les passeports et autres pièces d’identité. Dans les ascenseurs, les visages sont à nouveau scannés pour vérifier à quel étage les clients peuvent accéder. C’est encore grâce à un autre scan que la porte de la chambre s’ouvre. Dans les chambres, l’assistant vocal d’Alibaba permet de modifier la température, fermer les rideaux, régler l’éclairage et faire appel au room service.
Au restaurant de l’hôtel, de plus grands robots livrent les repas que les clients ont commandés via l’application FlyZoo, tandis que dans un bar, un robot en forme de bras peut réaliser plus de 20 types de cocktails différents. Les caméras de reconnaissance faciale permettent de mettre la note directement sur le compte de la chambre. Pour régler, il suffit aux clients de cliquer sur le bouton de l’application et le prix de leur séjour est automatiquement débité sur leur portefeuille en ligne d’Alibaba. Une fois toutes ces opérations terminées, les scans des visages sont immédiatement effacés des systèmes d’Alibaba, assure Andy Wang. FlyZoo emploie des êtres humains, mais Alibaba ne souhaite pas dire combien. Le personnel comprend des responsables, des agents de nettoyage et des réceptionnistes, qui proposeront des enregistrements plus conventionnels pour les clients réticents à se faire scanner le visage et qui préfèrent utiliser des clés électroniques.
Au restaurant de l’hôtel, de plus grands robots livrent les repas que les clients ont commandés via l’application FlyZoo, tandis que dans un bar, un robot en forme de bras peut réaliser plus de 20 types de cocktails différents. Les caméras de reconnaissance faciale permettent de mettre la note directement sur le compte de la chambre. Pour régler, il suffit aux clients de cliquer sur le bouton de l’application et le prix de leur séjour est automatiquement débité sur leur portefeuille en ligne d’Alibaba. Une fois toutes ces opérations terminées, les scans des visages sont immédiatement effacés des systèmes d’Alibaba, assure Andy Wang. FlyZoo emploie des êtres humains, mais Alibaba ne souhaite pas dire combien. Le personnel comprend des responsables, des agents de nettoyage et des réceptionnistes, qui proposeront des enregistrements plus conventionnels pour les clients réticents à se faire scanner le visage et qui préfèrent utiliser des clés électroniques.
Envoyer une nouvelle à un ami