Les divisions de la Silicon Valley se sont accentuées mardi après le limogeage par Google d'un ingénieur auteur d'une note critique de la politique de parité de l'entreprise. James Damore, âgé de 28 ans, auteur de la note en question, a reçu des huées mais aussi quelques offres d'emploi après son départ de Google. Il a confirmé lundi son licenciement par la filiale d'Alphabet, précisant avoir été remercié pour "perpétuation des stéréotypes de genre". Il défendait notamment l'idée que les hommes étaient en général mieux adaptés à un travail de codeur que les femmes, un point de vue dénoncé comme misogyne par de nombreux commentateurs mais salué dans la droite conservatrice comme un discours anti-politiquement correct salvateur.
"Quiconque dévie des points de discours de la gauche libérale est méprisé, montré du doigt et forcé vers la sortie" estimait Andrew Torba, directeur général du réseau social Gab, se disant prêt à embaucher l'ingénieur. Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange lui a également proposé un emploi, jugeant sur Twitter que "la censure, c'est pour les losers".
"Quiconque dévie des points de discours de la gauche libérale est méprisé, montré du doigt et forcé vers la sortie" estimait Andrew Torba, directeur général du réseau social Gab, se disant prêt à embaucher l'ingénieur. Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange lui a également proposé un emploi, jugeant sur Twitter que "la censure, c'est pour les losers".
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