Les autorités européennes de la concurrence ont déclaré aujourd'hui qu'elles avaient accordé à Google six semaines supplémentaires, soit jusqu'au 7 septembre, pour répondre aux accusations de position dominante liée à son système d'exploitation pour appareils mobiles Android dont il fait l'objet.
En avril, la Commission européenne reprochait à Google de limiter le choix des consommateurs et de freiner l'innovation en imposant aux fabricants de téléphones mobiles et de tablettes de préinstaller les applications Google Search et Google Chrome sur leurs appareils. S'il était déclaré coupable, le groupe américain pourrait écoper d'une amende allant jusqu'à 10% de son chiffre d'affaires, soit 6,68 milliards d'euros.
En avril, la Commission européenne reprochait à Google de limiter le choix des consommateurs et de freiner l'innovation en imposant aux fabricants de téléphones mobiles et de tablettes de préinstaller les applications Google Search et Google Chrome sur leurs appareils. S'il était déclaré coupable, le groupe américain pourrait écoper d'une amende allant jusqu'à 10% de son chiffre d'affaires, soit 6,68 milliards d'euros.
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