Et voici donc une nouvelle vague de protestations contre la violation de la licence GPL par de grosses entreprises du secteur IT.

Dans les noms des vendeurs, on retrouve les non moins célèbres Motorola, Acer, AOpen, Micronet, Buffalo et Trendware. De plus en plus de constructeurs font confiance ou utilisent Linux dans leurs produits mais ils n'ont pas encore apparemment l'habitude du fonctionnement de la GPL et du retour qu'ils sont obligés de faire en terme de distribution de sources et d'autres obligations envers les auteurs du projet sous licence GPL.

En effet, il faut apprendre à éduquer nos amis les décideurs et leur faire comprendre que le libre ne veut pas dire le domaine public. En effet, si les développeurs du libre veulent permettre à tout le monde d'utiliser leurs logiciels de façon gratuite et aussi libre que possible, ils n'abandonnent pas leurs droits sur les logiciels et reste donc protégé par le copyright et la GPL.