Facebook a reconnu collecter des informations sur le lieu où se trouve chacun de ses utilisateurs en permanence, qu’ils aient activé la géolocalisation ou pas, pour des raisons de sécurité et à des fins publicitaires. Chris Coons, sénateur démocrate, et Josh Hawley, élu républicain, ont écrit au géant des réseaux sociaux il y a près d’un mois pour lui demander des comptes sur la façon dont il collecte ce type de données. «Nous nous inquiétons de l’éventualité que Facebook puisse ne pas offrir à ses usagers le niveau de contrôle (sur leurs données) que les paramètres laissent entendre», ont-ils écrit, avant de poser des questions directes. «Même si vous désactivez l’option “position”, ils continuent de traquer votre emplacement pour faire de l’argent (en vous envoyant des pubs)», continue-t-il. «Pas de contrôle sur vos infos personnelles. […] C’est pour ça que le Congrès doit agir».
Aux États-Unis, seule la Californie a ratifié une loi sur la protection de la vie privée et des données personnelles des consommateurs. De nombreux représentants appellent à une loi fédérale sur le sujet. Dans sa réponse aux sénateurs, Facebook rappelle que les données de localisation permettent notamment aux utilisateurs de partager le lieu où ils se trouvent ou de faire des recherches dans un certain périmètre. Ces informations «nous aident à mettre en avant des contenus plus appropriés et à améliorer les publicités», détaille le réseau. Quand les personnes désactivent la géolocalisation, la plateforme dispose tout de même d’indices. Mais ce sont surtout les adresses IP qui trahissent les utilisateurs soucieux de confidentialité.Dans ce cas, Facebook précise néanmoins s’arrêter au niveau de la ville ou du code postal, sans chercher à aller plus loin, sauf pour des questions de sécurité.
Aux États-Unis, seule la Californie a ratifié une loi sur la protection de la vie privée et des données personnelles des consommateurs. De nombreux représentants appellent à une loi fédérale sur le sujet. Dans sa réponse aux sénateurs, Facebook rappelle que les données de localisation permettent notamment aux utilisateurs de partager le lieu où ils se trouvent ou de faire des recherches dans un certain périmètre. Ces informations «nous aident à mettre en avant des contenus plus appropriés et à améliorer les publicités», détaille le réseau. Quand les personnes désactivent la géolocalisation, la plateforme dispose tout de même d’indices. Mais ce sont surtout les adresses IP qui trahissent les utilisateurs soucieux de confidentialité.Dans ce cas, Facebook précise néanmoins s’arrêter au niveau de la ville ou du code postal, sans chercher à aller plus loin, sauf pour des questions de sécurité.
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