Les politiciens américains s'inquiètent actuellement de la publicité par la société Phorm. Nous avions abordé le problème il y a peu, la société ayant en effet un principe peu orthodoxe pour analyser les habitudes des utilisateurs. La technique n'est plus d'analyser le contenu du site sur lequel vous vous trouvez mais d'analyser le contenu des paquets qui transitent via votre connexion web, et ce grâce à un accord avec votre ISP, et d'ensuite vous proposer de la publicité suivant les autres sites que vous visitez.
La classe politique n'appréciant que peu ce phénomène a commencé son enquête auprès des 30 acteurs majeurs en matière de fourniture d'accès pour savoir si oui ou non ils comptent utiliser une technique similaire. Ils ont posé la même questions à 3 autres acteurs de l'Internet à savoir Google, Yahoo! et Microsoft.
Google sera le premier à répondre publiquement en affirmant haut et fort qu'ils n'utilisent en aucun cas de technique similaire. Sans renier le principe ils expliquent qu'ils préfèrent une technique d'opt-in et qu'ils n'ont pas envie de perdre la confiance que leur accorde les consommateurs. On en reparle dans 10 ans.
La classe politique n'appréciant que peu ce phénomène a commencé son enquête auprès des 30 acteurs majeurs en matière de fourniture d'accès pour savoir si oui ou non ils comptent utiliser une technique similaire. Ils ont posé la même questions à 3 autres acteurs de l'Internet à savoir Google, Yahoo! et Microsoft.
Google sera le premier à répondre publiquement en affirmant haut et fort qu'ils n'utilisent en aucun cas de technique similaire. Sans renier le principe ils expliquent qu'ils préfèrent une technique d'opt-in et qu'ils n'ont pas envie de perdre la confiance que leur accorde les consommateurs. On en reparle dans 10 ans.
Liens
Google tells Congress it's not Phorm (323 Clics)
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