La Corée du Sud étudie le principe d'une charte entre l'humanité et les robots .
La Corée du Sud , à la pointe de la recherche sur la robotique , a créé une commission de cinq experts qui sera chargée de définir les principes éthiques concernant les rôles et les fonctions des robots.Cette commission regroupe des scientifiques , des futurologues et un écrivain de science fiction.
La charte est basée sur les 3 lois de Isaac Asimov :
Première Loi : Un robot ne peut ni porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi. Source
Le charte visera également à assurer le contrôle de l'homme sur les robots, empêcher leur utilisation clandestine, protéger les données acquises par les robots et établir leur identification et leur traçabilité.
Le Réseau européen de recherche sur la robotique (EURON) a aussi son projet.
Source
La Corée du Sud , à la pointe de la recherche sur la robotique , a créé une commission de cinq experts qui sera chargée de définir les principes éthiques concernant les rôles et les fonctions des robots.Cette commission regroupe des scientifiques , des futurologues et un écrivain de science fiction.
La charte est basée sur les 3 lois de Isaac Asimov :
Première Loi : Un robot ne peut ni porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi. Source
Le charte visera également à assurer le contrôle de l'homme sur les robots, empêcher leur utilisation clandestine, protéger les données acquises par les robots et établir leur identification et leur traçabilité.
Le Réseau européen de recherche sur la robotique (EURON) a aussi son projet.
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