Alphabet, la maison mère de Google, a confirmé aujourd'hui qu'un de ses hauts cadres - accusé de harcèlement sexuel - venait de quitter le groupe, qui fait depuis une semaine face à une vive controverse autour de plusieurs autres cas de harcèlement qu'il aurait volontairement couverts. Cette annonce intervient alors que des salariés du groupe ont décidé d'organiser demain un débrayage symbolique pour protester contre la gestion par Google de ce sujet.
Rich DeVaul, un responsable de "X", la division d'Alphabet dédiée aux projets futuristes (ballons pour diffuser internet, drones de livraison...), a démissionné et n'a pas reçu d'indemnités, a fait savoir l'entreprise sans donner de détails, confirmant des informations de presse. Rich DeVaul faisait partie des cadres de haut rang "protégés" par Google alors qu'il les savait accusés de harcèlement, selon le New York Times. D'après le quotidien, il avait fait des avances en 2013 à une femme qui postulait à un emploi au sein du groupe.
Rich DeVaul, un responsable de "X", la division d'Alphabet dédiée aux projets futuristes (ballons pour diffuser internet, drones de livraison...), a démissionné et n'a pas reçu d'indemnités, a fait savoir l'entreprise sans donner de détails, confirmant des informations de presse. Rich DeVaul faisait partie des cadres de haut rang "protégés" par Google alors qu'il les savait accusés de harcèlement, selon le New York Times. D'après le quotidien, il avait fait des avances en 2013 à une femme qui postulait à un emploi au sein du groupe.
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