L'UE prépare une répression contre le flot croissant de colis provenant de détaillants en ligne asiatiques tels que Temu et Shein, suite à une forte augmentation du commerce électronique qui échappe en grande partie aux contrôles douaniers de l'UE. Les mesures envisagées comprennent une nouvelle taxe sur les revenus des plateformes de commerce électronique et des frais de traitement administratif par article qui rendraient la plupart des expéditions moins compétitives, selon cinq personnes au courant des discussions. Le commissaire européen au commerce, Maroš Šefčovič, a déclaré qu'environ 4 milliards de colis de faible valeur seront acheminés par avion vers l'UE cette année, soit près du triple du nombre de 2022. Le volume considérable et le fait qu'ils soient inférieurs au seuil de 150 € pour les droits de douane signifient que la plupart ne sont pas contrôlés, ce qui entraîne une augmentation des importations de marchandises dangereuses telles que les jouets toxiques.
Le nombre de produits dangereux signalés par les pays de l'UE a augmenté de plus de moitié pour atteindre plus de 3 400 en 2023 par rapport à l'année précédente. Les cosmétiques, les jouets, les appareils électriques et les vêtements figuraient parmi les produits présentant les plus grands problèmes de sécurité. L'Union enquête également sur Temu dans le but de réduire le flux de produits dangereux tels que les jouets et les cosmétiques qui ne répondent pas aux normes de l'UE. En vertu des lois sur les services numériques de Bruxelles, les sanctions potentielles comprennent de lourdes amendes et même l'interdiction pour les plateformes d'opérer dans un pays particulier.
Le nombre de produits dangereux signalés par les pays de l'UE a augmenté de plus de moitié pour atteindre plus de 3 400 en 2023 par rapport à l'année précédente. Les cosmétiques, les jouets, les appareils électriques et les vêtements figuraient parmi les produits présentant les plus grands problèmes de sécurité. L'Union enquête également sur Temu dans le but de réduire le flux de produits dangereux tels que les jouets et les cosmétiques qui ne répondent pas aux normes de l'UE. En vertu des lois sur les services numériques de Bruxelles, les sanctions potentielles comprennent de lourdes amendes et même l'interdiction pour les plateformes d'opérer dans un pays particulier.
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