L'ECTA, dont nous avons parlé récemment pour évoquer le ralentissement de la croissance de l'ADSL chez nous et notre terrible chute au classement, ajoute que le recul de la croissance de l'ADSL en Europe serait essentiellement dû aux opérateurs historiques.
La croissance sur le 3ème trimestre 2006 ne serait que de 14% pour l'Europe alors qu'elle était de 23% lors des 2 trimestres précédents. En France, au Danemark et en Finlande on pointe du doigt les opérateurs historiques qui bloquent de tous leur possible leurs clients et le marché. Cela empire encore en Espagne, Belgique, Grèce et au Luxembourg ou ces derniers détiennent encore plus de la moitié du marché.
En dehors de cela, l'Allemagne qui a des taux records de croissance s'en tire elle à moins de 50% de parts de marché pour son opérateur historique Deutsche Telekom. De la à faire la liaison, il n'y a qu'un pas.
La croissance sur le 3ème trimestre 2006 ne serait que de 14% pour l'Europe alors qu'elle était de 23% lors des 2 trimestres précédents. En France, au Danemark et en Finlande on pointe du doigt les opérateurs historiques qui bloquent de tous leur possible leurs clients et le marché. Cela empire encore en Espagne, Belgique, Grèce et au Luxembourg ou ces derniers détiennent encore plus de la moitié du marché.
En dehors de cela, l'Allemagne qui a des taux records de croissance s'en tire elle à moins de 50% de parts de marché pour son opérateur historique Deutsche Telekom. De la à faire la liaison, il n'y a qu'un pas.
Plus d'actualités dans cette catégorie
Commentaires
Vince:
L'ECTA accuse les opérateurs historiques
Pour parler de Deutsch Telekom:
http://www.presence-pc.com/actualite/Deutsche-Telekom-12765/
bref la libéralisation ne profite qu'à la sous-traitance, aux actionnaires puis peut-être au client car faut bien le piéger par qqchose, en l'occurrence par des prix plus alléchants. (cette réflexion ne s'applique pas qu'aux télécoms).
http://www.presence-pc.com/actualite/Deutsche-Telekom-12765/
bref la libéralisation ne profite qu'à la sous-traitance, aux actionnaires puis peut-être au client car faut bien le piéger par qqchose, en l'occurrence par des prix plus alléchants. (cette réflexion ne s'applique pas qu'aux télécoms).