Facebook a déclaré mercredi qu’il allait bannir de ses plateformes le soutien et l’apologie du nationalisme blanc, un changement de politique qui intervient après que des groupes de défense des droits civiques ont critiqué la firme américaine pour son manque d’action dans la lutte contre l’extrémisme. Le réseau social, de même que YouTube et Twitter, s’est retrouvé au coeur des critiques après qu’un suprémaciste blanc auteur de la fusillade contre deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, a diffusé en direct sur Facebook les images du massacre.
Dans un message, la firme américaine a précisé que la mesure entrerait en vigueur la semaine prochaine et qu’elle concernerait ses applications Facebook et Instagram. Jusqu’alors, Facebook supprimait des contenus et des pages faisant la promotion du suprémacisme blanc mais ne considérait pas le nationalisme blanc comme explicitement raciste.
Dans un message, la firme américaine a précisé que la mesure entrerait en vigueur la semaine prochaine et qu’elle concernerait ses applications Facebook et Instagram. Jusqu’alors, Facebook supprimait des contenus et des pages faisant la promotion du suprémacisme blanc mais ne considérait pas le nationalisme blanc comme explicitement raciste.
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