Facebook est très populaire en Birmanie, où responsables militaires, gouvernement civil et une myriades de groupes rebelles l'utilisent comme plateforme officielle. Mais ces derniers mois, afin de redorer son image, Facebook vise tous azimuts en Birmanie les divers acteurs des conflits ethniques et religieux. Le réseau social a placé mardi sur sa liste noire quatre groupes ethniques rebelles armés de Birmanie, dans le cadre de ses efforts de contrôle des « discours de haine » sur sa plateforme. Sont notamment visées l'Arakan Army (AA) et la Taaung National Liberation Army (TNLA), qui se sont distinguées par des attaques meurtrières récemment.
Une offensive de la TNLA, un des plus importants groupes rebelles dans le nord-est du pays a fait en mai 19 morts, dont 15 civils. Et treize policiers ont été tués en janvier dans des attaques de l'AA qui lutte en faveur d'une plus grande autonomie pour la population bouddhiste dans l'ouest de la Birmanie.
Une offensive de la TNLA, un des plus importants groupes rebelles dans le nord-est du pays a fait en mai 19 morts, dont 15 civils. Et treize policiers ont été tués en janvier dans des attaques de l'AA qui lutte en faveur d'une plus grande autonomie pour la population bouddhiste dans l'ouest de la Birmanie.
Envoyer une nouvelle à un ami