Alors que soupçons d'espionnage et restrictions d'accès à certains marchés pénalisent Huawei en Occident, un haut responsable du géant chinois des télécoms a accusé jeudi des « politiciens » d'orchestrer une campagne pour « nuire » à l'entreprise. Il a par ailleurs vanté une nouvelle envolée des ventes l'an dernier.
« Ils pensent qu'ils peuvent sans doute nous pénaliser avec ce brouhaha, qu'ils peuvent nous nuire. Mais nous avons une excellente réputation », a martelé Richard Yu, patron de la branche produits de consommation de Huawei. Devant des journalistes à Pékin, il s'est indigné : « Certains politiciens s'efforcent de nous influencer, de nous freiner, mais nous résistons plutôt bien ».
Huawei ne ménage pas sa peine pour tenter de prouver sa bonne foi et son innocuité : après avoir ouvert des laboratoires de test de ses équipements en Allemagne et au Royaume-Uni, en coopération avec les gouvernements locaux, il doit en ouvrir un à Bruxelles avant la fin du premier trimestre 2019.
« Ils pensent qu'ils peuvent sans doute nous pénaliser avec ce brouhaha, qu'ils peuvent nous nuire. Mais nous avons une excellente réputation », a martelé Richard Yu, patron de la branche produits de consommation de Huawei. Devant des journalistes à Pékin, il s'est indigné : « Certains politiciens s'efforcent de nous influencer, de nous freiner, mais nous résistons plutôt bien ».
Huawei ne ménage pas sa peine pour tenter de prouver sa bonne foi et son innocuité : après avoir ouvert des laboratoires de test de ses équipements en Allemagne et au Royaume-Uni, en coopération avec les gouvernements locaux, il doit en ouvrir un à Bruxelles avant la fin du premier trimestre 2019.
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