Facebook, Twitter et Alphabet ont supprimé mardi plusieurs centaines de comptes soupçonnés d’être liés à une campagne de propagande iranienne tandis que Facebook a mené une seconde vague de fermeture de pages liées à la Russie sur sa plateforme. Mark Zuckerberg a expliqué que les deux campagnes menées par FB étaient distinctes, la première montrant des liens avec des médias gouvernementaux iraniens et la seconde conduisant à des sources que Washington a identifiées comme les services du renseignement militaire russe.
Le Kremlin, par la voix de son porte-parole Dmitry Peskov, a dit ne pas comprendre le fondement de telles accusations et qu’elles apparaissaient comme “la copie conforme” de précédentes accusations déjà démenties. Les réseaux sociaux cherchent à prévenir toute nouvelle ingérence politique d’une puissance étrangère dans le déroulement des élections de mi-mandat qui auront lieu le mardi 6 novembre aux Etats-Unis.
Le Kremlin, par la voix de son porte-parole Dmitry Peskov, a dit ne pas comprendre le fondement de telles accusations et qu’elles apparaissaient comme “la copie conforme” de précédentes accusations déjà démenties. Les réseaux sociaux cherchent à prévenir toute nouvelle ingérence politique d’une puissance étrangère dans le déroulement des élections de mi-mandat qui auront lieu le mardi 6 novembre aux Etats-Unis.
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