Si de multiples constructeurs ont déjà cédé face à Microsoft, Motorola a toujours refusé de verser la moindre royaltie concernant ses smartphones utilisant Android. L'International Trade Commission a estimé aujourd'hui qu'un brevet de la firme de Redmond était en effet violé par Motorola dans certains de ses terminaux (dix-huit au total dont la Xoom, l'Atric ou le Droid). Une décision préliminaire, en attendant le jugement à partir du 20 avril 2012.

Ce brevet concerne la façon d'envoyer des invitations de rendez-vous à d'autres contacts depuis son téléphone portable et s'assurer que la requête a bien été transmise. D'ici là, Motorola aura le temps de développer une alternative sur ses terminaux.