TikTok tente de repousser le phénomène des deepfakes créés par l'intelligence artificielle (c'est-à-dire la modification du visage ou de la voix d'une personne). En fait, la plateforme a élargi la section des directives dédiées aux deepfakes, qui sont devenues de plus en plus populaires dans l'application ces derniers mois. La société a d'abord établi que les utilisateurs devront clairement divulguer quand un deepfake est utilisé dans le contenu. De plus, il est interdit d'utiliser l'outil si vous souhaitez représenter des personnalités non publiques. À cet égard, la société définit une personnalité publique comme toute personne âgée d'au moins 18 ans avec "un rôle public important, tel qu'un fonctionnaire du gouvernement, un homme politique, un dirigeant d'entreprise ou une célébrité." L'entreprise a alors précisé qu'elle ne permettra pas aux vidéos créées par l'intelligence artificielle de détourner le public ou de harceler de quelque manière que ce soit le visage de la personne utilisée. Par exemple, nous avons récemment vu du contenu deepfake montrant des personnalités publiques faisant des déclarations transphobes ou racistes. Malheureusement, il n'est pas rare que ce type de vidéos soit considéré comme original par certains utilisateurs.
Bref, la plateforme tente de limiter ce phénomène qui peut s'avérer assez dangereux. Dans le même temps, l'entreprise tente également de gérer la pression politique des gouvernements occidentaux , de plus en plus préoccupés par la collecte de données privées par l'application et son potentiel d'influence sur l'opinion publique. Par exemple, il semblerait que le gouvernement américain ait menacé d'interdire publiquement TikTok si le propriétaire ByteDance ne vendait pas sa participation.
Bref, la plateforme tente de limiter ce phénomène qui peut s'avérer assez dangereux. Dans le même temps, l'entreprise tente également de gérer la pression politique des gouvernements occidentaux , de plus en plus préoccupés par la collecte de données privées par l'application et son potentiel d'influence sur l'opinion publique. Par exemple, il semblerait que le gouvernement américain ait menacé d'interdire publiquement TikTok si le propriétaire ByteDance ne vendait pas sa participation.
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