Sorehara, une abréviation de « C'est du harcèlement » en japonais, a été conçu par un étudiant de 21 ans. Comme plusieurs applications et sites web nés du mouvement #metoo, il est destiné à aider les victimes d'abus à riposter en toute sécurité à leurs bourreaux. Il permet aux utilisateurs d'envoyer des plaintes anonymes par courrier électronique, sans enregistrer la moindre information personnelle, et gagne en popularité au Japon, en dépit de certaines inquiétudes sur le potentiel de son utilisation abusive.
Le harcèlement au travail attire de plus en plus l'attention alors que le mouvement #metoo s'enracine lentement au Japon. Les allégations de harcèlement sexuel ont récemment détrôné de hauts fonctionnaires, des vedettes de la pop et des professeurs. Mais le site ne se concentre pas uniquement sur les comportements sexuels inappropriés. Sorehara bouscule la société japonaise en permettant aux utilisateurs d'exprimer électroniquement leur désapprobation à ceux qui les offensent de toutes sortes de façons, y compris parce qu'ils ont mangé trop d'ail, qu'ils portent un parfum déplaisant ou qu'ils empestent la fumée de cigarette. Une version anglaise a été publiée récemment et une version en coréen est en préparation.
Le harcèlement au travail attire de plus en plus l'attention alors que le mouvement #metoo s'enracine lentement au Japon. Les allégations de harcèlement sexuel ont récemment détrôné de hauts fonctionnaires, des vedettes de la pop et des professeurs. Mais le site ne se concentre pas uniquement sur les comportements sexuels inappropriés. Sorehara bouscule la société japonaise en permettant aux utilisateurs d'exprimer électroniquement leur désapprobation à ceux qui les offensent de toutes sortes de façons, y compris parce qu'ils ont mangé trop d'ail, qu'ils portent un parfum déplaisant ou qu'ils empestent la fumée de cigarette. Une version anglaise a été publiée récemment et une version en coréen est en préparation.
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