Facebook a affirmé lundi ne pas être «au courant» d'un éventuel accès frauduleux aux données personnelles de ses utilisateurs et de leurs «amis» par les fabricants de téléphones portables il y a plusieurs années. Le réseau social a également dit «être en désaccord» avec les conclusions du quotidien New York Times, selon qui les fabricants auraient pu avoir accès aux données personnelles des utilisateurs sans obtenir leur consentement en installant une interface Facebook sur leur smartphone.
Ces transferts auraient pu avoir lieu après l'accord passé en 2011 entre Facebook et la Commission fédérale du commerce (FTC) afin de mieux protéger les données de ses utilisateurs qui ne pouvaient être transférées qu'avec leur consentement explicite.
Dans un communiqué, Facebook a rappelé qu'avant la création d'une application standardisée, une soixantaine de fabricants de téléphones comme Amazon, Apple, BlackBerry, HTC, Microsoft et Samsung avaient collaboré avec Facebook pour adapter une interface de la plateforme sur leurs appareils et dit ne pas être "au courant d'abus de la part de ces sociétés», a assuré Ime Archibong, vice-président des partenariats produits.
Ces transferts auraient pu avoir lieu après l'accord passé en 2011 entre Facebook et la Commission fédérale du commerce (FTC) afin de mieux protéger les données de ses utilisateurs qui ne pouvaient être transférées qu'avec leur consentement explicite.
Dans un communiqué, Facebook a rappelé qu'avant la création d'une application standardisée, une soixantaine de fabricants de téléphones comme Amazon, Apple, BlackBerry, HTC, Microsoft et Samsung avaient collaboré avec Facebook pour adapter une interface de la plateforme sur leurs appareils et dit ne pas être "au courant d'abus de la part de ces sociétés», a assuré Ime Archibong, vice-président des partenariats produits.
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