C'est un petit pas pour l'amérique, et un grand pas pour... pas grand monde en fait...
L'état de Washington aux Etats-Unis a décrèté que les spywares étaient illégaux, on en attendait pas moins, mais voila, c'est officiel, c'est mal d'espionner les gens. Donc, par violation de cette nouvelle loi, le fraudeur pourra faire face à des amendes de 100.000$, pas moins, et le champ d'action de la loi est assez vaste.
Dans l'état de Washington, il est donc interdit par exemple d'ouvrir plusieurs publicités dans le navigateur de l'utilisateur, de capturer ce que tape l'utilisateur frauduleusement, de prendre le contrôle de l'ordinateur, de modifier ses préférences de sécurité (comme de couper l'antivirus), et interférer d'une quelconque manière sur le fonctionnement d'un autre programme pour l'empêcher de fonctionner correctement comme par exemple couper un antivirus ou un firewall.
Bref, quelques bonnes idées en soit, mais de cadenasser cela dans une loi, aussi large soit-elle, laisse d'un côté un vide aux activités frauduleuses non reconnues comme telles et interfère d'un autre côté avec des activités légales comme la prise à distance d'un ordinateur via un logiciel spécialisé par exemple. Enfin, bonne ou pas ce n'est pas à nous de le dire, mais comme dirait un éminent politicien belge, mieux vaut une mauvaise décision que pas de décision du tout (sigh!).
L'état de Washington aux Etats-Unis a décrèté que les spywares étaient illégaux, on en attendait pas moins, mais voila, c'est officiel, c'est mal d'espionner les gens. Donc, par violation de cette nouvelle loi, le fraudeur pourra faire face à des amendes de 100.000$, pas moins, et le champ d'action de la loi est assez vaste.
Dans l'état de Washington, il est donc interdit par exemple d'ouvrir plusieurs publicités dans le navigateur de l'utilisateur, de capturer ce que tape l'utilisateur frauduleusement, de prendre le contrôle de l'ordinateur, de modifier ses préférences de sécurité (comme de couper l'antivirus), et interférer d'une quelconque manière sur le fonctionnement d'un autre programme pour l'empêcher de fonctionner correctement comme par exemple couper un antivirus ou un firewall.
Bref, quelques bonnes idées en soit, mais de cadenasser cela dans une loi, aussi large soit-elle, laisse d'un côté un vide aux activités frauduleuses non reconnues comme telles et interfère d'un autre côté avec des activités légales comme la prise à distance d'un ordinateur via un logiciel spécialisé par exemple. Enfin, bonne ou pas ce n'est pas à nous de le dire, mais comme dirait un éminent politicien belge, mieux vaut une mauvaise décision que pas de décision du tout (sigh!).
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