En janvier 2012, Facebook et des scientifiques californiens ont utilisé le système d'algorithmes du réseau social pour modifier les informations reçues par un groupe de 700.000 utilisateurs anglophones (sans les prévenir), afin d'étudier la "contagion émotionnelle", plus précisément, l'impact sur leur humeur des statuts positifs ou négatifs. Les résultats de cette expérience ont été publiés dans la revue scientifique américaine de l’Académie nationale des sciences (PNAS).
Forcément, la révélation d'une telle étude a généré de nombreuses préoccupations de la part des internautes. De son côté, Facebook a déclaré effectuer en permanence des recherches pour améliorer ses services et qu'une grande partie consiste à comprendre comment les gens répondent à différents contenus positifs ou négatifs ...
Forcément, la révélation d'une telle étude a généré de nombreuses préoccupations de la part des internautes. De son côté, Facebook a déclaré effectuer en permanence des recherches pour améliorer ses services et qu'une grande partie consiste à comprendre comment les gens répondent à différents contenus positifs ou négatifs ...
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