Facebook a annoncé mercredi un durcissement des conditions d'utilisation des vidéos en direct sur sa plate-forme ainsi qu'un partenariat de recherche doté de 7,5 millions de dollars (6,7 millions d'euros) pour améliorer ses capacités d'analyse des images, deux mois après les attentats de Christchurch en Nouvelle-Zélande. Ces mesures ont été dévoilées à quelques heures du lancement à Paris par le président français Emmanuel Macron et la Première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, de “l’appel de Christchurch” contre le terrorisme et l’extrémisme violent sur internet.
Le texte, qui n’a pas de portée contraignante, vise à accroître “la réactivité, l’anticipation, la transparence et la gestion de crise” des plates-formes et des Etats, explique-t-on à l’Elysée. Concernant Facebook Live, le premier réseau social mondial, qui employait jusque-là une politique de sanctions progressives, prévoit de mettre en place une stratégie dite de “première infraction”: si un usager enfreint les règles “les plus sensibles” de la plate-forme, explique Facebook, il se verra interdire l’utilisation du service pour une période donnée dès la première violation.
Le texte, qui n’a pas de portée contraignante, vise à accroître “la réactivité, l’anticipation, la transparence et la gestion de crise” des plates-formes et des Etats, explique-t-on à l’Elysée. Concernant Facebook Live, le premier réseau social mondial, qui employait jusque-là une politique de sanctions progressives, prévoit de mettre en place une stratégie dite de “première infraction”: si un usager enfreint les règles “les plus sensibles” de la plate-forme, explique Facebook, il se verra interdire l’utilisation du service pour une période donnée dès la première violation.
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