Le PDG de Facebook Mark Zuckerberg, actuellement en grande difficulté, a déclaré mardi qu'il ne prévoyait pas de démissionner de son poste de président du conseil d'administration, après une année très chahutée pour le réseau social. Il a également défendu le numéro deux de l'entreprise, Sheryl Sandberg, qui a été vivement critiquée pour sa gestion des crises récentes de l'entreprise.
Facebook est empêtrée cette année dans plusieurs affaires. L'entreprise doit d'abord encaisser les répercussions à la chaîne de l'ingérence russe sur sa plateforme dans l'élection présidentielle américaine de 2016, mais aussi le scandale de l'exploitation par la firme Cambridge Analytica de données d'utilisateurs à leur insu à des fins politiques, et une faille de sécurité ayant conduit au piratage de millions de comptes. Plus récemment, une enquête publiée par le New York Times a révélé que Facebook a induit le public en erreur à propos de ce qu'il savait sur l'ingérence russe et a eu recours à une entreprise de relations publiques, Definers, pour discréditer ses concurrents afin de détourner la colère populaire à son égard.
Facebook est empêtrée cette année dans plusieurs affaires. L'entreprise doit d'abord encaisser les répercussions à la chaîne de l'ingérence russe sur sa plateforme dans l'élection présidentielle américaine de 2016, mais aussi le scandale de l'exploitation par la firme Cambridge Analytica de données d'utilisateurs à leur insu à des fins politiques, et une faille de sécurité ayant conduit au piratage de millions de comptes. Plus récemment, une enquête publiée par le New York Times a révélé que Facebook a induit le public en erreur à propos de ce qu'il savait sur l'ingérence russe et a eu recours à une entreprise de relations publiques, Definers, pour discréditer ses concurrents afin de détourner la colère populaire à son égard.
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