Des parlementaires britanniques ont appelé à renforcer la régulation s'appliquant aux réseaux sociaux, en particulier Facebook, pour les empêcher de diffuser de fausses informations et d'agir comme des «gangsters numériques», dans un rapport publié lundi.
«Il faut une modification radicale du rapport de forces entre ces plateformes et le public. L'âge d'une autorégulation inadéquate doit toucher à sa fin», a déclaré Damian Collins, le président de la Commission sur le numérique, la culture, les médias et le sport de la Chambre des communes (DCMS). «Les droits des citoyens doivent être établis légalement, en exigeant des compagnies technologiques d'adhérer à un code de conduite inscrit dans la loi par la Parlement, et supervisé par un régulateur indépendant», a-t-il ajouté. «Les entreprises comme Facebook ne devraient pas être autorisées à se comporter comme des "gangsters numériques" dans le monde en ligne», souligne le rapport de plus de 100 pages.
Ce dernier appelle également le gouvernement britannique à mener une «enquête indépendante» sur l'«influence étrangère», russe notamment, et la désinformation lors du référendum sur le Brexit, mais aussi les élections législatives anticipées de 2017 et le référendum sur l'indépendance de l'Écosse en 2014.
«Il faut une modification radicale du rapport de forces entre ces plateformes et le public. L'âge d'une autorégulation inadéquate doit toucher à sa fin», a déclaré Damian Collins, le président de la Commission sur le numérique, la culture, les médias et le sport de la Chambre des communes (DCMS). «Les droits des citoyens doivent être établis légalement, en exigeant des compagnies technologiques d'adhérer à un code de conduite inscrit dans la loi par la Parlement, et supervisé par un régulateur indépendant», a-t-il ajouté. «Les entreprises comme Facebook ne devraient pas être autorisées à se comporter comme des "gangsters numériques" dans le monde en ligne», souligne le rapport de plus de 100 pages.
Ce dernier appelle également le gouvernement britannique à mener une «enquête indépendante» sur l'«influence étrangère», russe notamment, et la désinformation lors du référendum sur le Brexit, mais aussi les élections législatives anticipées de 2017 et le référendum sur l'indépendance de l'Écosse en 2014.
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