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blietaer
Je m'inquiète/interroge/félicite sur le fait qu'aucun sujet/article n'ait poussé ce jeudi, lendemain de l'émission "question à la une" dont le sujet était les puces RFID (Radio Frerquency Identification).
Je n'ose pourtant même pas/plus aller voir sur ADSL-bc le tollé que cela aura provoqué (if any).
Nous tenterons ici de ne pas tomber dans la critique exclusive de notre TRES chère chaîne publique que l'on adore détester, qui a pourtant fait un très bon reportage, mais toujours aussi brouillon, et se voulant trop "technologico-fiction".
Pour faire court, et si vous êtes toujours là, c'est plus mon passé d'électronicien que mon nouvel avenir de nerd qui titille le clavier, au vue de la centralisation du reportage posé sur...la puce.
Et la puce uniquement.
Soyons clair: il y a de forte chance que cette puce soit tout à fait inoffensive d'un point de vue/ hygiène/corps étranger dans le corps ou autre cause de tumeurs alarmante.
Pas plus qu'un piercing mal placé, un plan de prison tatoué ou une couleur de cheveux agressive, le porte de la pu-puce en sous-cutané n'est pas dangereux.
(jusqu'à preuve du contraire, ou coque en polymere instable, ou injection trop profonde (dans les tissus musculaires).
Une puce RFID est en grande partie constituée d'une boucle de cuivre (partie antenne) et d'une partie "mémoire" contenant le numéro d'identification.
C'est tout.
Et donc complètement passif.
Pas de piles.
C'est le signal qui traverse la puce qui fait tout.
Comme un radar.
Et bien qu'il en ait été question, c'est bien du lecteur RFID qu'il faut d'abord s'iinterroger.
Et on laisse pour le moment les aspects "vie privée", "piratage", "abus" etc... de côté pour le moment.
De fait, un petit scaning de l'épaule pour payer sa bière dans un bistrot, ne peut pas, à priori être plus nocif que le paquet de St-michel sans filtre qu'on y aura consommé, ni le port d'une montre à quartz, regarder le biberon de bébé chauffer dans le micro-onde, on les heures de GSM collé à l'oreille.
Un des exemples était le scanning d'un rayon de grand magasin, qui permettait en une passe, d'effectuer l'inventaire du stock des chemise et écharpes pour dames.
Il est aisé d'imaginer que la puissance d'un tel dispositif se mesure en quelques Watt et de sourire en voyant que le personnel qui le pilote n'a presque plus...de cheveux (ok, ok suspicion non fondée). De même le portique disposé à l'entrée du hangar et traversé par les clarks qui transportent les caisses de vêtement doit être suffisamment costaud pour pénétrer les cartons empilés.
Que penser alors d'une proposition (poussée à l'extrême, certes) de placer ce genre de détecteur au coin de chaque...rue?
Le but étant de pouvoir avoir une cartographie instantanée de la population et de "qui était où" exactement quand les terroristes (ou la CIA, c'est selon) ont placé des avions dans des tours?
Espérons juste que d'un point de vue écologique/esthétique, on reprendra les mêmes permis de bâtir que les antennes GSM, histoire de ne pas multiplier notre forêt d'antenne chère à Francis Cabrel.
Mais donc rien de bien grave ici dans l'immédiat, surtout au vu de ce qu'on a déjà accepté : bain de fréquence radio quotidien, aux parfums de wifi, satellite, FM, VHF,...et puis le soleil n'est-il pas radioactif après tout? Il faut bien choisir son cancer, non?
Quant à l'application "child-focus" des nouveaux nés, l'idée qu'une puce injectée dans le bras ou la jambe puisse empêcher une personne mal intentionnée de kidnapper le nourrisson se heurte à la possibilité que celle-ci dispose d'une bonne scie à métaux ou un vulgaire cutter...on entendra donc bientôt parler du débat: "préférez-vous perdre votre enfant entier, ou le retrouver amputé?"
Regardons maintenant le système de plus près.
Une puce.
16 chiffres.
(ca, va il y en aura pour tout le monde, c'est même plus qu'une adresse IP)
Et c'est tout.
En effet, n'en déplaise à l'amicale des combattants du RFID de Namur, la puce en soit ne contient AUCUNE information (sauf nouveau modèle...)
On en veut pour preuve ce vétérinaire qui, une fois le code de la puce du chien "lue" doit être encodée ( et à la main, quelle farce!) sur son ordinateur pour le confronter à une base de donnée (tout à fait ouverte, soit dit en passant...) des chiens.
Et c'est précisément là qu'on peut commencer à parler d'abus ou de dangers.
En effet, tout ce qui est informatisé est piratable.
On peut donc, sans même être à portée RFID de la personne, modifier son listing.
Ce n'est pas nouveau, c'est simplement le danger inhérent au fait de créer des base de données d'informations sur les gens.
De là on peut imaginer toutes les dérives possibles...jusqu'à être "effacé"
On est donc aussi rassuré quand la doctoresse nous dit que, peu importe le groupe sanguin reporté par la puce, on refera un test quand on vous retrouvera inanimé.
Ouf!
Je n'ose pourtant même pas/plus aller voir sur ADSL-bc le tollé que cela aura provoqué (if any).
Nous tenterons ici de ne pas tomber dans la critique exclusive de notre TRES chère chaîne publique que l'on adore détester, qui a pourtant fait un très bon reportage, mais toujours aussi brouillon, et se voulant trop "technologico-fiction".
Pour faire court, et si vous êtes toujours là, c'est plus mon passé d'électronicien que mon nouvel avenir de nerd qui titille le clavier, au vue de la centralisation du reportage posé sur...la puce.
Et la puce uniquement.
Soyons clair: il y a de forte chance que cette puce soit tout à fait inoffensive d'un point de vue/ hygiène/corps étranger dans le corps ou autre cause de tumeurs alarmante.
Pas plus qu'un piercing mal placé, un plan de prison tatoué ou une couleur de cheveux agressive, le porte de la pu-puce en sous-cutané n'est pas dangereux.
(jusqu'à preuve du contraire, ou coque en polymere instable, ou injection trop profonde (dans les tissus musculaires).
Une puce RFID est en grande partie constituée d'une boucle de cuivre (partie antenne) et d'une partie "mémoire" contenant le numéro d'identification.
C'est tout.
Et donc complètement passif.
Pas de piles.
C'est le signal qui traverse la puce qui fait tout.
Comme un radar.
Et bien qu'il en ait été question, c'est bien du lecteur RFID qu'il faut d'abord s'iinterroger.
Et on laisse pour le moment les aspects "vie privée", "piratage", "abus" etc... de côté pour le moment.
De fait, un petit scaning de l'épaule pour payer sa bière dans un bistrot, ne peut pas, à priori être plus nocif que le paquet de St-michel sans filtre qu'on y aura consommé, ni le port d'une montre à quartz, regarder le biberon de bébé chauffer dans le micro-onde, on les heures de GSM collé à l'oreille.
Un des exemples était le scanning d'un rayon de grand magasin, qui permettait en une passe, d'effectuer l'inventaire du stock des chemise et écharpes pour dames.
Il est aisé d'imaginer que la puissance d'un tel dispositif se mesure en quelques Watt et de sourire en voyant que le personnel qui le pilote n'a presque plus...de cheveux (ok, ok suspicion non fondée). De même le portique disposé à l'entrée du hangar et traversé par les clarks qui transportent les caisses de vêtement doit être suffisamment costaud pour pénétrer les cartons empilés.
Que penser alors d'une proposition (poussée à l'extrême, certes) de placer ce genre de détecteur au coin de chaque...rue?
Le but étant de pouvoir avoir une cartographie instantanée de la population et de "qui était où" exactement quand les terroristes (ou la CIA, c'est selon) ont placé des avions dans des tours?
Espérons juste que d'un point de vue écologique/esthétique, on reprendra les mêmes permis de bâtir que les antennes GSM, histoire de ne pas multiplier notre forêt d'antenne chère à Francis Cabrel.
Mais donc rien de bien grave ici dans l'immédiat, surtout au vu de ce qu'on a déjà accepté : bain de fréquence radio quotidien, aux parfums de wifi, satellite, FM, VHF,...et puis le soleil n'est-il pas radioactif après tout? Il faut bien choisir son cancer, non?
Quant à l'application "child-focus" des nouveaux nés, l'idée qu'une puce injectée dans le bras ou la jambe puisse empêcher une personne mal intentionnée de kidnapper le nourrisson se heurte à la possibilité que celle-ci dispose d'une bonne scie à métaux ou un vulgaire cutter...on entendra donc bientôt parler du débat: "préférez-vous perdre votre enfant entier, ou le retrouver amputé?"
Regardons maintenant le système de plus près.
Une puce.
16 chiffres.
(ca, va il y en aura pour tout le monde, c'est même plus qu'une adresse IP)
Et c'est tout.
En effet, n'en déplaise à l'amicale des combattants du RFID de Namur, la puce en soit ne contient AUCUNE information (sauf nouveau modèle...)
On en veut pour preuve ce vétérinaire qui, une fois le code de la puce du chien "lue" doit être encodée ( et à la main, quelle farce!) sur son ordinateur pour le confronter à une base de donnée (tout à fait ouverte, soit dit en passant...) des chiens.
Et c'est précisément là qu'on peut commencer à parler d'abus ou de dangers.
En effet, tout ce qui est informatisé est piratable.
On peut donc, sans même être à portée RFID de la personne, modifier son listing.
Ce n'est pas nouveau, c'est simplement le danger inhérent au fait de créer des base de données d'informations sur les gens.
De là on peut imaginer toutes les dérives possibles...jusqu'à être "effacé"
On est donc aussi rassuré quand la doctoresse nous dit que, peu importe le groupe sanguin reporté par la puce, on refera un test quand on vous retrouvera inanimé.
Ouf!