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Oui mais non: j'ai juste donné mon petit avis personnel (un peu tartiné, il est vrai), le but d'un forum est aussi de récolter d'autres avis (pourquoi pas contraires), je ne voudrais pas passer pour un coach ou mentor ou faire croire que j'ai le monopole du bon sens sur la question... 
J'ai un peu du mal à dégager de réèlles questions dans ton dernier message: je reprends juste les thèmes abordés donc.
Les langues: le Français correct, c'est bien.
L'anglais, c'est vital, c'est LA langue IT.
Le NL: alors là typiquement je suis la mauvais personne pour en parler parce que je suis très peu nuancé pour le moment. Je fais encore partie de la génération à qui on répétait à l'école que pour travailler en Belgique il fallair parler le NL.
Ce qui doit être à peu près vrai si:
- on compte travailler dans toute la Belgique.
- on travaille dans n'importe quoi d'autre que l'ITC.
C'est assez brutal et partiellement faux, mais ce qui commence à me les buriner sévère c'est le petit côté 'prosterné' ou 'complexe d'infériorité' et autre 'les flamands parlent bien mieux français que nous ne parlons flamand' (sans doute vrai, mais c'est une question de survie pour eux, pas pour nous)
Ce qui est vrai par contre, c'est que cette bêtise est tellement passée dans les moeurs, que l'interviewer va tout d'un coup switcher en NL, avec un air grondeur et mal-à-l'aise; ce qui est encore plus vrai, c'est qu'avec un niveau scolaire, un accent correct et 2-3 phrases préparées, tu peux prétendre au trilinguisme...et ne plus jamais avoir besoin du NL après. Si cela peut faire la différence dans un recrutement, ce serait bête de ne pas avoir cet atout. Après si ton niveau est déjà passable, je n'investirais plus trop là dedans... mes plus belles expressions NL je les ai apprises sur le tas!
Formations: là non plus je ne passerais pas trop de temps/énergie/argent à collectionner les formations. Une autre bêtise consiste aussi à regarder tes années d'expériences au compteur, toutes activités confondues. Il y a un moment il vaut donc mieux commencer à bosser, quite à faire 'qqchose' en IT que tu pourras valoriser sur ton CV. Il y a aussi le danger d'apprendre des trucs qui ne te serviront jamais et ça seul ton chemin professionel pourra te le faire savoir (c'est pas très grave mais pas plus grande frustration c'est d'avoir étudié un tas de trucs passionants et....de ne jamais m'en servir et d'avoir tout oublié)
Il doit exister un 'break event' point où le nombre de formation et bagages ne servent plus vraiment de levier à la négociation de ton contrat/package/niveau de départ: très vite on te fera comprendre que l'un dans l'autre, tu restes un 'junior' et que tu dois tout apprendre, même (surtout) si tu as plus de diplômes que ton recruteur.
Le top évidemment c'est de commencer qqpart où tu apprends à la fois sur le boulot mais aussi de bénéficier d'un budget de formations: c'est ton employeur qui te paye alors tous ces très chers trainings.
Et c'est certainement quelque chose de très bien vu que de faire part de ta motivation à apprendre et à suivre des formations (parfois en dehors des heures de boulot)
Quite à me répéter: avec ce que tu as déjà sous le bras (et dans la tête), je me lancerais tout doucement sur le marché de l'emploi. Malgré la crise, nous sommes ici dans un secteur qui traverse plutôt bien la tempête et tu as déjà les quelques mots clés qui ouvrent (parfois de manière absurde et navrante, il est vrai) déjà pas mal de portes.
J'y vois plusieurs avantage: tu sera déjà rémunéré, pour apprendre, tu lance ton compteur à expérience et si tu te débrouilles bien, tu pourras suivre des formations payées par l'employeur. Déjà passer quelques interviews, prendre la température, etc... je dis pas de commencer la semaine prochaine, mais si tu fais comme moi une peu la fine bouche, cela prendra du temps pour trouver qqchose de chouette, autant commencer vite.
J'ai un peu du mal à dégager de réèlles questions dans ton dernier message: je reprends juste les thèmes abordés donc.
Les langues: le Français correct, c'est bien.
L'anglais, c'est vital, c'est LA langue IT.
Le NL: alors là typiquement je suis la mauvais personne pour en parler parce que je suis très peu nuancé pour le moment. Je fais encore partie de la génération à qui on répétait à l'école que pour travailler en Belgique il fallair parler le NL.
Ce qui doit être à peu près vrai si:
- on compte travailler dans toute la Belgique.
- on travaille dans n'importe quoi d'autre que l'ITC.
C'est assez brutal et partiellement faux, mais ce qui commence à me les buriner sévère c'est le petit côté 'prosterné' ou 'complexe d'infériorité' et autre 'les flamands parlent bien mieux français que nous ne parlons flamand' (sans doute vrai, mais c'est une question de survie pour eux, pas pour nous)
Je ne veux pas tomber ici dans les débats populistes bcp trop alimenté par le journalisme séparatiste (RTBF, LeSoir,...) qui en nourri son audimate et ses rotatives (une page par jour là dessus pour le moment!)
Allez, une petite pour la route: en Belgique, il n'y a qu'une langue nationale: le flamand. Les 2 autres langues sont ...internationales.
Allez, une petite pour la route: en Belgique, il n'y a qu'une langue nationale: le flamand. Les 2 autres langues sont ...internationales.
Ce qui est vrai par contre, c'est que cette bêtise est tellement passée dans les moeurs, que l'interviewer va tout d'un coup switcher en NL, avec un air grondeur et mal-à-l'aise; ce qui est encore plus vrai, c'est qu'avec un niveau scolaire, un accent correct et 2-3 phrases préparées, tu peux prétendre au trilinguisme...et ne plus jamais avoir besoin du NL après. Si cela peut faire la différence dans un recrutement, ce serait bête de ne pas avoir cet atout. Après si ton niveau est déjà passable, je n'investirais plus trop là dedans... mes plus belles expressions NL je les ai apprises sur le tas!
Formations: là non plus je ne passerais pas trop de temps/énergie/argent à collectionner les formations. Une autre bêtise consiste aussi à regarder tes années d'expériences au compteur, toutes activités confondues. Il y a un moment il vaut donc mieux commencer à bosser, quite à faire 'qqchose' en IT que tu pourras valoriser sur ton CV. Il y a aussi le danger d'apprendre des trucs qui ne te serviront jamais et ça seul ton chemin professionel pourra te le faire savoir (c'est pas très grave mais pas plus grande frustration c'est d'avoir étudié un tas de trucs passionants et....de ne jamais m'en servir et d'avoir tout oublié)
Il doit exister un 'break event' point où le nombre de formation et bagages ne servent plus vraiment de levier à la négociation de ton contrat/package/niveau de départ: très vite on te fera comprendre que l'un dans l'autre, tu restes un 'junior' et que tu dois tout apprendre, même (surtout) si tu as plus de diplômes que ton recruteur.
Le top évidemment c'est de commencer qqpart où tu apprends à la fois sur le boulot mais aussi de bénéficier d'un budget de formations: c'est ton employeur qui te paye alors tous ces très chers trainings.
Et c'est certainement quelque chose de très bien vu que de faire part de ta motivation à apprendre et à suivre des formations (parfois en dehors des heures de boulot)
Quite à me répéter: avec ce que tu as déjà sous le bras (et dans la tête), je me lancerais tout doucement sur le marché de l'emploi. Malgré la crise, nous sommes ici dans un secteur qui traverse plutôt bien la tempête et tu as déjà les quelques mots clés qui ouvrent (parfois de manière absurde et navrante, il est vrai) déjà pas mal de portes.
J'y vois plusieurs avantage: tu sera déjà rémunéré, pour apprendre, tu lance ton compteur à expérience et si tu te débrouilles bien, tu pourras suivre des formations payées par l'employeur. Déjà passer quelques interviews, prendre la température, etc... je dis pas de commencer la semaine prochaine, mais si tu fais comme moi une peu la fine bouche, cela prendra du temps pour trouver qqchose de chouette, autant commencer vite.
