Poster une réponse à un sujet: Animaux d’expérience en Belgique : les chiffres de 2006
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didix
Ou elle prépare une rat-tatouille ?
kortenberg
En embryo
zion
Ta soeur travaille en labo?
kortenberg
En tout cas, les rats de ma soeur sont chouchoutés même s'ils sont destinés à être tué.
zion
Au total 756.715 animaux ont été utilisés l’an dernier pour des
recherches d’ordre biomédical. Cela représente une légère
augmentation du nombre d’animaux par rapport à l’année 2005. Les
animaux d’expérience sont principalement utilisés pour le
développement et le contrôle de qualité des médicaments et
équipements médicaux. C’est ce que conclut le service du bien-être
animal du Service Public Fédéral Santé publique, Sécurité de la
Chaîne alimentaire et Environnement sur base des statistiques des
laboratoires agréés en 2006.
En 2006, la majorité des expériences a été menée sur des souris. Il y
a également eu plus d’expériences sur les lapins, les poissons et les
oiseaux. Par contre le nombre de singes utilisés a diminué de moitié.
Près des deux tiers des animaux d’expérience ont été utilisés pour le
développement des médicaments et équipements médicaux. 97,7 % des
tests sur la sécurité et la qualité des produits sont exigés en
Europe par la réglementation de protection du consommateur.
La légère augmentation du nombre d’animaux s’explique par
l’accroissement de la recherche sur les mécanismes des maladies
humaines. Les expériences sur animaux restent nécessaires pour le
progrès de la recherche médicale et pharmaceutique. Elles contribuent
au développement de nouveaux médicaments et vaccins ainsi qu’à
l’établissement des diagnostics d’innombrables maladies chez l’homme
et les animaux. En Belgique, les tests de toxicité pour les produits
cosmétiques sont interdits.
Les expériences sur animaux sont menées dans un cadre légal strict et
sur des animaux spécialement élevés pour cela. Il existe 42
Commissions d'éthique qui veillent à ce que les animaux dans les
laboratoires ne souffrent pas inutilement. Le Service fédéral
d’inspection pour le bien-être animal mène des contrôles dans les
laboratoires mêmes. Les Commissions examinent si l’utilisation
d’animaux est nécessaire et elles évaluent si des tests alternatifs
existent. Pour cela les Commissions font appel à une grille
standardisée d’évaluation éthique diffusée par le Service bien-être
animal.
Les expériences animales en Belgique ne peuvent avoir lieu que s’il
n’existe aucune possibilité d’atteindre le résultat souhaité sans
utiliser d’animaux. Les méthodes alternatives ne peuvent cependant
pas toujours représenter l’organisme humain dans toute sa complexité.
Les chiffres de l’expérimentation animale en 2006:
- 37 739 animaux d’expérience ont été utilisés en plus (5,25 %) qu’en
2005.
- 440.198 animaux (58 %) ont été utilisés pour le développement et le
contrôle de qualité des médicaments et équipements médicaux.
- 222.416 animaux (29 %) ont été nécessaires pour la recherche
biologique sur les mécanismes cellulaires.
- 57.983 animaux (7,66 %) ont été utilisés pour des tests de
toxicologie ou de sécurité. La plus grande partie de ces tests
concerne des analyses de médicaments et d’équipements médicaux.
Certains risques éventuels pour l’homme ou l’environnement sont aussi
évalués au cours de ces tests.
En 2006 aussi, ce sont surtout les rongeurs et les lapins qui ont été
utilisés (91,54 %). Viennent ensuite les poissons, reptiles et
amphibiens (5,64 %) et les oiseaux (2,14 %). Les chiens, les chats et
les singes représentent respectivement 0,16 %, 0,01 % et 0,03 % des
animaux de laboratoire utilisés.
En 2006 en Belgique 386 laboratoires étaient agréés pour pratiquer
des expériences sur animaux. Ces laboratoires appartiennent
principalement aux universités (87 %) et le secteur privé, qui
utilise le plus d’animaux, représente 7 % des laboratoires. Les 6 %
restants sont des laboratoires de l’autorité publique.
recherches d’ordre biomédical. Cela représente une légère
augmentation du nombre d’animaux par rapport à l’année 2005. Les
animaux d’expérience sont principalement utilisés pour le
développement et le contrôle de qualité des médicaments et
équipements médicaux. C’est ce que conclut le service du bien-être
animal du Service Public Fédéral Santé publique, Sécurité de la
Chaîne alimentaire et Environnement sur base des statistiques des
laboratoires agréés en 2006.
En 2006, la majorité des expériences a été menée sur des souris. Il y
a également eu plus d’expériences sur les lapins, les poissons et les
oiseaux. Par contre le nombre de singes utilisés a diminué de moitié.
Près des deux tiers des animaux d’expérience ont été utilisés pour le
développement des médicaments et équipements médicaux. 97,7 % des
tests sur la sécurité et la qualité des produits sont exigés en
Europe par la réglementation de protection du consommateur.
La légère augmentation du nombre d’animaux s’explique par
l’accroissement de la recherche sur les mécanismes des maladies
humaines. Les expériences sur animaux restent nécessaires pour le
progrès de la recherche médicale et pharmaceutique. Elles contribuent
au développement de nouveaux médicaments et vaccins ainsi qu’à
l’établissement des diagnostics d’innombrables maladies chez l’homme
et les animaux. En Belgique, les tests de toxicité pour les produits
cosmétiques sont interdits.
Les expériences sur animaux sont menées dans un cadre légal strict et
sur des animaux spécialement élevés pour cela. Il existe 42
Commissions d'éthique qui veillent à ce que les animaux dans les
laboratoires ne souffrent pas inutilement. Le Service fédéral
d’inspection pour le bien-être animal mène des contrôles dans les
laboratoires mêmes. Les Commissions examinent si l’utilisation
d’animaux est nécessaire et elles évaluent si des tests alternatifs
existent. Pour cela les Commissions font appel à une grille
standardisée d’évaluation éthique diffusée par le Service bien-être
animal.
Les expériences animales en Belgique ne peuvent avoir lieu que s’il
n’existe aucune possibilité d’atteindre le résultat souhaité sans
utiliser d’animaux. Les méthodes alternatives ne peuvent cependant
pas toujours représenter l’organisme humain dans toute sa complexité.
Les chiffres de l’expérimentation animale en 2006:
- 37 739 animaux d’expérience ont été utilisés en plus (5,25 %) qu’en
2005.
- 440.198 animaux (58 %) ont été utilisés pour le développement et le
contrôle de qualité des médicaments et équipements médicaux.
- 222.416 animaux (29 %) ont été nécessaires pour la recherche
biologique sur les mécanismes cellulaires.
- 57.983 animaux (7,66 %) ont été utilisés pour des tests de
toxicologie ou de sécurité. La plus grande partie de ces tests
concerne des analyses de médicaments et d’équipements médicaux.
Certains risques éventuels pour l’homme ou l’environnement sont aussi
évalués au cours de ces tests.
En 2006 aussi, ce sont surtout les rongeurs et les lapins qui ont été
utilisés (91,54 %). Viennent ensuite les poissons, reptiles et
amphibiens (5,64 %) et les oiseaux (2,14 %). Les chiens, les chats et
les singes représentent respectivement 0,16 %, 0,01 % et 0,03 % des
animaux de laboratoire utilisés.
En 2006 en Belgique 386 laboratoires étaient agréés pour pratiquer
des expériences sur animaux. Ces laboratoires appartiennent
principalement aux universités (87 %) et le secteur privé, qui
utilise le plus d’animaux, représente 7 % des laboratoires. Les 6 %
restants sont des laboratoires de l’autorité publique.
Source: Press Release