Publié le 28/03/2006 Dans PlayStation 2
Après s'être pris 9 balles dans la peau et avoir été laissé comme un chien, 50 Cent a défié la mort elle même pour faire payer à ses ennemis le prix de la vengeance. Avec ses soldats du G-Unit à ses côtés, 50 Cent s'en prend aux gangs les plus puissants et aux plus impitoyables des syndicats du crime, dévoilant au passage une conspiration aux ramifications internationales.
Un scénario qui nous met tout de suite dans le vif du sujet et qui entraîne dans le milieu de la drogue à New York. 50 Cent va parcourir les rues et faire le ménage dans un jeu d'action plutôt violent. Ecrit par Terry Winter, producteur executif des Sopranos, et déjà auteur du film qui vient de sortir en salle, Bulletproof a également bénéficié du concours de 50 Cent pour concevoir le gameplay et bien sur prêter sa voix à son clone virtuel.
A l'écran, 50 Cent n'est pourtant pas très brillant. Une réalisation technique fort moyenne (pratiquement identique à celle de la version Xbox), des graphismes peu détaillés, des environnements vides, on a connu le moteur Havok en meilleure forme. La jouabilité se veut correcte sans toutefois être particulièrement transcendante et l'IA supposée intelligente reste assez simpliste. On a l'habitude me direz-vous .. Le point fort du jeu est l'ambiance musicale. Ce disque contient l'équivalent de 4 CD de musiques et comprend des morceaux inédits, plus des remix. Evidemment si ce n'est pas votre tasse de thé ....
Les développeurs ont essayé de rendre le jeu vivant en intégrant quelques éléments du monde des malfrats (marchands d'armes, prêteurs sur gages, pirates informatiques, indics, médécins douteux, etc ...). Pourtant on a connu plus attractif sur le support. Malgré une durée de vie somme toute correcte et des bonus, 50 Cent propose un gameplay très bourrin et qui devient rapidement répétitif.
VERDICT
50 Cent Bulletproof est une production très mitigée comme beaucoup de titres utilisant une licence. Dans le genre Action, on trouvera beaucoup mieux sur la console.
Un scénario qui nous met tout de suite dans le vif du sujet et qui entraîne dans le milieu de la drogue à New York. 50 Cent va parcourir les rues et faire le ménage dans un jeu d'action plutôt violent. Ecrit par Terry Winter, producteur executif des Sopranos, et déjà auteur du film qui vient de sortir en salle, Bulletproof a également bénéficié du concours de 50 Cent pour concevoir le gameplay et bien sur prêter sa voix à son clone virtuel.
A l'écran, 50 Cent n'est pourtant pas très brillant. Une réalisation technique fort moyenne (pratiquement identique à celle de la version Xbox), des graphismes peu détaillés, des environnements vides, on a connu le moteur Havok en meilleure forme. La jouabilité se veut correcte sans toutefois être particulièrement transcendante et l'IA supposée intelligente reste assez simpliste. On a l'habitude me direz-vous .. Le point fort du jeu est l'ambiance musicale. Ce disque contient l'équivalent de 4 CD de musiques et comprend des morceaux inédits, plus des remix. Evidemment si ce n'est pas votre tasse de thé ....
Les développeurs ont essayé de rendre le jeu vivant en intégrant quelques éléments du monde des malfrats (marchands d'armes, prêteurs sur gages, pirates informatiques, indics, médécins douteux, etc ...). Pourtant on a connu plus attractif sur le support. Malgré une durée de vie somme toute correcte et des bonus, 50 Cent propose un gameplay très bourrin et qui devient rapidement répétitif.
VERDICT
50 Cent Bulletproof est une production très mitigée comme beaucoup de titres utilisant une licence. Dans le genre Action, on trouvera beaucoup mieux sur la console.