En 2022, les entreprises devront établir plus rapidement les connexions nécessaires à l’aide d’écosystèmes prêts à l’emploi
Publié le 18/02/2022 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Claus Jepsen, CTO, Unit4
L’informatique préintégrée a une longue et respectable histoire. De l’IBM AS/400 à Microsoft Office, nous avons tous vu les avantages de logiciels conçus à des fins spécifiques, qui comprennent la logique d’entreprise et les personnes et sont équipés de composants de base interopérables. S’ils permettent de gagner du temps lors de la configuration, ils facilitent aussi l’extension des solutions. En bref, ces outils constituent de formidables raccourcis vers la productivité qui évitent la dépendance à un seul fournisseur. Et dans un contexte de grande incertitude quant à ce que 2022 nous réserve en termes de pandémie, de modèles de travail et de géopolitique, il est absolument essentiel que les entreprises saisissent l’opportunité d’accélérer la génération de revenus et ne perdent par leur temps à essayer d’établir des correspondances point par point entre les systèmes, car si la démarche est chronophage, elle augmente aussi les coûts, génère des erreurs et des données non fiables.
La topologie mesh est définie dans mon dictionnaire comme une « structure entrelacée » et notre produit Industry Mesh tente d’amener l’intégration à un niveau supérieur. Il s’agit d’un service cloud multitenant destiné aux moyennes entreprises, qui est disponible sur la plateforme cloud ERPx et fournit des intégrations ERP et sous forme de packages par secteur pour plusieurs marchés verticaux. Il est très différent de l’ancienne génération d’ERP générique, caractérisée par un logiciel monolithique, constitué d’un bloc de code à travailler, déstructurer et transformer pour qu’il réponde aux besoins individuels du secteur. Et il est particulièrement bien adapté aux moyennes entreprises qui sont extrêmement sensibles aux changements rapides du marché et n’ont pas les budgets des grandes organisations.
Si le cloud fournit une plateforme de base pour l’intégration entre systèmes avec API ouvertes, nous voulions toutefois aller plus loin pour que les entreprises puissent montrer des données, les analyser et prendre des décisions plus éclairées. Mais la démarche n’est pas facile, alors méfiez-vous des entreprises qui offrent des modèles de base ou des kits d’outils prêts à assembler qui équivalent du point de vue numérique à un cataplasme sur une jambe de bois. La préintégration requiert d’étudier durant des centaines de milliers d’heures la façon dont les industries travaillent, leurs processus de base, leurs besoins et les obstacles rencontrés, et elle nécessite une reconnaissance profonde des flux de données entre les personnes et les processus.
Nous avons travaillé avec des partenaires clés tels que Salesforce, Microsoft, Oonda, Slack et Dun & Bradstreet pour établir des connexions entre la facturation, les paiements, le crédit, les taux de change, la gestion des agendas et des documents, la fiscalité et la collaboration. Nous avons essentiellement élaboré des flux de données entre les applications clés afin que les clients n’aient pas à le faire, et que le partage des données intervienne sans heurts. Et nous avons déterminé qu’une entreprise comptant 1000 salariés pouvait ainsi économiser quelque 1,2 million de dollars par an.
Le facteur temps est lui aussi essentiel. IDC indique que d’ici 2023, 40 % des entreprises utiliseront leurs systèmes ERP comme centres de données et de transactions au cœur de leurs écosystèmes de partenaires. Les « prix chinois » entraînent une incapacité pour la plupart des entreprises à rivaliser sur les coûts, tandis que l’émergence d’une multitude de start-ups vierges de tout héritage entraîne la désintermédiation des acteurs établis. Dans cet environnement difficile, la co-création, la co-conservation et la collaboration sont plus importantes que jamais. Comme l’a écrit Mickey North Rizza d’IDC : « Dans ce monde compétitif, les facteurs de différenciation de l’industrie sont une grande source d’avantage concurrentiel. »
Le monde du travail a changé et continuera de se transformer. Le phénomène de Grande Démission a montré que nous devons fournir des emplois qui ont du sens et offrir au personnel l’opportunité de développer et d’utiliser ses compétences pour influer sur les résultats réels. Personne n’a jamais rêvé d’être un expert en intégration ou de réinventer la roue en permanence. Les gens aspirent à une culture dynamique et se désintéressent des tâches répétitives ou plutôt adaptées aux machines. Notre récent Business Future Index a révélé que les entreprises florissantes se distinguent par une culture riche et leur disposition à innover et se transformer. Si votre entreprise n’adopte pas ce genre d'approche, sa performance sera forcément sous-optimale pour tous les indicateurs, que ce soit le chiffre d’affaires, la rentabilité ou la rétention des talents.
Une intégration plus rapide est un excellent accélérateur, mais elle est également révélatrice de l’orientation que suit le logiciel : un environnement autonome, intelligent et informé basé sur des microservices pour l’obtention de processus agiles, sans heurts et sans limites. On assiste à l’atomisation et à l’orchestration de logiciels désormais alimentés par l’IA, et avec l’automatisation, nous devenons les collègues des machines qui prennent en charge nos tâches fastidieuses. Les utilisateurs ne tolèreront pas les demandes informatiques qui mettront des semaines avant de générer des résultats. Ils recherchent quelque chose de plus dynamique, et bannissent désormais de leurs écrans les interfaces peu attrayantes et conviviales. Nous nous dirigeons vers une culture plus rapide où le changement ne s’arrête jamais, et nous mettrons tout en œuvre pour parvenir à nos fins. Disposer d’un logiciel prêt à exécuter les tâches que nous devons accomplir est un excellent début, mais à l’avenir, nous irons encore plus vite. Il n’y a pas de temps à perdre.
L’informatique préintégrée a une longue et respectable histoire. De l’IBM AS/400 à Microsoft Office, nous avons tous vu les avantages de logiciels conçus à des fins spécifiques, qui comprennent la logique d’entreprise et les personnes et sont équipés de composants de base interopérables. S’ils permettent de gagner du temps lors de la configuration, ils facilitent aussi l’extension des solutions. En bref, ces outils constituent de formidables raccourcis vers la productivité qui évitent la dépendance à un seul fournisseur. Et dans un contexte de grande incertitude quant à ce que 2022 nous réserve en termes de pandémie, de modèles de travail et de géopolitique, il est absolument essentiel que les entreprises saisissent l’opportunité d’accélérer la génération de revenus et ne perdent par leur temps à essayer d’établir des correspondances point par point entre les systèmes, car si la démarche est chronophage, elle augmente aussi les coûts, génère des erreurs et des données non fiables.
La topologie mesh est définie dans mon dictionnaire comme une « structure entrelacée » et notre produit Industry Mesh tente d’amener l’intégration à un niveau supérieur. Il s’agit d’un service cloud multitenant destiné aux moyennes entreprises, qui est disponible sur la plateforme cloud ERPx et fournit des intégrations ERP et sous forme de packages par secteur pour plusieurs marchés verticaux. Il est très différent de l’ancienne génération d’ERP générique, caractérisée par un logiciel monolithique, constitué d’un bloc de code à travailler, déstructurer et transformer pour qu’il réponde aux besoins individuels du secteur. Et il est particulièrement bien adapté aux moyennes entreprises qui sont extrêmement sensibles aux changements rapides du marché et n’ont pas les budgets des grandes organisations.
Si le cloud fournit une plateforme de base pour l’intégration entre systèmes avec API ouvertes, nous voulions toutefois aller plus loin pour que les entreprises puissent montrer des données, les analyser et prendre des décisions plus éclairées. Mais la démarche n’est pas facile, alors méfiez-vous des entreprises qui offrent des modèles de base ou des kits d’outils prêts à assembler qui équivalent du point de vue numérique à un cataplasme sur une jambe de bois. La préintégration requiert d’étudier durant des centaines de milliers d’heures la façon dont les industries travaillent, leurs processus de base, leurs besoins et les obstacles rencontrés, et elle nécessite une reconnaissance profonde des flux de données entre les personnes et les processus.
Nous avons travaillé avec des partenaires clés tels que Salesforce, Microsoft, Oonda, Slack et Dun & Bradstreet pour établir des connexions entre la facturation, les paiements, le crédit, les taux de change, la gestion des agendas et des documents, la fiscalité et la collaboration. Nous avons essentiellement élaboré des flux de données entre les applications clés afin que les clients n’aient pas à le faire, et que le partage des données intervienne sans heurts. Et nous avons déterminé qu’une entreprise comptant 1000 salariés pouvait ainsi économiser quelque 1,2 million de dollars par an.
Le facteur temps est lui aussi essentiel. IDC indique que d’ici 2023, 40 % des entreprises utiliseront leurs systèmes ERP comme centres de données et de transactions au cœur de leurs écosystèmes de partenaires. Les « prix chinois » entraînent une incapacité pour la plupart des entreprises à rivaliser sur les coûts, tandis que l’émergence d’une multitude de start-ups vierges de tout héritage entraîne la désintermédiation des acteurs établis. Dans cet environnement difficile, la co-création, la co-conservation et la collaboration sont plus importantes que jamais. Comme l’a écrit Mickey North Rizza d’IDC : « Dans ce monde compétitif, les facteurs de différenciation de l’industrie sont une grande source d’avantage concurrentiel. »
Le monde du travail a changé et continuera de se transformer. Le phénomène de Grande Démission a montré que nous devons fournir des emplois qui ont du sens et offrir au personnel l’opportunité de développer et d’utiliser ses compétences pour influer sur les résultats réels. Personne n’a jamais rêvé d’être un expert en intégration ou de réinventer la roue en permanence. Les gens aspirent à une culture dynamique et se désintéressent des tâches répétitives ou plutôt adaptées aux machines. Notre récent Business Future Index a révélé que les entreprises florissantes se distinguent par une culture riche et leur disposition à innover et se transformer. Si votre entreprise n’adopte pas ce genre d'approche, sa performance sera forcément sous-optimale pour tous les indicateurs, que ce soit le chiffre d’affaires, la rentabilité ou la rétention des talents.
Une intégration plus rapide est un excellent accélérateur, mais elle est également révélatrice de l’orientation que suit le logiciel : un environnement autonome, intelligent et informé basé sur des microservices pour l’obtention de processus agiles, sans heurts et sans limites. On assiste à l’atomisation et à l’orchestration de logiciels désormais alimentés par l’IA, et avec l’automatisation, nous devenons les collègues des machines qui prennent en charge nos tâches fastidieuses. Les utilisateurs ne tolèreront pas les demandes informatiques qui mettront des semaines avant de générer des résultats. Ils recherchent quelque chose de plus dynamique, et bannissent désormais de leurs écrans les interfaces peu attrayantes et conviviales. Nous nous dirigeons vers une culture plus rapide où le changement ne s’arrête jamais, et nous mettrons tout en œuvre pour parvenir à nos fins. Disposer d’un logiciel prêt à exécuter les tâches que nous devons accomplir est un excellent début, mais à l’avenir, nous irons encore plus vite. Il n’y a pas de temps à perdre.