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testeurdesite
Non non, connais pas du tout.
A demain ... vivement.
A demain ... vivement.
Bulle
Demain (ou après), je vous parle de ma dernier coup de coeur roman, "Toutes ces vies qu'on abandonne" et de la série Zodiaque, sauf si vous la connaissez déjà tous.
Bulle
... Avec une BD lue cet après-midi, coup de coeur que je recommande à Max s'il ne connaît pas déjà :
La peau de l'ours, se passe de nos jours sur l'île de Lipari. C'est l'histoire d'un mafioso vieillissant et aveugle à qui le jeune Amedeo, suant sur sa bécane pour gravir la colline en haut de laquelle Teofilio termine sa vie, vient tous les jours apporter le journal et lire l'horoscope, dans l'attente d'un mystérieux message.
A chaque visite, Teofilio troque l'horoscope contre un pan de sa vie à l'adolescent qui boit ses paroles : il lui raconte sa jeunesse dans le milieu mafieux américain de la fin des années 30.C'est à cette époque que Teofilio, 15 ans, montreur d'ours, rencontre Don Pomodoro de manière pour le moins abrupte et ne tarde pas à entrer à son service, pour le pire mais aussi le meilleur. Don Pomodoro étrenne chaque jour un costume blanc et met un point d'honneur à ce que celui-ci finisse la journée taché de rouge. Don Pomodoro a un fidèle sous-fifre, W.C., qui vérifie tous les jours qu'un ennemi ne se cache pas sous son lit. Don Pomodoro règne sur le centre de la ville. Il adore demander des comptes. Il excelle das l'art de les régler rapidement. Et il a aussi une petite-fille, Mietta, qui lit divinement bien Steinbeck...
Une bonne BD bien ficelée, de mon point de vue de béotienne, un excellent moment. Je recommande chaudement.
Edit : Et donc, le scénario est de Zidrou, qui change de style après Ducobu, et les dessins de Oriol, illustrateur espagnol dont je n'avais jamais entendu parler. Pas mon style d'illus préféré mais par contre ça va très très bien avec l'histoire.
La peau de l'ours, se passe de nos jours sur l'île de Lipari. C'est l'histoire d'un mafioso vieillissant et aveugle à qui le jeune Amedeo, suant sur sa bécane pour gravir la colline en haut de laquelle Teofilio termine sa vie, vient tous les jours apporter le journal et lire l'horoscope, dans l'attente d'un mystérieux message.
A chaque visite, Teofilio troque l'horoscope contre un pan de sa vie à l'adolescent qui boit ses paroles : il lui raconte sa jeunesse dans le milieu mafieux américain de la fin des années 30.C'est à cette époque que Teofilio, 15 ans, montreur d'ours, rencontre Don Pomodoro de manière pour le moins abrupte et ne tarde pas à entrer à son service, pour le pire mais aussi le meilleur. Don Pomodoro étrenne chaque jour un costume blanc et met un point d'honneur à ce que celui-ci finisse la journée taché de rouge. Don Pomodoro a un fidèle sous-fifre, W.C., qui vérifie tous les jours qu'un ennemi ne se cache pas sous son lit. Don Pomodoro règne sur le centre de la ville. Il adore demander des comptes. Il excelle das l'art de les régler rapidement. Et il a aussi une petite-fille, Mietta, qui lit divinement bien Steinbeck...
Une bonne BD bien ficelée, de mon point de vue de béotienne, un excellent moment. Je recommande chaudement.
Edit : Et donc, le scénario est de Zidrou, qui change de style après Ducobu, et les dessins de Oriol, illustrateur espagnol dont je n'avais jamais entendu parler. Pas mon style d'illus préféré mais par contre ça va très très bien avec l'histoire.
zion
Chympa, je passe l'info à la maman!
Bulle
coucou, je n'ai pas de nouveau déserté, mais w-e chargé avec boulot + spectacle de danse donc répét' etc, bref, maintenant c'est derrière moi et je peux vous lire et vous répondre.
Je sais, c'est d'ailleurs dit presque mot pour mot plus haut dans ce topic, et c'est pourquoi je posais la question aussi.
Sauf que maintenant je lis aussi des BDs et que même peut-être y en a que vous ne connaissez pas (on peut rêver ?)
Et donc, une réflexion qui se confirme après le message d'H2G2, ce ne sont pas à proprement parler de vraies critiques de pro vu que je ne suis pas critique littéraire hein, mais vraiment un "aujourd’hui j'ai lu", alors après, vous embrayez, vous n'embrayez pas, c'est le même prix
Pour commencer en douceur et pour petit clin d'oeil à zion qui veut des trucs pour sa louloutte :
Découvert vendredi au sortir du carton (c'est chouette, à chaque fois qu'on va à la librairie pour la bibli - c'est à dire tout les jours - et qu'il y a plus que 2 bouquins pour nous - c'est à dire environ une fois/semaine, où il y a toute une caisse qui nous attend , et bien c'est un peu Saint Nicolas, on est toutes folles de découvrir les nouveaux arrivages...) Donc, vendredi :
"Oups", le dernier album de Quentin Gréban, pour Livie.
J'apprécie depuis des années les illustrations de ce Bruxellois. Son Blanche Neige et Pinocchio valent le détour. Dans ses créations personnelles, je retiens entre autres "Mélie" (zion, tu peux lui lire de suite) et "La route des pastèques", mon préféré (ça, tu attends qu'elle ait 5 ans, elle en profitera mieux).
Le dernier en date, donc, c'est Oups, un album sans texte qu'on raconte comme on veut et que l'enfant peut raconter avec nous. Une petite fille lance une balla à son chien et fait une drôle de tête en voyant ce qu'elle a provoqué. Sauf que nous, lecteurs, ne savons pas de quoi il s'agit car le résultat est hors champ. Il faut attendre d'avoir tourné la page pour découvrir, de fil en aiguille, l’enchevêtrement de catastrophes en cascades que le chien a provoqué en ramassant la balle au vol.
Un petit délice, les expressions des visages étant particulièrement parlantes. Ce type de scénario (élément déclencheur minime qui amène une série de problèmes de plus en plus graves, présentés avec humour) ne date pas d'hier et avait déjà été initié dans "Imagine", petit bijou d'Hubert Ben Kemoun (même si les illus sont moins léchées) et plus récemment dans "Peau de banane" de Lili L'Arronge, deux autres albums ayant rencontré un énorme succès chez tous les enfants à qui je les ai racontés.
Je reviens...
on a déjà essayé de démarrer ce genre de topic par le passé (l'informaticien ne lit pas beaucoup, mis à part des bandes dessinées et des manuels techniques)
Je sais, c'est d'ailleurs dit presque mot pour mot plus haut dans ce topic, et c'est pourquoi je posais la question aussi.
Sauf que maintenant je lis aussi des BDs et que même peut-être y en a que vous ne connaissez pas (on peut rêver ?)
Et donc, une réflexion qui se confirme après le message d'H2G2, ce ne sont pas à proprement parler de vraies critiques de pro vu que je ne suis pas critique littéraire hein, mais vraiment un "aujourd’hui j'ai lu", alors après, vous embrayez, vous n'embrayez pas, c'est le même prix
Pour commencer en douceur et pour petit clin d'oeil à zion qui veut des trucs pour sa louloutte :
Découvert vendredi au sortir du carton (c'est chouette, à chaque fois qu'on va à la librairie pour la bibli - c'est à dire tout les jours - et qu'il y a plus que 2 bouquins pour nous - c'est à dire environ une fois/semaine, où il y a toute une caisse qui nous attend , et bien c'est un peu Saint Nicolas, on est toutes folles de découvrir les nouveaux arrivages...) Donc, vendredi :
"Oups", le dernier album de Quentin Gréban, pour Livie.
J'apprécie depuis des années les illustrations de ce Bruxellois. Son Blanche Neige et Pinocchio valent le détour. Dans ses créations personnelles, je retiens entre autres "Mélie" (zion, tu peux lui lire de suite) et "La route des pastèques", mon préféré (ça, tu attends qu'elle ait 5 ans, elle en profitera mieux).
Le dernier en date, donc, c'est Oups, un album sans texte qu'on raconte comme on veut et que l'enfant peut raconter avec nous. Une petite fille lance une balla à son chien et fait une drôle de tête en voyant ce qu'elle a provoqué. Sauf que nous, lecteurs, ne savons pas de quoi il s'agit car le résultat est hors champ. Il faut attendre d'avoir tourné la page pour découvrir, de fil en aiguille, l’enchevêtrement de catastrophes en cascades que le chien a provoqué en ramassant la balle au vol.
Un petit délice, les expressions des visages étant particulièrement parlantes. Ce type de scénario (élément déclencheur minime qui amène une série de problèmes de plus en plus graves, présentés avec humour) ne date pas d'hier et avait déjà été initié dans "Imagine", petit bijou d'Hubert Ben Kemoun (même si les illus sont moins léchées) et plus récemment dans "Peau de banane" de Lili L'Arronge, deux autres albums ayant rencontré un énorme succès chez tous les enfants à qui je les ai racontés.
Je reviens...
testeurdesite
Allumer le feu
Bref, la majorité pense que Bulle devrait relancer ses critiques de livres.
Parce que bon, hein, quoi, elle écrit bien aussi notre bubulle.
C'est très plaisant à lire sa prose.
Non mais, allo quoi.
Aussi.
D'ailleurs.
Bref, la majorité pense que Bulle devrait relancer ses critiques de livres.
Parce que bon, hein, quoi, elle écrit bien aussi notre bubulle.
C'est très plaisant à lire sa prose.
Non mais, allo quoi.
Aussi.
D'ailleurs.
H2G2
Bah, ça remonte à loin loin loin, hein, j'étais encore étudiant ou fraîchement diplômé et sans le sou. Du coup, quand j'arrivais à placer un papier dans un journal, ça mettait un peu de beurre dans les épinards (le prix qu'on me payait et, je peux bien l'avouer maintenant qu'il y a prescription, parfois la revente de certains services de presse qui m'intéressaient moyennement ).
Maintenant, je n'ai plus trop le temps de me tenir au courant des nouvelles sorties, ni de les lire, et encore moins d'en faire des critiques... Puis je passe déjà le plus clair de mes journées à lire pour le boulot, alors j'ai un peu perdu le goût de la lecture pour le plaisir. Je suis beaucoup moins boulimique de livres que je l'étais dans ma folle jeunesse. Mais j'en garde une certaine nostalgie
Maintenant, je n'ai plus trop le temps de me tenir au courant des nouvelles sorties, ni de les lire, et encore moins d'en faire des critiques... Puis je passe déjà le plus clair de mes journées à lire pour le boulot, alors j'ai un peu perdu le goût de la lecture pour le plaisir. Je suis beaucoup moins boulimique de livres que je l'étais dans ma folle jeunesse. Mais j'en garde une certaine nostalgie
zion
Et pourquoi tu pratiques plus?
zion
H2G2
Oué oué Moi aussi, quand je faisais de la critique littéraire, je pratiquais abondamment la lecture non linéaire pour faire croire que j'avais été jusqu'au bout du bouquin