Dix-sept ans avant Edison et son phonographe, le Parisien Édouard-Léon Scott de Martinville avait inventé en 1860 le «phonautographe», un appareil permettant de graver les ondes sonores sur un papier noirci à la suie d’une lampe à huile.
Il n’imaginait évidemment pas qu’on pourrait un jour écouter les sons ainsi archivés sur un support tellement fragile.
C’était compter sans l’informatique, et la ténacité des chercheurs de First Sounds qui, avec l’aide du Lawrence Berkeley National Laboratory, ont scanné ces archives sonores jusqu’à présent muettes pour les faire chanter sur un ordinateur, en laissant courir un saphir virtuel dans le microsillon numérique. Le résultat, un court passage d’«Au clair de la lune», on peut désormais l’écouter ici (attention, les oreilles).
Source: http://www.firstsounds.org/
Il n’imaginait évidemment pas qu’on pourrait un jour écouter les sons ainsi archivés sur un support tellement fragile.
C’était compter sans l’informatique, et la ténacité des chercheurs de First Sounds qui, avec l’aide du Lawrence Berkeley National Laboratory, ont scanné ces archives sonores jusqu’à présent muettes pour les faire chanter sur un ordinateur, en laissant courir un saphir virtuel dans le microsillon numérique. Le résultat, un court passage d’«Au clair de la lune», on peut désormais l’écouter ici (attention, les oreilles).
Source: http://www.firstsounds.org/
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