73% des millennials pensent avoir besoin d’une formation complémentaire pour avancer dans leurs carrières
Publié le 19/07/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Paris, le 19 juillet 2018 - À l’heure où l’Organisation des Nations Unies célèbrait la journée mondiale des compétences des jeunes le dimanche 15 juillet 2018 dernier, le chômage des jeunes continue d’être un défi mondial et génère une grande inégalité.
Selon l’Organisation Internationale du travail (OIT) et son dernier rapport sur “Emploi et questions sociales dans le monde – Tendances 2018”, le taux de chômage mondial des jeunes atteint un taux alarmant de 13% et un taux supérieur à 20% en France. De cette manière, au milieu d’un débat général sur l’automatisation causée par la révolution numérique actuelle de l’emploi, le chômage des jeunes et la précarité à laquelle les nouvelles générations sont exposées sont inquiétants. Arriver sur le marché du travail n’est pas une tâche facile pour eux.
«Une des causes possibles du chômage des jeunes est liée à l'inadéquation entre les compétences acquises à la fin de leurs études et celles demandées par les employeurs», explique Olivier Sinson, Responsable d'Udemy pour le marché Français. «Certains jeunes terminent leurs études sans avoir acquis les compétences nécessaires pour effectuer le travail pour lequel ils ont été formés, de sorte qu'une plus grande convergence du monde de l'éducation et du travail est essentielle pour lutter contre ce problème.»
L'acquisition de compétences: le défi de la compétitivité des millennials
Nés entre 1981 et l'an 2000, ils sont reconnus comme l'une des générations les mieux préparées en termes d'éducation formelle. Cependant, nous savons aujourd'hui que cela ne suffit pas. La génération du millénaire est arrivée sur le marché du travail dans une période d'incertitude, avec une économie mondiale interconnectée, des changements technologiques vertigineux et la possibilité d'avoir à travailler pendant plus d'années que les générations précédentes.
Selon le rapport « Les Millennials sur le marché du travail 2018 » développé par Udemy, la plate-forme mondiale d’apprentissage et d'enseignement en ligne, 73% des millennials dans le monde estiment qu'ils auront besoin d'une formation supplémentaire pour faire progresser leur carrière. «Ils doivent anticiper les compétences demandées par le marché du travail pour être compétitifs et compenser ainsi le manque d'expérience professionnelle» précise Olivier Sinson.
En outre, 6 millennials sur 10 estiment que les employeurs ont des attentes déraisonnables quant aux compétences et à l'expérience que les jeunes devraient apporter au travail et 67% pensent qu'il existe un écart entre ce qu'ils sont capables de faire et les compétences attendues par les employeurs.
Compétences technologiques mais aussi «soft skills»
Pour progresser dans un environnement de plus en plus numérique, le développement des compétences technologiques est essentiel, mais les compétences «soft skills» sont aussi de plus en plus nécessaires sur le marché du travail. Selon les conclusions du Forum mondial sur l'éducation et les compétences (GESF), la réflexion critique, la créativité, l'empathie et la résolution de problèmes font partie des compétences que les jeunes doivent développer pour faire face à leurs futurs emplois en 2030.
Les experts s'accordent à souligner la nécessité pour les jeunes de pouvoir maintenir un apprentissage constant tout au long de leur vie, en étendant la portée de l'éducation au-delà des années scolaires et universitaires pour éviter un déficit de compétences.
Selon l’Organisation Internationale du travail (OIT) et son dernier rapport sur “Emploi et questions sociales dans le monde – Tendances 2018”, le taux de chômage mondial des jeunes atteint un taux alarmant de 13% et un taux supérieur à 20% en France. De cette manière, au milieu d’un débat général sur l’automatisation causée par la révolution numérique actuelle de l’emploi, le chômage des jeunes et la précarité à laquelle les nouvelles générations sont exposées sont inquiétants. Arriver sur le marché du travail n’est pas une tâche facile pour eux.
«Une des causes possibles du chômage des jeunes est liée à l'inadéquation entre les compétences acquises à la fin de leurs études et celles demandées par les employeurs», explique Olivier Sinson, Responsable d'Udemy pour le marché Français. «Certains jeunes terminent leurs études sans avoir acquis les compétences nécessaires pour effectuer le travail pour lequel ils ont été formés, de sorte qu'une plus grande convergence du monde de l'éducation et du travail est essentielle pour lutter contre ce problème.»
L'acquisition de compétences: le défi de la compétitivité des millennials
Nés entre 1981 et l'an 2000, ils sont reconnus comme l'une des générations les mieux préparées en termes d'éducation formelle. Cependant, nous savons aujourd'hui que cela ne suffit pas. La génération du millénaire est arrivée sur le marché du travail dans une période d'incertitude, avec une économie mondiale interconnectée, des changements technologiques vertigineux et la possibilité d'avoir à travailler pendant plus d'années que les générations précédentes.
Selon le rapport « Les Millennials sur le marché du travail 2018 » développé par Udemy, la plate-forme mondiale d’apprentissage et d'enseignement en ligne, 73% des millennials dans le monde estiment qu'ils auront besoin d'une formation supplémentaire pour faire progresser leur carrière. «Ils doivent anticiper les compétences demandées par le marché du travail pour être compétitifs et compenser ainsi le manque d'expérience professionnelle» précise Olivier Sinson.
En outre, 6 millennials sur 10 estiment que les employeurs ont des attentes déraisonnables quant aux compétences et à l'expérience que les jeunes devraient apporter au travail et 67% pensent qu'il existe un écart entre ce qu'ils sont capables de faire et les compétences attendues par les employeurs.
Compétences technologiques mais aussi «soft skills»
Pour progresser dans un environnement de plus en plus numérique, le développement des compétences technologiques est essentiel, mais les compétences «soft skills» sont aussi de plus en plus nécessaires sur le marché du travail. Selon les conclusions du Forum mondial sur l'éducation et les compétences (GESF), la réflexion critique, la créativité, l'empathie et la résolution de problèmes font partie des compétences que les jeunes doivent développer pour faire face à leurs futurs emplois en 2030.
Les experts s'accordent à souligner la nécessité pour les jeunes de pouvoir maintenir un apprentissage constant tout au long de leur vie, en étendant la portée de l'éducation au-delà des années scolaires et universitaires pour éviter un déficit de compétences.