IA : adopter une approche pragmatique sans craindre d’affronter les bots
Publié le 06/02/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Ces derniers temps, l’automatisation des emplois est un sujet qui rend les salariés anxieux par rapport aux perspectives d’avenir. Assureurs, avocats, livreurs, médecins, banquiers et ouvriers... Tous se posent la question de savoir ce qu’ils feront et comment ils gagneront leur vie lorsque les machines auront progressivement absorbé l'essentiel de leur travail.

Cependant, une partie de la question est déjà tranchée. « Nous ne pouvons échapper à l’amélioration quotidienne de la productivité des machines et au remplacement de certains types d’emplois par de nouvelles machines, alors que certaines compétences vont devenir superflues », déclare Paul Roehrig, Chief Strategy Officer of Cognizant's Digital Business. « Toutefois, l’utilisation actuelle de l’IA dans les entreprises, à savoir comme un outil de nouvelle génération destiné à améliorer la productivité, rend cette problématique beaucoup moins terrifiante. » En réalité, pour ceux qui apprennent à élaborer et à manipuler correctement les nouveaux business models et outils d’IA, la quatrième révolution industrielle peut devenir une ère de croissance pour l’entreprise, un meilleur engagement des salariés, une satisfaction accrue au travail, et une réduction des coûts.

Le scénario le plus probable est que l’IA assumera les tâches les plus fastidieuses et à faible valeur ajoutée, que nous sommes nombreux à devoir réaliser au quotidien. Il convient donc d'envisager les machines comme de nouveaux et précieux assistants. Les progrès de l’IA s’accompagnent d'une hausse de l’efficacité et de la productivité avec, à la clé, la possibilité pour les salariés d’effectuer des tâches à plus forte valeur ajoutée et faisant appel à des compétences plus poussées. Telle est la voie à suivre si nous voulons éviter de supprimer, protéger et créer de nouveaux emplois.

Pour réussir dans cette nouvelle ère, les employeurs doivent identifier les types d’emplois, postes, processus, systèmes et expériences qui doivent dès à présent être automatisés, et sélectionner les emplois qui devront continuer à être exercés par les salariés et améliorés grâce aux nouvelles technologies. Pour un banquier, cela signifie une meilleure santé financière de ses clients en pouvant interpréter les données clients et savoir ainsi instantanément leurs besoins. Pour un médecin, c’est une meilleure prise en charge des patients avec la possibilité d’accéder à leur dossier médical (sous réserve de leur autorisation) depuis un appareil portable avant même le début de la consultation.

Aujourd’hui, la question divise essentiellement les « utopistes », qui considèrent la technologie comme une véritable panacée, et les « dystopiens » pour qui technologie rime avec cauchemar sans fin pour l’humanité. Dans les deux cas, l’approche est mauvaise. « Les dirigeants intelligents appliquent déjà des systèmes IA comme des outils permettant d'améliorer leur productivité. Et c’est sur ce modèle que nous devrons façonner l’avenir du travail. C'est ainsi que les pragmatiques envisagent l’IA, et c’est cet état d’esprit qui doit présider à la création d'une valeur nouvelle dans le contexte de la quatrième révolution industrielle », conclut Paul Roehrig.

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