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rfr
Encore une petite, pas mal non plus ... Mais ou est le monde
http://www2.vlaanderen.be/gemeenten/NASApp/cs/ContentServer/index_0.html
http://www2.vlaanderen.be/gemeenten/NASApp/cs/ContentServer/index_0.html
rfr
D'autant que:
Les Belges s'appuyant sur un manuscrit familial de 1680 racontent que les Wallons riverains de la Meuse à Namur, Dinant et Andenne aimaient la friture de petits poissons (menu fretin) pêchés dans la rivière. L'hiver comme celle-ci gelait, ils découpaient des pommes de terre en forme de petits poissons et les passaient à la friture de la même manière depuis près de cent ans à une époque où la pomme de terre avait plutôt mauvaise presse en Europe.
Les Français soutiennent de leur côté que la frite est née sur les ponts de Paris en 1789 en pleine Révolution Française sous l'appellation « pommes Pont-Neuf » quelques années après qu'Antoine Parmentier fit la promotion de la pomme de terre comme aliment en France [réf. nécessaire]. Maurice Edmond Sailland dit Curnonsky (1872-1956), auteur, journaliste, défenseur de la cuisine du terroir et prince des gastronomes cru 1927 a déclaré : « Les pommes de terre frites sont une des plus spirituelles créations du génie parisien ».
Point de flamands à l'horizon de la frite
gizmo
C'est effectivement un des leviers sur lesquels la Flandre s'est appuyé. Evidemment, si l'on interroge les politiques, c'est comme le lendemain des élections, tout le monde à gagner et est "content des avancées significative qu'il a pu accomplir".
antp
Il y avait aussi eu une histoire de la Wallonie qui avait dû accepter des revendications flamandes pour avoir des sous pour ses écoles, non ?
(ou bien c'est ce même truc dont on parle)
(ou bien c'est ce même truc dont on parle)
gizmo
la prochaine fois, je rajouterai un smiley, mon ironie passera mieux...
Bon, sinon, pour être sérieux:
Sinon, il faut aussi remettre les choses dans leur contexte. Lors de la fédéralisation, on assistait des deux côtés à une monté en puissance des manifestations et protestations, mais pour des raison déffiérentes.
Au Nord, les Flamands protestaient pour obtenir une reconnaissance accrue de leur culture, tandis qu'au Sud, les charmbonnages en fin de vie étaient en proie à une grogne de nouveau chomeurs.
On pourrait croire que chaque partie a donc fait "au mieux" (ou au plus pressé) pour calmer ses troupes.
Seulement la vérité est ailleurs. S'il est vrai que la culture flamande n'était pas considérée comme majeur, c'est aussi parce que les aristocrates etbourgeois flammands l'on boudé tout un temps (on reprend le principe des langues d'Oc et Oil, et on recommence). Ce n'est qu'avec l'apparition des nouveaux riches en Flandre que ceux-ci ont exprimé leur exigeance de reconnaissance de culture flammande. Or pour ce faire, ils avaient un argument de poids: le nombre.
Un nombre qui leur permettait d'avoir des majorités absolues au gouvernement et ainsi bloqué les projets de relance économique de la partie Walonne. Grace à cela, ils ont pu "convaincre" les Wallons de ce joindre à eux pour lancer la fédéralisation du pays (ils on beau être nombreux, ils n'atteignaient pas la majorité des 2/3 pour modifier la constitution), en contrepartie d'une "liberté économique" de la Walonnie.
Vous trouvez cela trop gros? Pourtant, plus c'est énorme, et plus souvent ça passe.
Bon, sinon, pour être sérieux:
Sinon, il faut aussi remettre les choses dans leur contexte. Lors de la fédéralisation, on assistait des deux côtés à une monté en puissance des manifestations et protestations, mais pour des raison déffiérentes.
Au Nord, les Flamands protestaient pour obtenir une reconnaissance accrue de leur culture, tandis qu'au Sud, les charmbonnages en fin de vie étaient en proie à une grogne de nouveau chomeurs.
On pourrait croire que chaque partie a donc fait "au mieux" (ou au plus pressé) pour calmer ses troupes.
Seulement la vérité est ailleurs. S'il est vrai que la culture flamande n'était pas considérée comme majeur, c'est aussi parce que les aristocrates etbourgeois flammands l'on boudé tout un temps (on reprend le principe des langues d'Oc et Oil, et on recommence). Ce n'est qu'avec l'apparition des nouveaux riches en Flandre que ceux-ci ont exprimé leur exigeance de reconnaissance de culture flammande. Or pour ce faire, ils avaient un argument de poids: le nombre.
Un nombre qui leur permettait d'avoir des majorités absolues au gouvernement et ainsi bloqué les projets de relance économique de la partie Walonne. Grace à cela, ils ont pu "convaincre" les Wallons de ce joindre à eux pour lancer la fédéralisation du pays (ils on beau être nombreux, ils n'atteignaient pas la majorité des 2/3 pour modifier la constitution), en contrepartie d'une "liberté économique" de la Walonnie.
Vous trouvez cela trop gros? Pourtant, plus c'est énorme, et plus souvent ça passe.
antp
non, ton post où tu demandais si c'était vrai
rfr
C'est quoi et de quel page ? parce que la citation là je vois pas de quoi ça parle en fait
Tu parles du lien de l'ulb?
L'Etat unitaire est dépassé par les faits. Les communautés et les régions doivent prendre leur place dans des structures rénovées mieux adaptées aux situations spécifiques du pays ".
Prononcé par Gaston EYSKENS, Premier Ministre, à la Chambre des représentants le 18 février 1970.
A partir de 1970, la Belgique se transforme progressivement en un Etat fédéral.
Cette transformation se fonde sur deux logiques d'organisation parallèles : la logique communautaire et la logique régionale. Deux types d'institutions se superposent en exerçant sur des territoires presque identiques des compétences dans des domaines différents.
Les communautés sont créées pour répondre à la demande d'autonomie culturelle formulée par la Flandre. Les régions sont créées afin de rencontrer la revendication d'origine wallonne de maîtriser les leviers de la politique économique. Le fédéralisme asymétrique : communautaire au Nord et régional au Sud.
Ces deux logiques coexistent au sein de l'Etat belge sans que l'une soit privilégiée par rapport à l'autre, malgré un débat constant sur le poids respectif qu'il convient de leur donner.
antp
C'est quoi et de quel page ? parce que la citation là je vois pas de quoi ça parle en fait
lefvl
rfr, malheureusement, c'est STRICTEMENT EXACT...
rfr
C'est pas que ce soit faux, c'est tout simplement l'inverse. Le traducteur a du merder dans les noms.
Non non, c'est pas l'inverse ...
http://www.ulb.ac.be/musees/parentville/science/musee/expos/federalisme/fede/sal- le2.html