11/04/2006 @ 12:46:25:
On est allés voir l'Atomium !
Dimanche, avant que je ne tombe malade, on est allés voir
la tour Eiffel l'Atomium
Comme on avait oublié l'appareil photo, je vous fais un reportage photo imaginaire dont la rareté n'aura d'égal que sa qualité d'image.
Après un looong voyage d'au moins 140 km, nous sommes arrivés au pied de l'Atomium relooké
e qui est à présent tout
e brillant
e.
Nous y avons retrouvé Clandestino ainsi que Clandestino Junior qui se révèle un aussi adorable bout de chou que ce qu'il en avait l'air sur la photo des sports d'hiver. Quand à Clandestino senior, que nous rencontrions pour la première fois de visu, il s'est montré aussi
insupportable sympa en vrai que sur Informaticien
La file pour obtenir les places était suffisamment longue pour nous permettre de faire connaissance. Après avoir acheté nos billets, bonne nouvelle : les poussettes doivent rester à l'entrée. Nous sommes donc partis pour une visite "à bras" avec un petit bonhomme qui, s'il ne fait encore que 9 kg, n'en profite pas moins pour gigoter tant qu'il peut
De son côté, notre Loïc a eu vite fait de faire copain-copain avec le fils de Clandestino, ils se sont visiblement bien amusés à courir d'une boule à l'autre.
De notre côté (nous les vieux), nous avons pu apprécier la remise à neuf de l'édifice à sa juste valeur. Ma visite précédente remontant à une bonne douzaine d'années, le souvenir gardé de cette première approche était pour le moins flou dans ma tête
Nous avons suivi le parcours flêché comme des braves, admirant dans la première boule des images datant de l'expo de 1958, une maquette des jardins réalisés à l'époque (photo imaginaire n°1) et d'objets en métal non identifiés dans une vitrine (photo imaginaire n°2).
Ensuite,
nous avons j'ai perdu l'équilibre dans l'escalator, sans tomber toutefois, et dans la deuxième boule il y a vait...de l'art ! Soit une structure vert fluo en plastique ? carton ? métal ? dont la luminosité était rehaussée par ces fameux néons mauves qui vous donnent l'impression d'être arrivé par hasard dans une boîte de nuit de la fin des années '80 (photo imaginaire n°3).
Dans une autre boule, nous avons vu quelques miniboules très charmantes au demeurant (photo imaginaire n°4), dont le diamêtre devait approcher les 2m50. Ouvertes sur un "côté", elles révélaient en leur intérieur (si, si) un grand matelas destiné à recevoir les enfants qui viennent visiter l'Atomium et qui ont opté pour l'option "je passe la nuit à l'hôtel". ca doit être superchouette, une nuit dans l'Atomium, non ? Dommage que je n'ai plus 10 ans
Par la suite, je m'y perds un peu dans mes comptes de boules, sous sommes montés, descendus, avons pris des escaliers, des escalators, un ascenceur (impressionnant) qui nous a emmené touuuut en haut admirer le panorama de Bruxelles.
La boule supérieure, vitrée sur tout le tour, culmine à 102 m, ce qui laisse voir le paysage à des km à la ronde (photos imaginaires n°5, 6 et 7). Il est temps de ne pas avoir le vertige !
Quand on veut en savoir plus, il suffit de se pencher sur l'un de ces trucs géniaux (photo imaginaire n°8), je ne sais pas comment ça s'appelle, mais en gros c'est un écran que l'on peut manoeuvrer à sa guise et qui fait apparaître en "loupe" le paysage que l'on a devant les yeux. Quand on passe sur un monument ou bâtiment digne d'intérêt, on peut cliquer avec son doigt sur l'écran afin d'avoir un zoom sur l'édifice concerné, ainsi que des précisions écrites (nom du bâtiment, date de la construction, historique...).
Après avoir fait le tour de la boule supérieure, nous sommes redescendus récupérer la poussette avant de nous diriger vers la sortie. Nous avons fait nos adieux à nos partenaires de visite (photo imaginaire n° 9) et, après avoir fait la promesse chaleureuse de se revoir, nous sommes repartis vers d'autres aventures.
PS : Attention, l'Atomium a des pouvoir cachés sur ses visiteurs...
elle il a entre autre la faculté de déclencher, environ 12h après l'entrée en contact, des angines rouges sur les personnes de genre féminin âgées de 25 ans qui lui ont fait l'affront d'explorer ses entrailles...