Publié le 16/02/2023 Dans PlayStation 5
Une intrigue à lire.
Développé par Tonguç Bodur et publié en synergie avec Eastasiasoft, The Redress of Mira peut être classé comme un simulateur de marche avec de petites énigmes environnementales et quelques vagues allusions au combat à la première personne. Nous parlons d'un jeu principalement axé sur la narration et l'atmosphère. The Redress of Mira s'ouvre sur une course-poursuite. Mais qui poursuivons-nous ? Que s'est-il passé ? Comment en est-on arrivé là ? Pour trouver ces réponses, il vous faudra vivre toute l'aventure de The Redress of Mira. Une aventure essentiellement solitaire qui nous verra engagés dans de longues marches à travers champs et ruines. Soyons honnêtes, la narration de The Redress of Mira n'est pas mauvaise du tout. Nous faisons surtout référence à ce que vous vous retrouverez à lire à l'intérieur des livres que vous devrez dénicher dans les différents niveaux. Chaque livre contient un morceau d'histoire. Une histoire qui a de nombreux protagonistes et qui brille par une intrigue intrigante bien que peu originale à sa manière. Dans le chaudron, il y a de tout : un baron cruel qui réclame des taxes aux clans qui occupent les terres sous sa domination, un chef de clan qui hésite sur ses choix, un mercenaire qui veut changer de vie, une baronne qui cache quelques secrets, un mystérieux prisonnier qui prépare sa vengeance, un sorcier et son apprenti quelque peu négligent, des lapins magiques en fuite et bien d'autres choses encore. Comme vous l'avez peut-être remarqué, il y a des personnages intéressants. Et il ne manque pas de moments narratifs qui sont aussi assez violents et passionnés. Mais dans tout cela, dans la peau de qui jouons-nous ? Nous sommes Mira, la fille d'un chef de gang qui a des ennuis avec la moisson et qui, malgré elle, se voit obligée d'échouer dans son devoir envers le Baron.
Cela met en place un arc narratif avec un narrateur externe et qui, de chapitre en chapitre, rebondit d'un personnage à l'autre, tire les ficelles et déçoit jusqu'au final. Une fin qui semble oublier plus d'un personnage et les développeurs en sont d'ailleurs conscients (ne manquez pas les sous-titres). Pour en revenir à la narration, comme mentionné, celle que vous lirez dans les livres fonctionne mais... vous ne devez pas manquer un seul livre. Et oui, ceux-ci sont optionnels, potentiellement manquables et serrés dans des coffres. Soyons honnêtes, les trouver n'est pas difficile du tout mais demande tout de même un minimum d'effort d'exploration. Manquer un livre pourrait vous faire manquer des intrigues intéressantes, endommageant une partie de l'intrigue à venir. The Redress of Mira est principalement un simulateur de marche (à la première personne et rappelant vaguement Finding the Soul Orb), ce qui signifie que la chose que vous faites le plus est de marcher. Les longues promenades dans les broussailles sont très similaires mais assez limitées en espace et en nombre d'activités. Mais procédons dans l'ordre. The Redress of Mira est divisé en vingt et un chapitres qui constituent un voyage extrêmement linéaire. La fin de chaque " chapitre " est représentée par une sorte de barrière magique. Pour briser la barrière magique, vous devez (toujours) chercher un lapin à l'aura verdâtre, prendre son mana, puis vous approcher du panneau situé près de la barrière magique.
De la marche et des énigmes.
Une fois au panneau, la tâche que vous devez accomplir à chaque fois est de déplacer la pointe de notre bâton magique à la recherche du point lumineux. Une fois le point localisé, appuyez sur le bouton d'action et la barrière magique affichera une scène stylisée. Cette scène est liée à l'histoire racontée dans le livre de ce chapitre. Après avoir vu la scène, appuyez à nouveau sur le bouton d'action et la barrière se brisera, ouvrant la voie au chapitre suivant. C'est le modus operandi pour ouvrir la voie vers le final, mais pour atteindre cette barrière, vous devrez faire face à diverses situations. En effet, chaque chapitre comporte (presque toujours) une énigme environnementale dont la résolution est assez simple. Les énigmes sont triviales et vont du montage d'un levier à la pression consécutive de deux boutons. En revanche, il existe des chapitres où vous devez simplement explorer, grimper, déplacer des blocs ou sauter sur des plateformes flottantes. Là, grimper et déplacer des blocs sont des actions qui se font avec une vue à la troisième personne et c'est ce qui montre le pire de The Redress of Mira. Les animations sont tout simplement horribles. Les blocs mobiles montrent Mira immobile déplaçant d'énormes blocs sans aucun mouvement. Il en va de même pour l'escalade, bien qu'ici les mains et les bras bougent un peu. Cela n'enlève rien au fait qu'il s'agit d'éléments aussi grossiers qui rappellent les jeux PlayStation 2. Il en va de même pour l'interaction de certains objets comme l'abattage d'un arbre. Des actions qui se déroulent d'une manière décidément peu naturelle, artificielle et esthétiquement moche.
Il faut également souligner que les phases de plateforme ne sont pas toujours précises et que le gameplay, dans son cadre, est monotone, fade et peu attrayant. Comme vous l'avez deviné, c'est la narration qui tire le tout et, comme prévu, il devient indispensable de chercher les coffres contenant les textes pertinents. Rien n'est impossible à trouver. Comme objets de collection, en plus des livres, il y a aussi des corbeaux. Ceux-ci n'ont pas de but ludique mais servent aux collectionneurs de trophées. Chaque corbeau, en effet, est un trophée. Un corbeau par niveau. Là encore, rien d'impossible, mais gardez à l'esprit que vous ne pouvez pas toujours revenir sur vos pas. Dans sa durée (deux heures à peine), The Redress of Mira nous offre aussi quelques moments sporadiques et décalés. Les premiers sont des combats (toujours contre le même ennemi) qui suivent un schéma de résolution extrêmement banal et répétitif. Pour affronter l'ennemi (avec barre d'énergie visible à l'écran), nous devrons charger notre bâton et pour ce faire, nous devrons collecter du mana auprès de trois lapins disséminés dans l'arène de combat. Tout cela en étant poursuivi et frappé par l'ennemi. Si l'ennemi nous touche plus de trois fois, nous sommes morts. Il est impossible de fuir l'ennemi. Il nous dépasse et quand il décide de nous attaquer, il n'y a pas d'échappatoire. Comment survivre ? Grâce à une sphère d'énergie qui recharge notre vie. Une sphère qui apparaît après quelques secondes et à l'infini. Cela rend les combats assez simples et ennuyeux. Aussi bien qu'affreux. Car voir un ennemi nous poursuivre, nous frapper puis s'enfuir (encore et encore) est incroyable et assez ridicule.
Des combats et de l'horreur.
De plus, le but de ces combats est de remettre la vie de l'adversaire à zéro et pour cela, une fois le bâton chargé, il faut lui tirer des boules d'énergie. Là, la visée de l'arme est mauvaise et de nombreux tirs vont manquer. Une fois les tirs terminés, il faut à nouveau chasser les lapins et récupérer (par la force des choses) les trois auras verdâtres. Si les combats sont laids et monotones, les phases d'horreur (seulement deux) sont légèrement plus captivantes. Le but de ces phases est très simple : trouver un bâton et le placer à un certain endroit, le tout sans se faire tuer par le monstre. L'environnement de ces épisodes est une grotte sombre et labyrinthique dans laquelle on évoluera assez rapidement, du moins jusqu'à ce qu'on obtienne le bâton. Dans ce cas, le personnage deviendra extrêmement lent et donc facilement victime de la créature qui rôde dans cette même caverne. Mais ne vous inquiétez pas, la créature est terriblement stupide et il est peu probable qu'elle vous attrape (elle ne nous a jamais attrapés). Il y a aussi quelques poursuites (très discutables) dans le titre, un chapitre entièrement axé sur la recherche d'objets à collecter et à disperser dans une zone très ouverte, et enfin il y a Skyr. Skyr est un chien céleste aux yeux exagérément brillants qui sera utile pour une énigme. Un extra qui méritait vraiment plus d'espace.
Graphiquement, The Redress of Mira est laid et semble vieux de plusieurs générations. Il y a un recyclage excessif des décors et des éléments, des pelouses aux maisons vides et nues, toutes avec les mêmes meubles et couleurs. Malgré la pauvreté et le sentiment de vide, le jeu présente de nombreux bugs de toutes sortes : de l'herbe flottante aux éléments qui se rechargent tardivement ou disparaissent. Certes, il y a quelques aperçus agréables mais cela ne sauve pas une œuvre qui sonne hors du temps, traîne en tous points et passe pour involontairement comique tant dans les animations que dans les situations (la poursuite du lion sera difficile à oublier). Le son comporte quelques pistes agréables mais parfois il disparaît tout simplement. Il y a des chapitres qui sont totalement silencieux. Ironiquement, les meilleures pistes sont déchaînées sur le générique de fin et c'est franchement dommage. Le doublage n'est pas non plus convaincant, avec quelques exclamations exagérées et décalées. Il faut noter que The Redress of Mira comprend des sous-titres en français et c'est une bonne nouvelle car cela permet à tout le monde de profiter du meilleur élément du jeu, la seule raison qui peut mener le joueur jusqu'au bout de l'aventure de Mira.
VERDICT
The Redress of Mira est un simulateur de marche avec des énigmes environnementales résolument anciennes et banales. Graphiquement, le titre est également pauvre, avec des bugs, des animations ridicules, des éléments constamment recyclés et des moments involontairement ironiques. Les phases de combat sont à revoir, tout comme l'IA des créatures dans les très brefs moments " d'horreur ". Le gameplay est vieux et imprécis. La seule raison de jouer à ce titre est l'histoire (que l'on trouve dans des textes optionnels disséminés dans les chapitres). Celle-ci, en effet (traduite en français) est articulée, pleine de personnages et bien écrite.
Développé par Tonguç Bodur et publié en synergie avec Eastasiasoft, The Redress of Mira peut être classé comme un simulateur de marche avec de petites énigmes environnementales et quelques vagues allusions au combat à la première personne. Nous parlons d'un jeu principalement axé sur la narration et l'atmosphère. The Redress of Mira s'ouvre sur une course-poursuite. Mais qui poursuivons-nous ? Que s'est-il passé ? Comment en est-on arrivé là ? Pour trouver ces réponses, il vous faudra vivre toute l'aventure de The Redress of Mira. Une aventure essentiellement solitaire qui nous verra engagés dans de longues marches à travers champs et ruines. Soyons honnêtes, la narration de The Redress of Mira n'est pas mauvaise du tout. Nous faisons surtout référence à ce que vous vous retrouverez à lire à l'intérieur des livres que vous devrez dénicher dans les différents niveaux. Chaque livre contient un morceau d'histoire. Une histoire qui a de nombreux protagonistes et qui brille par une intrigue intrigante bien que peu originale à sa manière. Dans le chaudron, il y a de tout : un baron cruel qui réclame des taxes aux clans qui occupent les terres sous sa domination, un chef de clan qui hésite sur ses choix, un mercenaire qui veut changer de vie, une baronne qui cache quelques secrets, un mystérieux prisonnier qui prépare sa vengeance, un sorcier et son apprenti quelque peu négligent, des lapins magiques en fuite et bien d'autres choses encore. Comme vous l'avez peut-être remarqué, il y a des personnages intéressants. Et il ne manque pas de moments narratifs qui sont aussi assez violents et passionnés. Mais dans tout cela, dans la peau de qui jouons-nous ? Nous sommes Mira, la fille d'un chef de gang qui a des ennuis avec la moisson et qui, malgré elle, se voit obligée d'échouer dans son devoir envers le Baron.
Cela met en place un arc narratif avec un narrateur externe et qui, de chapitre en chapitre, rebondit d'un personnage à l'autre, tire les ficelles et déçoit jusqu'au final. Une fin qui semble oublier plus d'un personnage et les développeurs en sont d'ailleurs conscients (ne manquez pas les sous-titres). Pour en revenir à la narration, comme mentionné, celle que vous lirez dans les livres fonctionne mais... vous ne devez pas manquer un seul livre. Et oui, ceux-ci sont optionnels, potentiellement manquables et serrés dans des coffres. Soyons honnêtes, les trouver n'est pas difficile du tout mais demande tout de même un minimum d'effort d'exploration. Manquer un livre pourrait vous faire manquer des intrigues intéressantes, endommageant une partie de l'intrigue à venir. The Redress of Mira est principalement un simulateur de marche (à la première personne et rappelant vaguement Finding the Soul Orb), ce qui signifie que la chose que vous faites le plus est de marcher. Les longues promenades dans les broussailles sont très similaires mais assez limitées en espace et en nombre d'activités. Mais procédons dans l'ordre. The Redress of Mira est divisé en vingt et un chapitres qui constituent un voyage extrêmement linéaire. La fin de chaque " chapitre " est représentée par une sorte de barrière magique. Pour briser la barrière magique, vous devez (toujours) chercher un lapin à l'aura verdâtre, prendre son mana, puis vous approcher du panneau situé près de la barrière magique.
De la marche et des énigmes.
Une fois au panneau, la tâche que vous devez accomplir à chaque fois est de déplacer la pointe de notre bâton magique à la recherche du point lumineux. Une fois le point localisé, appuyez sur le bouton d'action et la barrière magique affichera une scène stylisée. Cette scène est liée à l'histoire racontée dans le livre de ce chapitre. Après avoir vu la scène, appuyez à nouveau sur le bouton d'action et la barrière se brisera, ouvrant la voie au chapitre suivant. C'est le modus operandi pour ouvrir la voie vers le final, mais pour atteindre cette barrière, vous devrez faire face à diverses situations. En effet, chaque chapitre comporte (presque toujours) une énigme environnementale dont la résolution est assez simple. Les énigmes sont triviales et vont du montage d'un levier à la pression consécutive de deux boutons. En revanche, il existe des chapitres où vous devez simplement explorer, grimper, déplacer des blocs ou sauter sur des plateformes flottantes. Là, grimper et déplacer des blocs sont des actions qui se font avec une vue à la troisième personne et c'est ce qui montre le pire de The Redress of Mira. Les animations sont tout simplement horribles. Les blocs mobiles montrent Mira immobile déplaçant d'énormes blocs sans aucun mouvement. Il en va de même pour l'escalade, bien qu'ici les mains et les bras bougent un peu. Cela n'enlève rien au fait qu'il s'agit d'éléments aussi grossiers qui rappellent les jeux PlayStation 2. Il en va de même pour l'interaction de certains objets comme l'abattage d'un arbre. Des actions qui se déroulent d'une manière décidément peu naturelle, artificielle et esthétiquement moche.
Il faut également souligner que les phases de plateforme ne sont pas toujours précises et que le gameplay, dans son cadre, est monotone, fade et peu attrayant. Comme vous l'avez deviné, c'est la narration qui tire le tout et, comme prévu, il devient indispensable de chercher les coffres contenant les textes pertinents. Rien n'est impossible à trouver. Comme objets de collection, en plus des livres, il y a aussi des corbeaux. Ceux-ci n'ont pas de but ludique mais servent aux collectionneurs de trophées. Chaque corbeau, en effet, est un trophée. Un corbeau par niveau. Là encore, rien d'impossible, mais gardez à l'esprit que vous ne pouvez pas toujours revenir sur vos pas. Dans sa durée (deux heures à peine), The Redress of Mira nous offre aussi quelques moments sporadiques et décalés. Les premiers sont des combats (toujours contre le même ennemi) qui suivent un schéma de résolution extrêmement banal et répétitif. Pour affronter l'ennemi (avec barre d'énergie visible à l'écran), nous devrons charger notre bâton et pour ce faire, nous devrons collecter du mana auprès de trois lapins disséminés dans l'arène de combat. Tout cela en étant poursuivi et frappé par l'ennemi. Si l'ennemi nous touche plus de trois fois, nous sommes morts. Il est impossible de fuir l'ennemi. Il nous dépasse et quand il décide de nous attaquer, il n'y a pas d'échappatoire. Comment survivre ? Grâce à une sphère d'énergie qui recharge notre vie. Une sphère qui apparaît après quelques secondes et à l'infini. Cela rend les combats assez simples et ennuyeux. Aussi bien qu'affreux. Car voir un ennemi nous poursuivre, nous frapper puis s'enfuir (encore et encore) est incroyable et assez ridicule.
Des combats et de l'horreur.
De plus, le but de ces combats est de remettre la vie de l'adversaire à zéro et pour cela, une fois le bâton chargé, il faut lui tirer des boules d'énergie. Là, la visée de l'arme est mauvaise et de nombreux tirs vont manquer. Une fois les tirs terminés, il faut à nouveau chasser les lapins et récupérer (par la force des choses) les trois auras verdâtres. Si les combats sont laids et monotones, les phases d'horreur (seulement deux) sont légèrement plus captivantes. Le but de ces phases est très simple : trouver un bâton et le placer à un certain endroit, le tout sans se faire tuer par le monstre. L'environnement de ces épisodes est une grotte sombre et labyrinthique dans laquelle on évoluera assez rapidement, du moins jusqu'à ce qu'on obtienne le bâton. Dans ce cas, le personnage deviendra extrêmement lent et donc facilement victime de la créature qui rôde dans cette même caverne. Mais ne vous inquiétez pas, la créature est terriblement stupide et il est peu probable qu'elle vous attrape (elle ne nous a jamais attrapés). Il y a aussi quelques poursuites (très discutables) dans le titre, un chapitre entièrement axé sur la recherche d'objets à collecter et à disperser dans une zone très ouverte, et enfin il y a Skyr. Skyr est un chien céleste aux yeux exagérément brillants qui sera utile pour une énigme. Un extra qui méritait vraiment plus d'espace.
Graphiquement, The Redress of Mira est laid et semble vieux de plusieurs générations. Il y a un recyclage excessif des décors et des éléments, des pelouses aux maisons vides et nues, toutes avec les mêmes meubles et couleurs. Malgré la pauvreté et le sentiment de vide, le jeu présente de nombreux bugs de toutes sortes : de l'herbe flottante aux éléments qui se rechargent tardivement ou disparaissent. Certes, il y a quelques aperçus agréables mais cela ne sauve pas une œuvre qui sonne hors du temps, traîne en tous points et passe pour involontairement comique tant dans les animations que dans les situations (la poursuite du lion sera difficile à oublier). Le son comporte quelques pistes agréables mais parfois il disparaît tout simplement. Il y a des chapitres qui sont totalement silencieux. Ironiquement, les meilleures pistes sont déchaînées sur le générique de fin et c'est franchement dommage. Le doublage n'est pas non plus convaincant, avec quelques exclamations exagérées et décalées. Il faut noter que The Redress of Mira comprend des sous-titres en français et c'est une bonne nouvelle car cela permet à tout le monde de profiter du meilleur élément du jeu, la seule raison qui peut mener le joueur jusqu'au bout de l'aventure de Mira.
VERDICT
The Redress of Mira est un simulateur de marche avec des énigmes environnementales résolument anciennes et banales. Graphiquement, le titre est également pauvre, avec des bugs, des animations ridicules, des éléments constamment recyclés et des moments involontairement ironiques. Les phases de combat sont à revoir, tout comme l'IA des créatures dans les très brefs moments " d'horreur ". Le gameplay est vieux et imprécis. La seule raison de jouer à ce titre est l'histoire (que l'on trouve dans des textes optionnels disséminés dans les chapitres). Celle-ci, en effet (traduite en français) est articulée, pleine de personnages et bien écrite.