Publié le 15/12/2011 Dans PlayStation 3
Des nouveautés ?
Le vampire Valvatorez mène une vie paisible dans le Sous-Monde, et se nourrit exclusivement de sardines (!). Cela n'a pas toujours été le cas, le personnage ayant eut un passé pour le moins tyrannique. Pourtant, suite à un kidnapping des fameux Prinnies, des pingouins bleus explosifs abritant l'âme des damnés, Valvotorez va regagner la surface, accompagné de son serviteur Fenrich. L'occasion d'une aventure pleine d'humour, où l'on rencontrera également de nombreuses connaissances pour les fans de Disgaea. Le concept lui n'a pas foncièrement évolué, et reprend les codes du tactical RPG façon Ogre Battle ou Final Fantasy Tactics. Les Geosymbols, responsables de pas mal d'attributs, et ces Dark Portals vous emmenant dans un monde parallèle d'où émane une forte énergie négative et où l'ennemi sera nettement avantagé. La première étape sera donc de créer son équipe et une fois que vous êtes prêt, foncez dans le portail inter-dimensionnel pour arriver dans la zone de combat. Comme les précédents épisodes, les combats se déroulent en 3D isométrique et au tour par tour. A vous d'utiliser votre armement et votre magie pour remporter la partie. Cependant il est utile de préciser que Disgaea 4 a été traduit en français, ce qui est un plus non négligeable pour un jeu du genre.
Parmi les rares nouveautés, on retrouve la possibilité d'équiper deux Magimorph simultanément, placer deux créatures côte à côte et ensuite les fusionner en méga-monstre, mais également la possibilité d'armer un bateau pirate (puis l'utiliser dans le monde des objets d'un autre concurrent via Internet), mais aussi et surtout la possibilité de créer ses propres cartes ou de modifier des cartes déjà existantes via un éditeur dédié.
Une réalisation contrastée.
Disgaea 4 propose un visuel très old school. Néanmoins l'art design (entièrement dessiné à la main) est plutôt charmant. Sur le champ de bataille, les choses ont beaucoup progressé depuis le troisième opus. Le rendu est enfin correct pour un titre PS3. L'animation est pour sa part un critère peu important dans ce type de jeu., mais les problèmes de caméra ne se sont pas envolés dans cette nouvelle édition. La jouabilité est assez facile d'accès, et pour une fois dans un tactical RPG, tout le monde comprendra l'histoire.
Les effets sonores manquent d'éclats Les dialogues sont un peu mous, et la musicalité est très répétitive. Agréable au commencement du jeu, elle a tendance à irriter, surtout qu'elle est assez peu adapté aux situations rencontrées. La durée de vie du jeu est très longue. En plus de la quête principale, des éléments annexes sont présents. Il y aura de quoi faire, surtout que certains challenges sont vraiment corsés et que le niveau des personnages peut monter jusqu'à 9999.
VERDICT
Disgaea revient dans un quatrième volet plutôt réussi et qui devrait plaire aux amateurs du genre, surtout qu'il a été localisé en français. Le concept n'a pas beaucoup évolué depuis le précédent opus, mais propose une réalisation technique déjà plus abouti.
Le vampire Valvatorez mène une vie paisible dans le Sous-Monde, et se nourrit exclusivement de sardines (!). Cela n'a pas toujours été le cas, le personnage ayant eut un passé pour le moins tyrannique. Pourtant, suite à un kidnapping des fameux Prinnies, des pingouins bleus explosifs abritant l'âme des damnés, Valvotorez va regagner la surface, accompagné de son serviteur Fenrich. L'occasion d'une aventure pleine d'humour, où l'on rencontrera également de nombreuses connaissances pour les fans de Disgaea. Le concept lui n'a pas foncièrement évolué, et reprend les codes du tactical RPG façon Ogre Battle ou Final Fantasy Tactics. Les Geosymbols, responsables de pas mal d'attributs, et ces Dark Portals vous emmenant dans un monde parallèle d'où émane une forte énergie négative et où l'ennemi sera nettement avantagé. La première étape sera donc de créer son équipe et une fois que vous êtes prêt, foncez dans le portail inter-dimensionnel pour arriver dans la zone de combat. Comme les précédents épisodes, les combats se déroulent en 3D isométrique et au tour par tour. A vous d'utiliser votre armement et votre magie pour remporter la partie. Cependant il est utile de préciser que Disgaea 4 a été traduit en français, ce qui est un plus non négligeable pour un jeu du genre.
Parmi les rares nouveautés, on retrouve la possibilité d'équiper deux Magimorph simultanément, placer deux créatures côte à côte et ensuite les fusionner en méga-monstre, mais également la possibilité d'armer un bateau pirate (puis l'utiliser dans le monde des objets d'un autre concurrent via Internet), mais aussi et surtout la possibilité de créer ses propres cartes ou de modifier des cartes déjà existantes via un éditeur dédié.
Une réalisation contrastée.
Disgaea 4 propose un visuel très old school. Néanmoins l'art design (entièrement dessiné à la main) est plutôt charmant. Sur le champ de bataille, les choses ont beaucoup progressé depuis le troisième opus. Le rendu est enfin correct pour un titre PS3. L'animation est pour sa part un critère peu important dans ce type de jeu., mais les problèmes de caméra ne se sont pas envolés dans cette nouvelle édition. La jouabilité est assez facile d'accès, et pour une fois dans un tactical RPG, tout le monde comprendra l'histoire.
Les effets sonores manquent d'éclats Les dialogues sont un peu mous, et la musicalité est très répétitive. Agréable au commencement du jeu, elle a tendance à irriter, surtout qu'elle est assez peu adapté aux situations rencontrées. La durée de vie du jeu est très longue. En plus de la quête principale, des éléments annexes sont présents. Il y aura de quoi faire, surtout que certains challenges sont vraiment corsés et que le niveau des personnages peut monter jusqu'à 9999.
VERDICT
Disgaea revient dans un quatrième volet plutôt réussi et qui devrait plaire aux amateurs du genre, surtout qu'il a été localisé en français. Le concept n'a pas beaucoup évolué depuis le précédent opus, mais propose une réalisation technique déjà plus abouti.