Poster une réponse à un sujet: un brin de culture...
Attention, ce sujet est un sujet ancien (7291 jours sans réponse)
Sam
zion
DACCA, Bangladesh (AP) - Terre d'élection de catastrophes meurtrières, le Bangladesh peut cette fois s'estimer heureux: il est sorti presque indemne du raz-de-marée de dimanche, seuls deux enfants ayant péri noyé après le chavirage de leur bateau. Un sort favorable qui est en fait le résultat d'un processus naturel de sédimentation.
En 1970, un puissant cyclone a tué près d'un demi-million de personnes sur le littoral du pays et 138.000 habitants ont péri dans un autre typhon deux décennies plus tard. Les cyclones mais aussi la famine et les inondations sont des fléaux bien connus au Bangladesh. Mais, cette fois, le sort a été moins cruel avec cette nation, l'une des plus pauvres de la planète.
Alors que les raz-de-marée ont tué des dizaines de milliers de personnes dans les pays voisins, le Bangladesh n'a recensé que deux morts: deux enfants dont le bateau s'est retourné dans les vagues. Face à l'ampleur de la catastrophe dans la région, les Bangladais sont surpris que le bilan ne soit pas plus lourd dans leur pays.
»Je n'en reviens pas. Nous sommes indemnes alors que des pays près de nous ont été frappés si durement», constate Mansur Ahmed, homme d'affaires de Dacca, qui était en villégiature dimanche sur l'île St. Martin au large de la côte sud. Il raconte que de hautes vagues dans la Baie du Bengale ont été le seul signe que quelque chose n'allait pas.
Les géologues expliquent que le Bangladesh a été largement épargné en raison d'un processus naturel de sédimentation, qui crée des hauts fonds le long de la côte. Les milliards de tonnes de sédiment que les nombreux cours d'eau du pays charrient dans la mer ont créé une barrière contre les tsunamis, souligne Mir Fazlul Karim, un géologue de l'Institut géologique du Bangladesh.
Cette protection naturelle a contribué à ralentir les vagues avant qu'elles n'atteignent le rivage, poursuit-il. Les eaux côtières n'atteignent pas plus de 20 mètres de profondeur et ont ainsi »absorbé l'impact du tsunami».
Les 170 kilomètres de côte du pays comptent également plus de 2.000 bâtiments pouvant servir d'abris en cas de catastrophe, souligne Golam Rabbani, patron de la Société du Croissant-Rouge du Bangladesh. «Nous sommes bien préparés pour faire face aux cyclones et aux raz-de-marée. Mais nous sommes vraiment soulagés que rien de grave ne se soit passé cette fois.» AP
lma/v237/tl
En 1970, un puissant cyclone a tué près d'un demi-million de personnes sur le littoral du pays et 138.000 habitants ont péri dans un autre typhon deux décennies plus tard. Les cyclones mais aussi la famine et les inondations sont des fléaux bien connus au Bangladesh. Mais, cette fois, le sort a été moins cruel avec cette nation, l'une des plus pauvres de la planète.
Alors que les raz-de-marée ont tué des dizaines de milliers de personnes dans les pays voisins, le Bangladesh n'a recensé que deux morts: deux enfants dont le bateau s'est retourné dans les vagues. Face à l'ampleur de la catastrophe dans la région, les Bangladais sont surpris que le bilan ne soit pas plus lourd dans leur pays.
»Je n'en reviens pas. Nous sommes indemnes alors que des pays près de nous ont été frappés si durement», constate Mansur Ahmed, homme d'affaires de Dacca, qui était en villégiature dimanche sur l'île St. Martin au large de la côte sud. Il raconte que de hautes vagues dans la Baie du Bengale ont été le seul signe que quelque chose n'allait pas.
Les géologues expliquent que le Bangladesh a été largement épargné en raison d'un processus naturel de sédimentation, qui crée des hauts fonds le long de la côte. Les milliards de tonnes de sédiment que les nombreux cours d'eau du pays charrient dans la mer ont créé une barrière contre les tsunamis, souligne Mir Fazlul Karim, un géologue de l'Institut géologique du Bangladesh.
Cette protection naturelle a contribué à ralentir les vagues avant qu'elles n'atteignent le rivage, poursuit-il. Les eaux côtières n'atteignent pas plus de 20 mètres de profondeur et ont ainsi »absorbé l'impact du tsunami».
Les 170 kilomètres de côte du pays comptent également plus de 2.000 bâtiments pouvant servir d'abris en cas de catastrophe, souligne Golam Rabbani, patron de la Société du Croissant-Rouge du Bangladesh. «Nous sommes bien préparés pour faire face aux cyclones et aux raz-de-marée. Mais nous sommes vraiment soulagés que rien de grave ne se soit passé cette fois.» AP
lma/v237/tl
en gros ils sont déjà tous morts
zion
L'équipe de cricket du Bangladesh a remporté le premier test-match de son histoire face au Zimbabwe, en tournée, lors du cinquième et dernier jour du premier test entre les deux équipes, lundi à Chittagong.
apparemment le bangladesh va bien, ils jouent au criquet
Sam
perso, j'ai entendu parler du Bengladesh une seule fois, on dirait que tout le monde s'en fout
surement qu'il n'y a pas assez de touristes
surement qu'il n'y a pas assez de touristes
gizmo
Et dans la même catégorie, on a le droit de connaitre le nombre de morts au Bangladesh? Parce que la seule fois que j'en ai entendu, il n'y en avait que 2, ce qui me semble assez étonant.
Sam
salo
zion
c'est trop de la balle, merci lapinou
wouhou merci pour ton étalage de science
wouhou merci pour ton étalage de science
Sam
pour tout savoir (ou beaucoup) sur ce fameux ami tsun dont tout le monde parle de puis le 26 et même voir de jolies cartes et animations tapez 1
ha non, cliquez ici
http://www.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s1/tsunami.sumatra.htm
ça déchire hein
ha non, cliquez ici
http://www.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s1/tsunami.sumatra.htm
ça déchire hein