Publié le 26/10/2010 Dans PC
Des bases inchangées.
Le concept de Civilization reste le même que dans les précédents épisodes. Vous avez donc pour mission de développer une civilisation à travers les siècles et d’exercer graduellement de plus en plus d’influence sur l’ensemble du monde. Tout comme dans Civilization IV, il existe plusieurs façons de « gagner ». La plus évidente est probablement la manière militaire, qui utilise essentiellement la force brute et la bonne vieille panoplie du petit soldat. À côté de cela, vous pouvez également opter pour la filière économique ou encore vous distinguer dans le domaine culturel. Sans oublier la fameuse « course à l’espace », qui offre la victoire finale à la première civilisation qui s’envolera pour l’espace.
Le gameplay de Civilization V laisse au joueur la liberté de changer de stratégie à tout moment. Dans certains cas, c’est même la seule façon de battre l’intelligence artificielle. Et comme la technologie évolue constamment au fil des millénaires, il est parfois nécessaire d’explorer d’autres pistes pour mener à bien le jeu. De l’époque des centurions romains à celle des bombes atomiques de destruction massive à grande portée, les armes à feu ne sont en effet pas toujours la solution la plus judicieuse pour dominer. En somme, mieux vaut être flexible et inventif que de tout miser sur un seul et même cheval, sans s’écarter de sa ligne de conduite.
Mais des nouveautés !
Firaxis s’est efforcé de rendre le jeu de ce nouvel opus aussi accessible que possible sans que la profondeur du gameplay ne doive en pâtir. Notons également que les graphismes ont été remaniés pour cette nouvelle version de Civilization. Les personnages sont ainsi reproduits dans un style graphique original, avec une interface type art déco. Les concepteurs soulignent d’ailleurs que ce qui fait l’intérêt de Civilization, ce n’est pas le réalisme des graphismes, mais bien la profondeur du gameplay dans lequel le joueur est aspiré. Et que dire des combats, dont la carte rappelle les traditionnels wargames, et qui offre une approche encore plus stratégique ?
Les cartes du monde consultables et la ligne du temps uniformisée assurent des sessions de jeu dynamiques et une action constante. Le jeu comprend également des options multijoueurs, où un maximum de huit concurrents peuvent s’affronter par équipes, soit un contre un soit au sein d’un groupe de plusieurs joueurs dans lequel chacun joue pour son propre compte. Le chat vocal a été intégré et les développeurs promettent qu'il sera bientôt possible de télécharger des contenus supplémentaires tels que des cartes multi-joueurs et des scénarios.
VERDICT
Une nouvelle déclinaison de Civilization très réussie et qui devrait faire le bonheur des fans de stratégie. On appréciera particulièrement le système de combat repensé, la réalisation technique en nette progression, et une profondeur de gameplay sans faille.
Le concept de Civilization reste le même que dans les précédents épisodes. Vous avez donc pour mission de développer une civilisation à travers les siècles et d’exercer graduellement de plus en plus d’influence sur l’ensemble du monde. Tout comme dans Civilization IV, il existe plusieurs façons de « gagner ». La plus évidente est probablement la manière militaire, qui utilise essentiellement la force brute et la bonne vieille panoplie du petit soldat. À côté de cela, vous pouvez également opter pour la filière économique ou encore vous distinguer dans le domaine culturel. Sans oublier la fameuse « course à l’espace », qui offre la victoire finale à la première civilisation qui s’envolera pour l’espace.
Le gameplay de Civilization V laisse au joueur la liberté de changer de stratégie à tout moment. Dans certains cas, c’est même la seule façon de battre l’intelligence artificielle. Et comme la technologie évolue constamment au fil des millénaires, il est parfois nécessaire d’explorer d’autres pistes pour mener à bien le jeu. De l’époque des centurions romains à celle des bombes atomiques de destruction massive à grande portée, les armes à feu ne sont en effet pas toujours la solution la plus judicieuse pour dominer. En somme, mieux vaut être flexible et inventif que de tout miser sur un seul et même cheval, sans s’écarter de sa ligne de conduite.
Mais des nouveautés !
Firaxis s’est efforcé de rendre le jeu de ce nouvel opus aussi accessible que possible sans que la profondeur du gameplay ne doive en pâtir. Notons également que les graphismes ont été remaniés pour cette nouvelle version de Civilization. Les personnages sont ainsi reproduits dans un style graphique original, avec une interface type art déco. Les concepteurs soulignent d’ailleurs que ce qui fait l’intérêt de Civilization, ce n’est pas le réalisme des graphismes, mais bien la profondeur du gameplay dans lequel le joueur est aspiré. Et que dire des combats, dont la carte rappelle les traditionnels wargames, et qui offre une approche encore plus stratégique ?
Les cartes du monde consultables et la ligne du temps uniformisée assurent des sessions de jeu dynamiques et une action constante. Le jeu comprend également des options multijoueurs, où un maximum de huit concurrents peuvent s’affronter par équipes, soit un contre un soit au sein d’un groupe de plusieurs joueurs dans lequel chacun joue pour son propre compte. Le chat vocal a été intégré et les développeurs promettent qu'il sera bientôt possible de télécharger des contenus supplémentaires tels que des cartes multi-joueurs et des scénarios.
VERDICT
Une nouvelle déclinaison de Civilization très réussie et qui devrait faire le bonheur des fans de stratégie. On appréciera particulièrement le système de combat repensé, la réalisation technique en nette progression, et une profondeur de gameplay sans faille.
Quelques belles différences avec le précédent opus mais en pour un plus grand plaisir de jeu.