Publié le 05/04/2010 Dans PC
Résumé de l'épisode précédent
2047. Une bombe nucléaire explose, entrainant le début de la Troisième Guerre du Tiberium. Ce minerai d'origine extraterrestre, a proliféré sur Terre et seule 20% de la planète (les zones bleues) est encore à l'abri de ce danger. 50% (les zones jaunes) de la surface Terrienne est pour sa part en mauvaise posture, et les catastrophes écologiques s'y multiplient. Enfin les 30% sont totalement inhabitables, ravagés par les Tiberium (les zones rouges). En ces lieux, la Terre n'est plus, et nous avons l'impression d'être sur une planète Alien. Si le GDI, alliance mondiale des nations les plus avancées en haute technologie, se bat pour stopper le Tiberium, Kane, le chef excentrique du NOD, a d'autres projets pour la Terre. Il veut en effet s'accaparer les dernières surfaces saines de la planète Bleue, et compte bien asservir pour de bon l'humanité.
2062. La vie sur Terre est proche de l'extinction. Le Tibérium a proliféré sur toute la surface du globe, obligeant les éternels ennemis GDI et NOD, à collaborer. Et à la tête de cette alliance improbable, nous retrouve le personnage de Kane. C'est à vous de décider de la suite des évènements. Après un petit tutoriel (sous forme de trois missions), le jeu vous demande de choisir votre camp : Allez-vous accepter les ordres de Kane, ou préférerez-vous rester fidèle aux plus conservateurs officiers du GDI ?
Des changements efficaces ?
Comme ces prédécesseurs, C&C 4 met donc rapidement en scène deux factions rivales, les bons et les méchants pourrait-on dire. D'un point de vue du gameplay, Command & Conquer 4 a cependant beaucoup changé. Si les précédents opus offraient déjà une approche plutôt grand public du jeu de stratégie, ici c'est encore plus flagrant. La gestion des ressources a disparu, le développement de la base itou, bref, on se contentera du VCM, l'usine de production des unités. Sur le terrain, on découvrira également un concept plus bourrin que par le passé, ce qui aura le don d'irriter certains joueurs.
Armée d'une réalisation pour le moins convaincante et une campagne scénarisée avec de multiples cinématiques (excellentes d'ailleurs), C&C 4 propose une trentaine de missions en solo, et s'est naturellement adapté à son époque. Le jeu se déroulant dans un futur encore lointain, vous disposerez de gadgets en tout genre, et de nouvelles armes spectaculaires, quand ce ne sont pas des véhicules. L'interface se montre pour le moins limpide, et l'intelligence artificielle tient bien son rôle. Détruire les unités adverses ne sera pas une sinécure, et boucler l'aventure prendra un temps certain en solo, puisqu'il faudra lutter pour débloquer les nouvelles unités. Le multi est assez répétitif pour sa part, puisqu'un seul mode est présent. Les musiques sont toujours excellentes, et les doublages français ne font aucune faute de goût. A préciser enfin que le jeu dispose d'un nouveau type de protection (déjà très décriée) et qui impose de rester connecté à Internet lorsque vous jouez.
VERDICT
Un épisode de Command & Conquer assez surprenant. A dire vrai, le concept est beaucoup plus rustre que les précédents, et le système d'évolution demeure assez obscur. La réalisation technique est elle de grande tenue.
2047. Une bombe nucléaire explose, entrainant le début de la Troisième Guerre du Tiberium. Ce minerai d'origine extraterrestre, a proliféré sur Terre et seule 20% de la planète (les zones bleues) est encore à l'abri de ce danger. 50% (les zones jaunes) de la surface Terrienne est pour sa part en mauvaise posture, et les catastrophes écologiques s'y multiplient. Enfin les 30% sont totalement inhabitables, ravagés par les Tiberium (les zones rouges). En ces lieux, la Terre n'est plus, et nous avons l'impression d'être sur une planète Alien. Si le GDI, alliance mondiale des nations les plus avancées en haute technologie, se bat pour stopper le Tiberium, Kane, le chef excentrique du NOD, a d'autres projets pour la Terre. Il veut en effet s'accaparer les dernières surfaces saines de la planète Bleue, et compte bien asservir pour de bon l'humanité.
2062. La vie sur Terre est proche de l'extinction. Le Tibérium a proliféré sur toute la surface du globe, obligeant les éternels ennemis GDI et NOD, à collaborer. Et à la tête de cette alliance improbable, nous retrouve le personnage de Kane. C'est à vous de décider de la suite des évènements. Après un petit tutoriel (sous forme de trois missions), le jeu vous demande de choisir votre camp : Allez-vous accepter les ordres de Kane, ou préférerez-vous rester fidèle aux plus conservateurs officiers du GDI ?
Des changements efficaces ?
Comme ces prédécesseurs, C&C 4 met donc rapidement en scène deux factions rivales, les bons et les méchants pourrait-on dire. D'un point de vue du gameplay, Command & Conquer 4 a cependant beaucoup changé. Si les précédents opus offraient déjà une approche plutôt grand public du jeu de stratégie, ici c'est encore plus flagrant. La gestion des ressources a disparu, le développement de la base itou, bref, on se contentera du VCM, l'usine de production des unités. Sur le terrain, on découvrira également un concept plus bourrin que par le passé, ce qui aura le don d'irriter certains joueurs.
Armée d'une réalisation pour le moins convaincante et une campagne scénarisée avec de multiples cinématiques (excellentes d'ailleurs), C&C 4 propose une trentaine de missions en solo, et s'est naturellement adapté à son époque. Le jeu se déroulant dans un futur encore lointain, vous disposerez de gadgets en tout genre, et de nouvelles armes spectaculaires, quand ce ne sont pas des véhicules. L'interface se montre pour le moins limpide, et l'intelligence artificielle tient bien son rôle. Détruire les unités adverses ne sera pas une sinécure, et boucler l'aventure prendra un temps certain en solo, puisqu'il faudra lutter pour débloquer les nouvelles unités. Le multi est assez répétitif pour sa part, puisqu'un seul mode est présent. Les musiques sont toujours excellentes, et les doublages français ne font aucune faute de goût. A préciser enfin que le jeu dispose d'un nouveau type de protection (déjà très décriée) et qui impose de rester connecté à Internet lorsque vous jouez.
VERDICT
Un épisode de Command & Conquer assez surprenant. A dire vrai, le concept est beaucoup plus rustre que les précédents, et le système d'évolution demeure assez obscur. La réalisation technique est elle de grande tenue.