Publié le 14/03/2006 Dans PlayStation 2
Un scénario développé.
Project Zero 3: The Tormented vous met dans la peau de Rei, une jeune femme frappée d'une terrible malédiction, dont les rêves tourmentés mènent dans un univers effroyable à la frontière entre réalité et cauchemar. Il y a un petit peu de Silent Hill : The Room là dedans, mais l'héroîne arbore également un mystérieux tatouage qui cache un lour secret !
Mais ce que le joueur découvrira dans les rêves de Rei n'est que le début du cauchemar, brr. Outre Rei donc, on retrouve deux autres personnages jouables, disposant chacun de leurs propres capacités. Miku, la jeune héroïne du premier volet de Project Zero, revient dans cet opus et dispose toujours de ses pouvoirs spirituels. Kei est lui le petit ami de Rei. Il dispose d'une force plus développé mais psychiquement, il n'a aucun pouvoir et par conséquent il va devoir se cacher en cas de rencontre avec un spectre.
Mais où sommes-nous ?
L'action se déroule dans deux mondes et au fil de la progression, la frontière séparant les deux deviendra bien mince. On remarquera que le tatouage de Rei subit également des changements et devient de plus en plus important. Etrange, en tout cas PZ 3 se montre plutôt difficile, même en Normal. Les ennemis sont parfois délicats à combattre et à plusieurs reprises on cherche la technique pour s'en débarrasser.
Comme d'habitude, la camera obscrura sera votre arme principale mais aussi un guide. Dans le Manoir du Sommeil il faudra photographier divers éléments pour lêver la malédiction qui pèse sur Rei. Pour développer ses photos et sauvegarder, il faudra veiller à revenir dans le monde réél (du jeu cela s'entend ;), à condition de retrouver son chemin. Les allers-retours sont nombreux et a quelquefois du mal à retrouver la bonne salle.
Techniquement renforcé.
Sur le plan de la réalisation, l'univers graphique est plutôt bien conçu et assez cohérent. Certes Resident Evil 4 est passé par là , mais les textures sont assez jolies.
L'animation des personnages n'est pas mauvaise, mais c'est surtout le ballet des spectres qui impressionne. L'ambiance reste toujours étouffante mais la jouabilité est un peu dépassée, le personnage étant d'une raideur absolue. L'héroïne est de plus incapable de franchir de minuscules obstacles, pire certains angles de caméra sont vaseux (merci les angles fixes). Fort heureusement, l'appareil photo a une utilisation très aisée et donc les combats se passent bien.
On retrouve une bande son très efficace qui renforce l'ambiance, des bruitages classiques, et des doublages Américains somme toute convaincants. La durée de vie reste classique pour le genre. Une quinzaine d'heures sera nécessaire pour finir le titre, qui se décompose en chapitres. Si vous éprouvez trop de difficultés, un mode Facile est présent. On pourra par contre regretter le manque de renouveau, mais bon l'atmosphère est captivante, et le jeu disponible à moins de 40 €uros ...
VERDICT
Project Zero 3 : The Tourmented clôt assez efficacement la trilogie. Le concept reste séduisant malgré les années, mais à l'instar de Capcom, il sera temps de faire sa révolution avec le quatrième volet, la jouabilité étant quelque peu dépassée.
Project Zero 3: The Tormented vous met dans la peau de Rei, une jeune femme frappée d'une terrible malédiction, dont les rêves tourmentés mènent dans un univers effroyable à la frontière entre réalité et cauchemar. Il y a un petit peu de Silent Hill : The Room là dedans, mais l'héroîne arbore également un mystérieux tatouage qui cache un lour secret !
Mais ce que le joueur découvrira dans les rêves de Rei n'est que le début du cauchemar, brr. Outre Rei donc, on retrouve deux autres personnages jouables, disposant chacun de leurs propres capacités. Miku, la jeune héroïne du premier volet de Project Zero, revient dans cet opus et dispose toujours de ses pouvoirs spirituels. Kei est lui le petit ami de Rei. Il dispose d'une force plus développé mais psychiquement, il n'a aucun pouvoir et par conséquent il va devoir se cacher en cas de rencontre avec un spectre.
Mais où sommes-nous ?
L'action se déroule dans deux mondes et au fil de la progression, la frontière séparant les deux deviendra bien mince. On remarquera que le tatouage de Rei subit également des changements et devient de plus en plus important. Etrange, en tout cas PZ 3 se montre plutôt difficile, même en Normal. Les ennemis sont parfois délicats à combattre et à plusieurs reprises on cherche la technique pour s'en débarrasser.
Comme d'habitude, la camera obscrura sera votre arme principale mais aussi un guide. Dans le Manoir du Sommeil il faudra photographier divers éléments pour lêver la malédiction qui pèse sur Rei. Pour développer ses photos et sauvegarder, il faudra veiller à revenir dans le monde réél (du jeu cela s'entend ;), à condition de retrouver son chemin. Les allers-retours sont nombreux et a quelquefois du mal à retrouver la bonne salle.
Techniquement renforcé.
Sur le plan de la réalisation, l'univers graphique est plutôt bien conçu et assez cohérent. Certes Resident Evil 4 est passé par là , mais les textures sont assez jolies.
L'animation des personnages n'est pas mauvaise, mais c'est surtout le ballet des spectres qui impressionne. L'ambiance reste toujours étouffante mais la jouabilité est un peu dépassée, le personnage étant d'une raideur absolue. L'héroïne est de plus incapable de franchir de minuscules obstacles, pire certains angles de caméra sont vaseux (merci les angles fixes). Fort heureusement, l'appareil photo a une utilisation très aisée et donc les combats se passent bien.
On retrouve une bande son très efficace qui renforce l'ambiance, des bruitages classiques, et des doublages Américains somme toute convaincants. La durée de vie reste classique pour le genre. Une quinzaine d'heures sera nécessaire pour finir le titre, qui se décompose en chapitres. Si vous éprouvez trop de difficultés, un mode Facile est présent. On pourra par contre regretter le manque de renouveau, mais bon l'atmosphère est captivante, et le jeu disponible à moins de 40 €uros ...
VERDICT
Project Zero 3 : The Tourmented clôt assez efficacement la trilogie. Le concept reste séduisant malgré les années, mais à l'instar de Capcom, il sera temps de faire sa révolution avec le quatrième volet, la jouabilité étant quelque peu dépassée.