Publié le 13/04/2011 Dans Nintendo 3DS
Apparue à la base sur téléphone portables, la série Asphalt a connu de multiples variations depuis, et nous sommes rendus à l'épisode 6 sur les smartphones du moment. Sur Nintendo 3DS, le concept n'a pas vraiment changé, et nous retrouvons donc un jeu d'arcade, où plusieurs grands constructeurs répondent présents (Citroën, Nissan, RUF, Mini, Lotus, Ducati, etc) et dans cette édition, on retrouve une quarantaine de voitures, et une poignée de motos. Chaque véhicule possède une conduite qui varie, et le jeu s'inspire de plus en plus de Need For Speed avec moult options de réglages et de tuning. En outre, étant donné que les courses se déroulent dans les plus grandes villes de la planète (Paris, San Francisco, Los Angeles, Athènes, Madrid, Tokyo, St Tropez, etc), il n'est pas rare que la Police intervienne pour essayer de vous stopper. Qu'à cela ne tienne, un coup de nitro et c'est parti pour une accélération foudroyante, trop peut être.
Assez complet, Asphalt 3D utilise un moteur optimisé pour la 3D et l'animation est d'une grande fluidité ... mais aussi infesté de bogues de collisions. En outre, l'intelligence artificielle est étonnamment plus réactive que d'habitude, et lorsque vous virez en tête, il n'est pas toujours évident de maintenir un écart conséquent sur vos poursuivants (l'effet Mario Kart sans doute). Les graphismes du jeu apparaissant relativement corrects, mais manquant parfois d'un peu de précision néanmoins. Toutefois, le jeu a été retravaillé depuis ses sorties sur supports mobiles, et on trouvera une mise en scène modifiée et une jouabilité naturellement plus agréable, utilisant les commandes standards, même si Asphlalt 3D est beaucoup plus arcade qu'à l'accoutumée, et qu'on y enchaîne les dérapages ubuesques. La gestion de la 3D en relief est assez crédible, les circuits (dix sept au total) donnent lieu à un sentiment de déjà vu, (et pour cause ils proviennent d'anciens épisodes) La bande son fait un pas en avant, depuis la sonorité midi de certaines versions mobiles. On retrouve de la pop plutôt efficace, même si peu de morceaux différents sont présents sur la cartouche. Aucun mode en ligne n'est cependant présent, juste du local (six joueurs maximum). La fonctionnalité StreetPass permet de récupérer des classements et des fantômes.
VERDICT
Asphalt 3D aurait sans doute nécessité quelques semaines supplémentaire de débuggage, car en l'état, le titre comporte beaucoup de failles. Outre une gestion des collisions rappelant les années 1990, le titre accuse également un certain déficit de contenu, tant les courses se suivent et se répètent.
Assez complet, Asphalt 3D utilise un moteur optimisé pour la 3D et l'animation est d'une grande fluidité ... mais aussi infesté de bogues de collisions. En outre, l'intelligence artificielle est étonnamment plus réactive que d'habitude, et lorsque vous virez en tête, il n'est pas toujours évident de maintenir un écart conséquent sur vos poursuivants (l'effet Mario Kart sans doute). Les graphismes du jeu apparaissant relativement corrects, mais manquant parfois d'un peu de précision néanmoins. Toutefois, le jeu a été retravaillé depuis ses sorties sur supports mobiles, et on trouvera une mise en scène modifiée et une jouabilité naturellement plus agréable, utilisant les commandes standards, même si Asphlalt 3D est beaucoup plus arcade qu'à l'accoutumée, et qu'on y enchaîne les dérapages ubuesques. La gestion de la 3D en relief est assez crédible, les circuits (dix sept au total) donnent lieu à un sentiment de déjà vu, (et pour cause ils proviennent d'anciens épisodes) La bande son fait un pas en avant, depuis la sonorité midi de certaines versions mobiles. On retrouve de la pop plutôt efficace, même si peu de morceaux différents sont présents sur la cartouche. Aucun mode en ligne n'est cependant présent, juste du local (six joueurs maximum). La fonctionnalité StreetPass permet de récupérer des classements et des fantômes.
VERDICT
Asphalt 3D aurait sans doute nécessité quelques semaines supplémentaire de débuggage, car en l'état, le titre comporte beaucoup de failles. Outre une gestion des collisions rappelant les années 1990, le titre accuse également un certain déficit de contenu, tant les courses se suivent et se répètent.