Publié le 09/12/2010 Dans XBox 360
Rome, 1499 après J.C.
Assassin's Creed Brotherhood prend à place au coeur de la Renaissance Italienne, avec le personnage d'Ezio Auditore, héros d'Assassin's Creed II. Développé par Ubisoft Montréal, il s'agit même d'une suite directe du deuxième volet paru l'an passé sur consoles.Nous sommes à présent en 1499, dans les sous-sols du Vatican, où Ezio est encore bouleversé par sa rencontre avec Minerve. Il décide alors de fuir la ville avec son oncle Mario, en compagnie de la fameuse pomme d'Eden. En janvier 1500, Ezio se rend dans sa résidence de Monteriggioni, où il entend profiter d'un repos bien mérité. Hélas pour lui, la famille Borgia est décidé de mener à bien sa vengeance, obligeant Ezio à sortir de sa retraite. La ville de Rome est menacée et Ezio décide donc de gagner la capitale italienne. Victime d'une chute de cheval, le personnage laisse alors sa place pendant quelques instants à Desmond Miles, son descendant. Cette virée dans le présent sera l'occasion de mieux comprendre les forces en présence, et ce qui s'est passé en plein coeur de la Renaissance Italienne. Désormais à Monteriggini, Desmond repart dans l'Animus, pour retrouver son ancêtre, et sauver la ville de Rome.
Quel sera votre objectif? Tout simplement prendre le contrôle des lieux. Pour cela, il faudra aider les habitants dans leurs tâches quotidiennes, restaurer des monuments ou des échoppes, ou encore détruire les tours des Borgia, des sortes de postes frontières contrôlant les différents quartiers de la ville. Naturellement, il faudra toujours se déplacer dans l'ombre, le mieux étant d'ailleurs de restaurer au plus vite les tunnels souterrains, et une grande nouveauté de cette épisode vient du fait qu'il sera possible de recruter des citoyens pour en faire des alliés et même de les former pour devenir des assassins. Le système de combat demeure pour sa part très conservateur, et seuls quelques nouveaux mouvements sont disponibles. On naviguera donc en terrain connu, et la liberté de déplacement est quasi totale, les environnements sont plutôt grands et il ne devrait pas être compliqué de jouer au jeu du chat et la souris. Cependant comme GTA en son temps, tous les quartiers des villes ne sont pas accessibles d'emblée, et pour pouvoir avancer, il faudra souvent remplir des missions annexes, le moyen de gagner de l'argent et de faire évoluer le personnage.
Techniquement en progression ?
Assassin's Creed Brotherhood tourne sur le même moteur que son prédécesseur. Le jeu demeure riche en détails et les environnements toujours très inspirés, même si le graphisme commence à faire du surplace et que des multiples bogues visuels demeurent présents. Néanmoins, la modélisation de Rome est assez spectaculaire, et on ne s'ennuiera pas une seule seconde à visiter les rues de la ville éternelle. L'animation demeure globalement assez fluide avec cependant quelques ralentissements ça et là , dans cette édition X360. Les contrôles restent excellents et aisés, et on retrouve vite ses marques. Les différentes armes à collecter ainsi que les compétences spéciales, renforcent le gameplay.
Plutôt long en solo, l'aventure tient en haleine pendant une quinzaine d'heures, et une large kyrielle de missions annexes est également proposée. L'intégration d'un mode multijoueur est une bonne idée, et trois modes distincts sont de la partie. La Traque met huit joueurs en compétition dans Rome, tandis que l'Alliance oppose deux équipes de quatre participants qui incarnent respectivement le rôle de chasseurs et de proies. Enfin, la Chasse à l'Homme met en scène trois binômes chargés d'éliminer les autres concurrents. Au point de vue sonore enfin, vous retrouvez des thèmes très agréables lors de la partie. Les bruitages sont quand à eux convaincants et le doublage en français est de grande qualité (tout comme les sous-titres).
VERDICT
Simple à prendre en main et relativement varié, Assassin's Creed Brotherhood se positionne donc comme une nouvelle déclinaison efficace et qui apporte des trouvailles intéressantes au gameplay. Un jeu affuté même si l'effet de surprise a en parti disparu.
Assassin's Creed Brotherhood prend à place au coeur de la Renaissance Italienne, avec le personnage d'Ezio Auditore, héros d'Assassin's Creed II. Développé par Ubisoft Montréal, il s'agit même d'une suite directe du deuxième volet paru l'an passé sur consoles.Nous sommes à présent en 1499, dans les sous-sols du Vatican, où Ezio est encore bouleversé par sa rencontre avec Minerve. Il décide alors de fuir la ville avec son oncle Mario, en compagnie de la fameuse pomme d'Eden. En janvier 1500, Ezio se rend dans sa résidence de Monteriggioni, où il entend profiter d'un repos bien mérité. Hélas pour lui, la famille Borgia est décidé de mener à bien sa vengeance, obligeant Ezio à sortir de sa retraite. La ville de Rome est menacée et Ezio décide donc de gagner la capitale italienne. Victime d'une chute de cheval, le personnage laisse alors sa place pendant quelques instants à Desmond Miles, son descendant. Cette virée dans le présent sera l'occasion de mieux comprendre les forces en présence, et ce qui s'est passé en plein coeur de la Renaissance Italienne. Désormais à Monteriggini, Desmond repart dans l'Animus, pour retrouver son ancêtre, et sauver la ville de Rome.
Quel sera votre objectif? Tout simplement prendre le contrôle des lieux. Pour cela, il faudra aider les habitants dans leurs tâches quotidiennes, restaurer des monuments ou des échoppes, ou encore détruire les tours des Borgia, des sortes de postes frontières contrôlant les différents quartiers de la ville. Naturellement, il faudra toujours se déplacer dans l'ombre, le mieux étant d'ailleurs de restaurer au plus vite les tunnels souterrains, et une grande nouveauté de cette épisode vient du fait qu'il sera possible de recruter des citoyens pour en faire des alliés et même de les former pour devenir des assassins. Le système de combat demeure pour sa part très conservateur, et seuls quelques nouveaux mouvements sont disponibles. On naviguera donc en terrain connu, et la liberté de déplacement est quasi totale, les environnements sont plutôt grands et il ne devrait pas être compliqué de jouer au jeu du chat et la souris. Cependant comme GTA en son temps, tous les quartiers des villes ne sont pas accessibles d'emblée, et pour pouvoir avancer, il faudra souvent remplir des missions annexes, le moyen de gagner de l'argent et de faire évoluer le personnage.
Techniquement en progression ?
Assassin's Creed Brotherhood tourne sur le même moteur que son prédécesseur. Le jeu demeure riche en détails et les environnements toujours très inspirés, même si le graphisme commence à faire du surplace et que des multiples bogues visuels demeurent présents. Néanmoins, la modélisation de Rome est assez spectaculaire, et on ne s'ennuiera pas une seule seconde à visiter les rues de la ville éternelle. L'animation demeure globalement assez fluide avec cependant quelques ralentissements ça et là , dans cette édition X360. Les contrôles restent excellents et aisés, et on retrouve vite ses marques. Les différentes armes à collecter ainsi que les compétences spéciales, renforcent le gameplay.
Plutôt long en solo, l'aventure tient en haleine pendant une quinzaine d'heures, et une large kyrielle de missions annexes est également proposée. L'intégration d'un mode multijoueur est une bonne idée, et trois modes distincts sont de la partie. La Traque met huit joueurs en compétition dans Rome, tandis que l'Alliance oppose deux équipes de quatre participants qui incarnent respectivement le rôle de chasseurs et de proies. Enfin, la Chasse à l'Homme met en scène trois binômes chargés d'éliminer les autres concurrents. Au point de vue sonore enfin, vous retrouvez des thèmes très agréables lors de la partie. Les bruitages sont quand à eux convaincants et le doublage en français est de grande qualité (tout comme les sous-titres).
VERDICT
Simple à prendre en main et relativement varié, Assassin's Creed Brotherhood se positionne donc comme une nouvelle déclinaison efficace et qui apporte des trouvailles intéressantes au gameplay. Un jeu affuté même si l'effet de surprise a en parti disparu.