Publié le 27/11/2010 Dans Nintendo DS
Bienvenue dans le parc du Dr Eggman.
Développé par la Sonic Team, Sonic Colours débute assez étrangement puisque l'action prend place dans le parc d'attractions intergalactique du Dr Eggman. Comment cela peut-il possible ? Le personnage aurait-il à ce point changé ? Eh bien non, tout cela n'est qu'illusion. Eggman a l'intention de capturer les extraterrestres de huit dimensions, les Whips, afin de leur prendre leurs pouvoirs, et devenir le maître de l'univers. A travers huit mondes hauts en couleurs (chacun ponctué par un boss), on retrouve un Sonic à l'ancienne entièrement en 2D, et qui ne manque pas de rythme. Toutes les figures de la série Sonic répondent en tout cas présentes (glissage, looping, etc), et on retrouve un schéma de progression qui a fait ses preuves. Guidé par des musiques modernes mais en parfaite adéquation, et un bestiaire d'ennemis toujours plus audacieux, Sonic Colours en met plein la vue.
Les Whips parlons en justement. Ce sont eux les guest stars du jeu, et qui apporte quelques changements au gameplay. Sur chaque planète vit une espèce de Wisp différente, chacune amenant Sonic à pouvoir utiliser un pouvoir spécial. Que cela soit du simple boost au guidage de laser, en passant par la transformation en fusée ou torpille, il faudra utiliser ses nouvelles capacités afin de progresser sans encombre dans la partie. Et à l'instar des Sonic Rush, plusieurs chemins seront possibles, obligeant à faire plusieurs fois les mêmes niveaux pour tout découvrir. Une façon d'allonger la durée de vie qui ne dépasse pas les cinq heures en première session.
Une réalisation chatoyante.
Sonic Colours se montre très réussi sur le plan technique. Les graphismes du jeu se montrent très colorés et les mondes à parcourir font preuve d'une belle variété. Comme d'habitude, Sonic est un jeu où la vitesse à son importance, et cet épisode ne manque pas de punch. Comme à l'accoutumée, vous devrez donc dévaler les décors à vive allure, afin de gagner l'arrivée avec le meilleur score possible. DS oblige, l'écran tactile est mis à contribution, à travers quelques mécanismes simples d'accès. Il faut d'ailleurs préciser que l'action du jeu prend place sur les deux écrans de la console (Sonic passant de l'un à l'autre sans décrochage).
Après quelques minutes d'entrainement, nous maitrisons parfaitement les rouages du personnage. En réalité, le joueur est très encadré et demeure accessible au plus grand nombre. Notons une gestion de la caméra plutôt bonne cette fois ci. Coté son, nous retrouvons beaucoup de morceaux musicaux. Quelques doublages (américains) ponctuent la partie (le jeu est sous titré en français). Enfin, Sonic propose également quelques mini-jeux, un classique dans le genre, ainsi qu'un mode Versus (permettant de faire des courses à la Mario Kart) jouable en réseau local ou en ligne, ainsi qu'un classique contre la montre.
VERDICT
Finalement très différente de la mouture Wii, ce Sonic Colours version DS se positionne comme un jeu de plate-forme 2D riche en intensité, et proposant un gameplay aux petits oignons. Un titre très dynamique, dont le seul défaut est d'être un peu court.
Développé par la Sonic Team, Sonic Colours débute assez étrangement puisque l'action prend place dans le parc d'attractions intergalactique du Dr Eggman. Comment cela peut-il possible ? Le personnage aurait-il à ce point changé ? Eh bien non, tout cela n'est qu'illusion. Eggman a l'intention de capturer les extraterrestres de huit dimensions, les Whips, afin de leur prendre leurs pouvoirs, et devenir le maître de l'univers. A travers huit mondes hauts en couleurs (chacun ponctué par un boss), on retrouve un Sonic à l'ancienne entièrement en 2D, et qui ne manque pas de rythme. Toutes les figures de la série Sonic répondent en tout cas présentes (glissage, looping, etc), et on retrouve un schéma de progression qui a fait ses preuves. Guidé par des musiques modernes mais en parfaite adéquation, et un bestiaire d'ennemis toujours plus audacieux, Sonic Colours en met plein la vue.
Les Whips parlons en justement. Ce sont eux les guest stars du jeu, et qui apporte quelques changements au gameplay. Sur chaque planète vit une espèce de Wisp différente, chacune amenant Sonic à pouvoir utiliser un pouvoir spécial. Que cela soit du simple boost au guidage de laser, en passant par la transformation en fusée ou torpille, il faudra utiliser ses nouvelles capacités afin de progresser sans encombre dans la partie. Et à l'instar des Sonic Rush, plusieurs chemins seront possibles, obligeant à faire plusieurs fois les mêmes niveaux pour tout découvrir. Une façon d'allonger la durée de vie qui ne dépasse pas les cinq heures en première session.
Une réalisation chatoyante.
Sonic Colours se montre très réussi sur le plan technique. Les graphismes du jeu se montrent très colorés et les mondes à parcourir font preuve d'une belle variété. Comme d'habitude, Sonic est un jeu où la vitesse à son importance, et cet épisode ne manque pas de punch. Comme à l'accoutumée, vous devrez donc dévaler les décors à vive allure, afin de gagner l'arrivée avec le meilleur score possible. DS oblige, l'écran tactile est mis à contribution, à travers quelques mécanismes simples d'accès. Il faut d'ailleurs préciser que l'action du jeu prend place sur les deux écrans de la console (Sonic passant de l'un à l'autre sans décrochage).
Après quelques minutes d'entrainement, nous maitrisons parfaitement les rouages du personnage. En réalité, le joueur est très encadré et demeure accessible au plus grand nombre. Notons une gestion de la caméra plutôt bonne cette fois ci. Coté son, nous retrouvons beaucoup de morceaux musicaux. Quelques doublages (américains) ponctuent la partie (le jeu est sous titré en français). Enfin, Sonic propose également quelques mini-jeux, un classique dans le genre, ainsi qu'un mode Versus (permettant de faire des courses à la Mario Kart) jouable en réseau local ou en ligne, ainsi qu'un classique contre la montre.
VERDICT
Finalement très différente de la mouture Wii, ce Sonic Colours version DS se positionne comme un jeu de plate-forme 2D riche en intensité, et proposant un gameplay aux petits oignons. Un titre très dynamique, dont le seul défaut est d'être un peu court.