Publié le 15/11/2009 Dans XBox 360
Retour à Liberty City
Nous revoici une fois de plus dans la ville de Liberty City déjà visitée dans GTA III (PS2/PC/Xbox), GTA Liberty City Stories (PS2/PSP) et GTA IV (PS3/X360/PC), mais l'intrigue se déroule ici un peu plus tard. Dans The Lost and Damned, le personnage central se nomme Johnny Klebitz, un biker, membre du gang des Lost. Par conséquent, les déplacements en ville ont lieu cette fois en groupe, ce qui inclut quelques changements. Mais la mécanique du jeu n'a pas été bouleversé outre mesure, à ceci prêt que les développeurs ont ajouté de nombreux points de passage durant les missions. En outre, les statistiques des bikers augmentent au fil des missions, ce qui fait qu'il faudra faire attention à leur santé. En effet, si l'un des membres se fait tuer, il faudra embaucher un bleu. Mais grâce à votre portable, il sera vite permis d'appeler des renforts, si la situation dégénère trop. The Ballad of Gay Tony prend place dans le monde de la nuit. L'empire de Tony Prince, patron de boîte de nuit, est au bord de la faillite. Pour trouver une solution, il demande à son homme de main Luis Lopez, de prendre contact avec la mafia. Une idée pas si bonne que cela puisqu'il va s'attirer de gros ennuis. Outre de nouvelles armes, cet épisode multiplie les missions secondaires, et il vous sera même possible de gérer une discothèque, de danser ou de devenir le roi de la nuit.
Comme à l'accoutumée, le « free roaming gameplay » occupe une fois encore une place centrale. Ce concept offre la possibilité de découvrir la ville en toute liberté pour gagner de l’argent comme vous l’entendez et exécuter une foule de tâches lucratives qui vous permettront de monter sans cesse plus haut sur l'échelle de la criminalité. Bien que la liberté soit le maître-mot du gameplay, le jeu s’articule autour d’un récit composé d’une série de missions principales et secondaires, allant de pratiques « innocentes », telles que le déplacement de voitures volées, à des « actes criminels plus lourds », tels que racket et meurtres. Évidemment la ville reste interactive. Vous pourrez détrousser les gens, entamer une course poursuite avec la Police. Sinon vous retrouvez évidemment certaines pseudo missions d'infiltrations qui dégénéreront vite une fois l'objet récupéré. Et comme Liberty City est une reproduction de New York, vous pourrez y découvrir pas mal de monuments célèbres.
Le renouveau de GTA
Techniquement parlant, GTA IV : Episodes from Liberty City se veut très proche de GTA IV. Les gens dans la rue réagissent à tous les événements et à cela s'ajoute un cycle jour-nuit complet, la vie quotidienne s'adaptant au moment de la journée. Côté animation, certains ralentissements subsistent toujours mais ça reste globalement fluide. Il y a cependant un peu moins de temps de chargements que dans l'original. Quelques problèmes de caméra apparaissent également, ce qui ne nuit pas à la jouabilité d'ensemble. Jouabilité qui n'a pas fondamentalement bougé par rapport aux autres GTA, mais qui s'est enrichi de quelques fonctions.
La durée de vie est plutôt bonne, comptez une vingtaine d'heures pour le finir. Ce coffret embarque également des nouveaux modes multijoueurs, permettant de passer du temps à fraguer sur le Xbox Live. Les musiques enfin, sont disponibles une fois dans son véhicule comme à l'accoutumée. Évidemment les radios ont été adaptées et vous retrouvez quelques standards. Globalement le tout est de qualité, tout comme les doublages Américains et les différents bruitages du jeu.
VERDICT
Cette compilation des deux épisodes X360 téléchargeables, permet de prolonger efficacement le voyage dans le monde de GTA IV, avec un ensemble qui ne manque pas d'attention ni d'intérêt.
Nous revoici une fois de plus dans la ville de Liberty City déjà visitée dans GTA III (PS2/PC/Xbox), GTA Liberty City Stories (PS2/PSP) et GTA IV (PS3/X360/PC), mais l'intrigue se déroule ici un peu plus tard. Dans The Lost and Damned, le personnage central se nomme Johnny Klebitz, un biker, membre du gang des Lost. Par conséquent, les déplacements en ville ont lieu cette fois en groupe, ce qui inclut quelques changements. Mais la mécanique du jeu n'a pas été bouleversé outre mesure, à ceci prêt que les développeurs ont ajouté de nombreux points de passage durant les missions. En outre, les statistiques des bikers augmentent au fil des missions, ce qui fait qu'il faudra faire attention à leur santé. En effet, si l'un des membres se fait tuer, il faudra embaucher un bleu. Mais grâce à votre portable, il sera vite permis d'appeler des renforts, si la situation dégénère trop. The Ballad of Gay Tony prend place dans le monde de la nuit. L'empire de Tony Prince, patron de boîte de nuit, est au bord de la faillite. Pour trouver une solution, il demande à son homme de main Luis Lopez, de prendre contact avec la mafia. Une idée pas si bonne que cela puisqu'il va s'attirer de gros ennuis. Outre de nouvelles armes, cet épisode multiplie les missions secondaires, et il vous sera même possible de gérer une discothèque, de danser ou de devenir le roi de la nuit.
Comme à l'accoutumée, le « free roaming gameplay » occupe une fois encore une place centrale. Ce concept offre la possibilité de découvrir la ville en toute liberté pour gagner de l’argent comme vous l’entendez et exécuter une foule de tâches lucratives qui vous permettront de monter sans cesse plus haut sur l'échelle de la criminalité. Bien que la liberté soit le maître-mot du gameplay, le jeu s’articule autour d’un récit composé d’une série de missions principales et secondaires, allant de pratiques « innocentes », telles que le déplacement de voitures volées, à des « actes criminels plus lourds », tels que racket et meurtres. Évidemment la ville reste interactive. Vous pourrez détrousser les gens, entamer une course poursuite avec la Police. Sinon vous retrouvez évidemment certaines pseudo missions d'infiltrations qui dégénéreront vite une fois l'objet récupéré. Et comme Liberty City est une reproduction de New York, vous pourrez y découvrir pas mal de monuments célèbres.
Le renouveau de GTA
Techniquement parlant, GTA IV : Episodes from Liberty City se veut très proche de GTA IV. Les gens dans la rue réagissent à tous les événements et à cela s'ajoute un cycle jour-nuit complet, la vie quotidienne s'adaptant au moment de la journée. Côté animation, certains ralentissements subsistent toujours mais ça reste globalement fluide. Il y a cependant un peu moins de temps de chargements que dans l'original. Quelques problèmes de caméra apparaissent également, ce qui ne nuit pas à la jouabilité d'ensemble. Jouabilité qui n'a pas fondamentalement bougé par rapport aux autres GTA, mais qui s'est enrichi de quelques fonctions.
La durée de vie est plutôt bonne, comptez une vingtaine d'heures pour le finir. Ce coffret embarque également des nouveaux modes multijoueurs, permettant de passer du temps à fraguer sur le Xbox Live. Les musiques enfin, sont disponibles une fois dans son véhicule comme à l'accoutumée. Évidemment les radios ont été adaptées et vous retrouvez quelques standards. Globalement le tout est de qualité, tout comme les doublages Américains et les différents bruitages du jeu.
VERDICT
Cette compilation des deux épisodes X360 téléchargeables, permet de prolonger efficacement le voyage dans le monde de GTA IV, avec un ensemble qui ne manque pas d'attention ni d'intérêt.