Plus de deux tiers des consommateurs belges estiment que les hôteliers-restaurants qui ne proposent pas de moyen de paiement électronique sont à la traîne
Publié le 28/06/2022 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Pas moins de 68 % des Belges soutiennent la nouvelle législation qui obligera chaque commerçant à proposer au moins un moyen de paiement électronique à partir du 1er juillet 2022. Ce large soutien peut être lié aux changements des habitudes de paiements des consommateurs provoqués par la pandémie. Ces données ressortent d'une enquête indépendante menée par Lightspeed (NYSE : LSPD) (TSX : LSPD), la plateforme de commerce tout-en-un, dans laquelle 1.000 consommateurs belges ont été interrogés.
L'argent liquide n'est plus roi
Avec cette nouvelle législation, le ministre des Finances Vincent Van Peteghem espère uniformiser les règles du jeu et lutter davantage contre la fraude fiscale - un effort amorcé par l'introduction du système de caisse enregistreuse ou « caisse blanche » en 2016.
Cette législation intervient à un moment où les modes de paiement électroniques sont déjà devenus la norme. Selon le sondage, par comparaison avant la pandémie, 86 % des répondants indiquent que leur comportement de paiement a changé : la moitié (50 %) déclare payer davantage sans contact, tandis que 45 % paient plus souvent avec une carte de débit qu'en espèces. Quatorze pour cent déclarent même ne plus transporter d'espèces du tout.
Accepter des paiements électroniques : un enjeu crucial de réputation
La numérisation du secteur de l'HoReCa a également laissé des traces sur les habitudes de paiement et de consommation en Belgique : 67 % des sondés considèrent que les hôteliers-restaurateurs qui ne proposent pas de moyens de paiement électroniques sont en décalage avec les attentes actuelles.
En fait, plus de la moitié (58%) des consommateurs belges indiquent toujours souhaiter avoir la possibilité de payer par carte. Qui plus est, deux personnes sur cinq (39 %) ont même déclaré que leur visite au restaurant avait été affectée négativement parce qu'elles ne pouvaient pas payer par carte électronique. Parmi ce total, 41 % indiquent qu'ils ont dû se rendre au distributeur automatique pour régler leur addition.
L'argent liquide n'est plus roi
Avec cette nouvelle législation, le ministre des Finances Vincent Van Peteghem espère uniformiser les règles du jeu et lutter davantage contre la fraude fiscale - un effort amorcé par l'introduction du système de caisse enregistreuse ou « caisse blanche » en 2016.
Cette législation intervient à un moment où les modes de paiement électroniques sont déjà devenus la norme. Selon le sondage, par comparaison avant la pandémie, 86 % des répondants indiquent que leur comportement de paiement a changé : la moitié (50 %) déclare payer davantage sans contact, tandis que 45 % paient plus souvent avec une carte de débit qu'en espèces. Quatorze pour cent déclarent même ne plus transporter d'espèces du tout.
Accepter des paiements électroniques : un enjeu crucial de réputation
La numérisation du secteur de l'HoReCa a également laissé des traces sur les habitudes de paiement et de consommation en Belgique : 67 % des sondés considèrent que les hôteliers-restaurateurs qui ne proposent pas de moyens de paiement électroniques sont en décalage avec les attentes actuelles.
En fait, plus de la moitié (58%) des consommateurs belges indiquent toujours souhaiter avoir la possibilité de payer par carte. Qui plus est, deux personnes sur cinq (39 %) ont même déclaré que leur visite au restaurant avait été affectée négativement parce qu'elles ne pouvaient pas payer par carte électronique. Parmi ce total, 41 % indiquent qu'ils ont dû se rendre au distributeur automatique pour régler leur addition.
« Depuis la pandémie, les paiements sans contact sont devenus la norme », confirme Emine Youssef, responsable Belgique chez Lightspeed. « Les jeunes chefs d'entreprise ne réalisent que trop bien qu'en ne proposant pas de moyens de paiement électroniques, ils risquent de perdre définitivement de nombreux clients - sans parler de l'impact que cela pourrait avoir sur leur réputation. Si cette nouvelle législation est une nouvelle étape dans la lutte contre la fraude fiscale, je pense également qu'elle permettra de numériser et de professionnaliser davantage le secteur de la restauration et du commerce de détail en Belgique. Selon le consommateur belge, cela ne semble pas être un luxe inutile. Lightspeed est heureux de soutenir nos commerçants qui proposent une technologie de paiement plus moderne à leurs hôtes et clients ».