Publié le 11/10/2019 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
VMware, chef de file en matière de logiciels d’entreprise, présente son rapport annuel sur l’état des technologies pour espaces de travail numériques et sur l’impact qu’elles ont sur les entreprises. L’étude révèle que les sociétés à forte croissance qui investissent dans la “digital employee experience” ont plus de chances d’enregistrer une croissance économique, affichent une culture de travail progressiste, sont en mesure de fidéliser des talents et sont qualifiées de “meilleur employeur” par leurs employés. 3.600 personnes ont participé à l’étude à travers toute la zone EMEA (parmi eux, plus spécifiquement, des professionnels de l’IT et des RH).
Deux-tiers (66%) des personnes ayant répondu à l’enquête dans la zone EMEA indiquent que la flexibilité des outils numériques nécessaires à l’exécution de leur travail a une influence sur leur décision de poser leur candidature à un poste ou de l’accepter. Un bon 70% déclarent que leur employeur actuel devrait s’y atteler davantage.
Toutefois, si les sociétés veulent pouvoir récolter les fruits des technologies pour espace de travail numérique, elles doivent instaurer une meilleure collaboration entre RH et IT qui, ensemble, doivent procurer une meilleure expérience numérique employé. Les employés doivent être mieux informés afin d’éliminer le manque de clarté qui prévaut dans leur esprit à propos de l’identité du service qui est responsable de la mise en oeuvre d’une expérience numérique positive pour les employés. Au niveau EMEA, 49% des employés ne savent en effet pas s’ils doivent s’adresser à l’IT ou au département RH au sujet de cet expérience et 21% indiquent que ce flou est ressenti comme un obstacle à une expérience positive.
L’enquête se penche également sur la manière dont les entreprises qui ont fait l’objet de l’étude et affichent de forts pourcentages de croissance procurent davantage d’instruments d’expérience numérique, notamment un accès à un vaste éventail d’équipements (six en moyenne), d’outils, d’applis et de technologies qui favorisent le travail des employés, par comparaison avec des sociétés qui affichent un moindre taux de croissance (entre trois et quatre). C’est ainsi que, dans la zone EMEA, les entreprises qui connaissent une croissance moins rapide sont peu enclines à faire travailler leurs employés sur leurs propres équipements (37%), à procurer un accès à des applications qui favorisent la productivité dès le premier jour de travail (32%) et à autoriser des applications professionnelles majeures (à l’exception du courriel) sur chaque équipement (55%). Du côté des entreprises qui enregistrent une forte croissance, ces pourcentages atteignent respectivement 75%, 70% et 92%.
En dépit du fait que les personnes ayant répondu à l’enquête identifient différentes personnes comme responsables ultimes de leur expérience numérique, 87% des personnes interrogées, dans l’ensemble de la zone EMEA, en appellent à une meilleure collaboration entre RH et IT. Cela s’explique plus particulièrement par le fait que seulement 21% des employés (EMEA) indiquent que les équipes IT et RH collaborent déjà entre elles et que 8 personnes sur 10, toujours dans la zone EMEA, apprécieraient que les RH se voient octroyer davantage de responsabilité dans la promotion de l’expérience numérique.
« Le discours en matière de transformation numérique se concentre encore trop souvent sur la seule technologie et néglige ainsi un ingrédient majeur de toute stratégie gagnante. A savoir, l’attraction et la rétention des meilleurs talents. Afin de pouvoir mieux faire face à la “guerre des talents”, les entreprises font de plus en plus souvent une priorité de leur expérience employé, cette dernière combinant tout à la fois technologies, style de travail et culture », déclare Bart Coole, directeur Belux chez VMware.
Procurer une meilleure expérience numérique employé joue également un rôle dans les sentiments qu’éprouve le personnel. Les personnes sondées aux Pays-Bas qui indiquaient que leur entreprise leur donne les moyens de travailler à distance dans d’aussi bonnes conditions qu’au bureau sont beaucoup plus souvent enclines à déclarer qu’elles sont fières de leur entreprise, par comparaison avec des personnes interrogées qui travaillent pour des organisations qui ne procurent pas ce genre de liberté (73% contre 25%). Les premères signalent également plus souvent l’existence d’une culture progressiste au sein de l’entreprise (67% contre 32%) et considèrent que leur employeur figure parmi les meilleurs (79% contre 21%) et leur procure un
meilleure équilibre entre vie professionnelle et vie privée (76% contre 24%).
« Il est important de donner la possibilité à nos employés de créer un environnement de travail qui leur convienne réellement », déclare Dirk Eckert, directeur général Individual Solutions and Products chez Deutsche Telekom. « Par le passé, les valeurs traditionnelles qui influençaient la manière dont les gens sélectionnaient une société étaient invariablement un contrat fixe, un bon salaire et des conditions non salariales intéressantes. Désormais, ce sont des critères tels que l’endroit et le type d’équipement avec lequel ils pourront travailler qui gagnent sans cesse en importance, en particulier du côté des jeunes. »
Un tiers des personnes interrogées qui pointent des défis dans l’offre d’une expérience numérique optimale déclarent que le principal obstacle est l’ignorance de ce que les employés désirent réellement. Suivi par le fait que cela ne soit pas perçu comme une priorité économique (20%). Deux-tiers des employés (61%) considèrent que leur voix n’est pas entendue lorsqu’il s’agit de déterminer les outils qu’ils peuvent utiliser pour le travail tandis que 83% des décideurs IT croient au contraire donner droit au chapitre à leurs collaborateurs dans ce registre.
« Les dirigeants qui se sont engagés à améliorer l’expérience employé optent souvent pour un “digital workspace”, un concept dans lequel VMware a joué un rôle de pionnier voici déjà trois ans. Une plate-forme de type “digital workspace” constitue le socle d’une expérience numérique moderne, chose qui revêt beaucoup d’importance aux yeux des employés actuels et futurs et qui procure également d’autres avantages économiques », conclut Bart Coole.
A propos de l’enquête
En mars et avril 2019, 3.600 personnes - 1.800 employés, 900 décideurs IT et 900 décideurs RH - utilisant un ordinateur/équipement connecté sur leur lieu de travail ont été interrogées dans la zone EMEA. Le nombre de personnes interrogées dans les différents pays de la zone EMEA se répartissait comme suit: Royaume-Uni (600), Allemagne (600), France (600), Italie (200), Pays-Bas (200), Russie (200), Pologne (200), Norvège (200), Suède (200), Espagne (200), Emirats Arabes Unis (200) et Arabie saoudite (200). Ces personnes travaillent dans des organisations du secteur public et privé employant au minimum 500 collaborateurs.
Deux-tiers (66%) des personnes ayant répondu à l’enquête dans la zone EMEA indiquent que la flexibilité des outils numériques nécessaires à l’exécution de leur travail a une influence sur leur décision de poser leur candidature à un poste ou de l’accepter. Un bon 70% déclarent que leur employeur actuel devrait s’y atteler davantage.
Toutefois, si les sociétés veulent pouvoir récolter les fruits des technologies pour espace de travail numérique, elles doivent instaurer une meilleure collaboration entre RH et IT qui, ensemble, doivent procurer une meilleure expérience numérique employé. Les employés doivent être mieux informés afin d’éliminer le manque de clarté qui prévaut dans leur esprit à propos de l’identité du service qui est responsable de la mise en oeuvre d’une expérience numérique positive pour les employés. Au niveau EMEA, 49% des employés ne savent en effet pas s’ils doivent s’adresser à l’IT ou au département RH au sujet de cet expérience et 21% indiquent que ce flou est ressenti comme un obstacle à une expérience positive.
L’enquête se penche également sur la manière dont les entreprises qui ont fait l’objet de l’étude et affichent de forts pourcentages de croissance procurent davantage d’instruments d’expérience numérique, notamment un accès à un vaste éventail d’équipements (six en moyenne), d’outils, d’applis et de technologies qui favorisent le travail des employés, par comparaison avec des sociétés qui affichent un moindre taux de croissance (entre trois et quatre). C’est ainsi que, dans la zone EMEA, les entreprises qui connaissent une croissance moins rapide sont peu enclines à faire travailler leurs employés sur leurs propres équipements (37%), à procurer un accès à des applications qui favorisent la productivité dès le premier jour de travail (32%) et à autoriser des applications professionnelles majeures (à l’exception du courriel) sur chaque équipement (55%). Du côté des entreprises qui enregistrent une forte croissance, ces pourcentages atteignent respectivement 75%, 70% et 92%.
En dépit du fait que les personnes ayant répondu à l’enquête identifient différentes personnes comme responsables ultimes de leur expérience numérique, 87% des personnes interrogées, dans l’ensemble de la zone EMEA, en appellent à une meilleure collaboration entre RH et IT. Cela s’explique plus particulièrement par le fait que seulement 21% des employés (EMEA) indiquent que les équipes IT et RH collaborent déjà entre elles et que 8 personnes sur 10, toujours dans la zone EMEA, apprécieraient que les RH se voient octroyer davantage de responsabilité dans la promotion de l’expérience numérique.
« Le discours en matière de transformation numérique se concentre encore trop souvent sur la seule technologie et néglige ainsi un ingrédient majeur de toute stratégie gagnante. A savoir, l’attraction et la rétention des meilleurs talents. Afin de pouvoir mieux faire face à la “guerre des talents”, les entreprises font de plus en plus souvent une priorité de leur expérience employé, cette dernière combinant tout à la fois technologies, style de travail et culture », déclare Bart Coole, directeur Belux chez VMware.
Procurer une meilleure expérience numérique employé joue également un rôle dans les sentiments qu’éprouve le personnel. Les personnes sondées aux Pays-Bas qui indiquaient que leur entreprise leur donne les moyens de travailler à distance dans d’aussi bonnes conditions qu’au bureau sont beaucoup plus souvent enclines à déclarer qu’elles sont fières de leur entreprise, par comparaison avec des personnes interrogées qui travaillent pour des organisations qui ne procurent pas ce genre de liberté (73% contre 25%). Les premères signalent également plus souvent l’existence d’une culture progressiste au sein de l’entreprise (67% contre 32%) et considèrent que leur employeur figure parmi les meilleurs (79% contre 21%) et leur procure un
meilleure équilibre entre vie professionnelle et vie privée (76% contre 24%).
« Il est important de donner la possibilité à nos employés de créer un environnement de travail qui leur convienne réellement », déclare Dirk Eckert, directeur général Individual Solutions and Products chez Deutsche Telekom. « Par le passé, les valeurs traditionnelles qui influençaient la manière dont les gens sélectionnaient une société étaient invariablement un contrat fixe, un bon salaire et des conditions non salariales intéressantes. Désormais, ce sont des critères tels que l’endroit et le type d’équipement avec lequel ils pourront travailler qui gagnent sans cesse en importance, en particulier du côté des jeunes. »
Un tiers des personnes interrogées qui pointent des défis dans l’offre d’une expérience numérique optimale déclarent que le principal obstacle est l’ignorance de ce que les employés désirent réellement. Suivi par le fait que cela ne soit pas perçu comme une priorité économique (20%). Deux-tiers des employés (61%) considèrent que leur voix n’est pas entendue lorsqu’il s’agit de déterminer les outils qu’ils peuvent utiliser pour le travail tandis que 83% des décideurs IT croient au contraire donner droit au chapitre à leurs collaborateurs dans ce registre.
« Les dirigeants qui se sont engagés à améliorer l’expérience employé optent souvent pour un “digital workspace”, un concept dans lequel VMware a joué un rôle de pionnier voici déjà trois ans. Une plate-forme de type “digital workspace” constitue le socle d’une expérience numérique moderne, chose qui revêt beaucoup d’importance aux yeux des employés actuels et futurs et qui procure également d’autres avantages économiques », conclut Bart Coole.
A propos de l’enquête
En mars et avril 2019, 3.600 personnes - 1.800 employés, 900 décideurs IT et 900 décideurs RH - utilisant un ordinateur/équipement connecté sur leur lieu de travail ont été interrogées dans la zone EMEA. Le nombre de personnes interrogées dans les différents pays de la zone EMEA se répartissait comme suit: Royaume-Uni (600), Allemagne (600), France (600), Italie (200), Pays-Bas (200), Russie (200), Pologne (200), Norvège (200), Suède (200), Espagne (200), Emirats Arabes Unis (200) et Arabie saoudite (200). Ces personnes travaillent dans des organisations du secteur public et privé employant au minimum 500 collaborateurs.