Dell Technologies et VMware dévoilent comment les entreprises peuvent se préparer au « travail de demain »
Publié le 18/07/2019 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Bruxelles, le 18 juillet 2019 - Dell Technologies et VMware ont présenté les résultats d’une enquête réalisée avec IDC « Becoming “ Future of Work” Ready: Follow the Leaders », également financée par Dell Technologies et VMware. L’étude analyse l’adoption des dernières innovations technologiques en date par les entreprises européennes, et montre que 29 % seulement des organisations ont mis en place une stratégie dédiée au travail de demain (une approche holistique et intégrée visant à mettre à la disposition des entreprises et de leurs salariés des innovations et des concepts de pointe pour soutenir leurs activités).
L’enquête rassemble les témoignages d’employés à plein temps travaillant pour de petites, moyennes et grandes entreprises en République tchèque, en France, en Allemagne, en Italie, en Pologne, en Espagne et au Royaume-Uni. Pour les entreprises préparant au travail de demain (« Future of Work determined organisations », ou FDO : entreprises ayant déjà mis en place une stratégie pour le travail de demain), l’initiative la plus déployée (50 %) concerne la création de programmes de formation pour donner à tous les salariés les dernières compétences digitales essentielles. Près de la moitié de ces FDO considèrent la productivité de leurs collaborateurs comme un facteur clé de la transformation de leur organisation.
Cependant, préparer l’entreprise au travail de demain ne repose pas simplement sur l’amélioration des compétences digitales : il concerne également l’environnement de travail proprement dit. 46 % des participants affirment que leur entreprise a lancé une initiative de réagencement des espaces en faveur d’une approche de travail plus efficace. La France s’impose comme une pionnière dans ce domaine, avec plus de la moitié des interrogés indiquant avoir lancé des travaux de rénovation.
Face à l’évolution continue des styles de travail, les FDO s’adaptent progressivement : 48 % des sociétés européennes ont mis en place des politiques en phase avec les approches actuelles comme les horaires flexibles et le télétravail. Le Royaume-Uni est en tête de file, avec deux tiers des entreprises britanniques impliquées et engagées dans des initiatives qui répondent à l’évolution des besoins de leurs salariés.
« De nombreuses sociétés ont adopté une approche holistique du travail de demain : leur réussite témoigne bien de l’importance de ce type d’initiative vis-à-vis des professionnels d’aujourd’hui. Nous encourageons fortement les entreprises européennes à mettre en place des stratégies similaires, déclare Therese Cooney, vice-présidente directrice du groupe Client Solutions chez Dell Technologies. L’environnement de travail de demain ne doit pas seulement répondre aux besoins de l’entreprise : il doit être en phase avec les attentes des salariés. Les organisations doivent proposer à leurs collaborateurs des compétences digitales, des technologies et des dispositifs de sécurité efficaces, au sein d’une structure propice à leur perfectionnement et à leur réussite via la collaboration, la productivité et la flexibilité. »
« Les attentes des professionnels en recherche d’emploi pour leur prochaine entreprise sont plus élevées que jamais : il incombe donc aux sociétés de transformer leur environnement pour pouvoir attirer, retenir et encourager les meilleurs talents, ajoute Kristine Dahl Steidel, vice-présidente de la division End User Computing pour VMware EMEA. Les salariés jouent un rôle clé dans la transformation digitale qui façonne le travail de demain. Dans ce contexte, les entreprises qui proposent une expérience stimulant la flexibilité, la mobilité et la productivité parviennent à améliorer leur performance et leur réussite globales. »
Principaux résultats de l’enquête
La sécurité reste un enjeu prioritaire pour les entreprises européennes en raison des lois telles que le Règlement général sur la protection des données (RGPD). Globalement, plus d’un tiers des entreprises affirment que la confidentialité et la gouvernance de la sécurité représentent les deux principaux enjeux de l’innovation dans leur environnement de travail. Les participants signalent également que les systèmes IT redondants affectent l’intégration des nouvelles technologies (30 %). Si les investissements technologiques peuvent être intimidants au premier abord, l’utilisation de solutions inefficaces peut augmenter les risques de sécurité et de piratage des données de l’entreprise ou des clients.
L’écart générationnel contribue également à la lenteur de la préparation au travail de demain pour les entreprises européennes. Ces dernières emploient généralement 38 % de professionnels de la génération Y, 35 % de la génération X et 7 % de la génération Z. En raison de cette mixité, les taux d’adoption sont souvent freinés par les conflits intergénérationnels et les attentes multigénérationnelles des salariés (29 %). Pour surmonter ces difficultés, les entreprises peuvent commencer par en identifier les causes profondes, qu’il s’agisse par exemple d’un manque de formation ou de réticences face à la nouveauté.
Les technologies intelligentes qui automatisent les tâches aident les salariés à tirer pleinement parti de leur potentiel. Les FDO en sont bien conscientes, avec plus de la moitié des interrogés indiquant avoir mis en place des assistants digitaux intelligents et près d’un quart des répondants affirmant utiliser ou avoir prévu d’utiliser des fonctions back-office basées sur l’IA. Si le déploiement de ces technologies peut nécessiter des formations supplémentaires pour les employés, les sessions peuvent être suivies en ligne sur différents supports (mobile, vidéo, etc.) ou organisées entre pairs.
Dans le cadre de l’évolution de leur environnement de travail, les FDO ont pris conscience de l’importance des ressources dédiées pour le développement global de leur organisation. Un quart d’entre elles ont mis en place un budget de transformation global pour garantir le bon déroulement de leurs initiatives. Malheureusement, plus d’un quart des interrogés indiquent utiliser le budget fourni par leur service IT.
Si cette approche n’est pas nécessairement problématique, les entreprises doivent accorder à la transformation digitale l’importance qu’elle mérite en l’intégrant à leurs stratégies de réussite globales, pour éviter tout risque d’abandon en cours de route.
Les politiques de travail flexible sont très importantes aux yeux des professionnels d’aujourd’hui, car elles permettent de conserver un bon équilibre vie professionnelle/vie privée par le biais de l’innovation technologique. 2 % seulement des salariés européens trouvent que leurs entreprises ne s’attendent à aucune amélioration notable en proposant des mesures flexibles, contre 57 % d’interrogés souhaitant améliorer la productivité et 56 % cherchant à garantir la satisfaction de leurs équipes. Le déploiement de ces programmes d’équilibre vie professionnelle/vie privée peut non seulement contribuer à l’amélioration du bien-être global des employés, mais aussi améliorer la rétention : 46 % des participants affirment d’ailleurs qu’il s’agit là d’un avantage clé.
En parallèle, les FDO devraient continuer de déployer et de développer des mises à niveau technologiques pour proposer à leurs équipes des solutions de travail en phase avec leurs attentes. Les plates-formes Cloud (54 %), les logiciels de sécurité pour mobile (49 %) et l’accès mobile aux outils (39 %) s’imposent donc comme des initiatives essentielles pour stimuler la productivité des salariés, selon les FDO participantes.
De plus, les plates-formes Cloud offrant de nombreux avantages peuvent faciliter la gestion des appareils et l’évolutivité des capacités pour les entreprises en pleine expansion.
L’enquête rassemble les témoignages d’employés à plein temps travaillant pour de petites, moyennes et grandes entreprises en République tchèque, en France, en Allemagne, en Italie, en Pologne, en Espagne et au Royaume-Uni. Pour les entreprises préparant au travail de demain (« Future of Work determined organisations », ou FDO : entreprises ayant déjà mis en place une stratégie pour le travail de demain), l’initiative la plus déployée (50 %) concerne la création de programmes de formation pour donner à tous les salariés les dernières compétences digitales essentielles. Près de la moitié de ces FDO considèrent la productivité de leurs collaborateurs comme un facteur clé de la transformation de leur organisation.
Cependant, préparer l’entreprise au travail de demain ne repose pas simplement sur l’amélioration des compétences digitales : il concerne également l’environnement de travail proprement dit. 46 % des participants affirment que leur entreprise a lancé une initiative de réagencement des espaces en faveur d’une approche de travail plus efficace. La France s’impose comme une pionnière dans ce domaine, avec plus de la moitié des interrogés indiquant avoir lancé des travaux de rénovation.
Face à l’évolution continue des styles de travail, les FDO s’adaptent progressivement : 48 % des sociétés européennes ont mis en place des politiques en phase avec les approches actuelles comme les horaires flexibles et le télétravail. Le Royaume-Uni est en tête de file, avec deux tiers des entreprises britanniques impliquées et engagées dans des initiatives qui répondent à l’évolution des besoins de leurs salariés.
« De nombreuses sociétés ont adopté une approche holistique du travail de demain : leur réussite témoigne bien de l’importance de ce type d’initiative vis-à-vis des professionnels d’aujourd’hui. Nous encourageons fortement les entreprises européennes à mettre en place des stratégies similaires, déclare Therese Cooney, vice-présidente directrice du groupe Client Solutions chez Dell Technologies. L’environnement de travail de demain ne doit pas seulement répondre aux besoins de l’entreprise : il doit être en phase avec les attentes des salariés. Les organisations doivent proposer à leurs collaborateurs des compétences digitales, des technologies et des dispositifs de sécurité efficaces, au sein d’une structure propice à leur perfectionnement et à leur réussite via la collaboration, la productivité et la flexibilité. »
« Les attentes des professionnels en recherche d’emploi pour leur prochaine entreprise sont plus élevées que jamais : il incombe donc aux sociétés de transformer leur environnement pour pouvoir attirer, retenir et encourager les meilleurs talents, ajoute Kristine Dahl Steidel, vice-présidente de la division End User Computing pour VMware EMEA. Les salariés jouent un rôle clé dans la transformation digitale qui façonne le travail de demain. Dans ce contexte, les entreprises qui proposent une expérience stimulant la flexibilité, la mobilité et la productivité parviennent à améliorer leur performance et leur réussite globales. »
Principaux résultats de l’enquête
La sécurité reste un enjeu prioritaire pour les entreprises européennes en raison des lois telles que le Règlement général sur la protection des données (RGPD). Globalement, plus d’un tiers des entreprises affirment que la confidentialité et la gouvernance de la sécurité représentent les deux principaux enjeux de l’innovation dans leur environnement de travail. Les participants signalent également que les systèmes IT redondants affectent l’intégration des nouvelles technologies (30 %). Si les investissements technologiques peuvent être intimidants au premier abord, l’utilisation de solutions inefficaces peut augmenter les risques de sécurité et de piratage des données de l’entreprise ou des clients.
L’écart générationnel contribue également à la lenteur de la préparation au travail de demain pour les entreprises européennes. Ces dernières emploient généralement 38 % de professionnels de la génération Y, 35 % de la génération X et 7 % de la génération Z. En raison de cette mixité, les taux d’adoption sont souvent freinés par les conflits intergénérationnels et les attentes multigénérationnelles des salariés (29 %). Pour surmonter ces difficultés, les entreprises peuvent commencer par en identifier les causes profondes, qu’il s’agisse par exemple d’un manque de formation ou de réticences face à la nouveauté.
Les technologies intelligentes qui automatisent les tâches aident les salariés à tirer pleinement parti de leur potentiel. Les FDO en sont bien conscientes, avec plus de la moitié des interrogés indiquant avoir mis en place des assistants digitaux intelligents et près d’un quart des répondants affirmant utiliser ou avoir prévu d’utiliser des fonctions back-office basées sur l’IA. Si le déploiement de ces technologies peut nécessiter des formations supplémentaires pour les employés, les sessions peuvent être suivies en ligne sur différents supports (mobile, vidéo, etc.) ou organisées entre pairs.
Dans le cadre de l’évolution de leur environnement de travail, les FDO ont pris conscience de l’importance des ressources dédiées pour le développement global de leur organisation. Un quart d’entre elles ont mis en place un budget de transformation global pour garantir le bon déroulement de leurs initiatives. Malheureusement, plus d’un quart des interrogés indiquent utiliser le budget fourni par leur service IT.
Si cette approche n’est pas nécessairement problématique, les entreprises doivent accorder à la transformation digitale l’importance qu’elle mérite en l’intégrant à leurs stratégies de réussite globales, pour éviter tout risque d’abandon en cours de route.
Les politiques de travail flexible sont très importantes aux yeux des professionnels d’aujourd’hui, car elles permettent de conserver un bon équilibre vie professionnelle/vie privée par le biais de l’innovation technologique. 2 % seulement des salariés européens trouvent que leurs entreprises ne s’attendent à aucune amélioration notable en proposant des mesures flexibles, contre 57 % d’interrogés souhaitant améliorer la productivité et 56 % cherchant à garantir la satisfaction de leurs équipes. Le déploiement de ces programmes d’équilibre vie professionnelle/vie privée peut non seulement contribuer à l’amélioration du bien-être global des employés, mais aussi améliorer la rétention : 46 % des participants affirment d’ailleurs qu’il s’agit là d’un avantage clé.
En parallèle, les FDO devraient continuer de déployer et de développer des mises à niveau technologiques pour proposer à leurs équipes des solutions de travail en phase avec leurs attentes. Les plates-formes Cloud (54 %), les logiciels de sécurité pour mobile (49 %) et l’accès mobile aux outils (39 %) s’imposent donc comme des initiatives essentielles pour stimuler la productivité des salariés, selon les FDO participantes.
De plus, les plates-formes Cloud offrant de nombreux avantages peuvent faciliter la gestion des appareils et l’évolutivité des capacités pour les entreprises en pleine expansion.