Publié le 22/05/2019 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Zaventem, le 22 mai 2019 - À l’occasion de Vivatech 2019, Atos à dévoilé le Top 30 la consommation énergétique des applications mobiles les plus populaires dans le monde, dans une étude menée par la startup Greenspector. De plus en plus gourmandes en ressources techniques (RAM, CPU, Data, …), les applications mobiles utilisées par 5 milliards d’utilisateurs de mobiles dans le monde ont un impact croissant sur la consommation énergétique et l’environnement.
Les applications mobiles consomment autant d’énergie que l’Irlande
Si les datacenters sont souvent pointés du doigt dans l’émission de gaz à effet de serre du secteur numérique (qui représentera près de 10% des émissions sur la planète d’ici 2025), les applications mobiles ne sont pas en reste comme le démontre l’étude menée par Greenspector pour Atos : la projection des consommations annuelles des applications mobiles (hors utilisation des réseaux et des serveurs des datacenters) équivaut à 20 térawatts-heure, soit quasiment l’équivalent de la consommation annuelle en électricité d’un pays comme l’Irlande (5 millions d’habitants).
Les applis de réseaux sociaux consomment jusqu’à 4 fois plus d’énergie
Mails, messages, réseaux sociaux, navigateurs, etc., 7 catégories comprenant chacune 5 applications ont été mesurées à conditions identiques Parmi ces catégories, la navigation web et les réseaux sociaux sont en moyenne plus consommateurs que les jeux ou les applications multimédia. Le rapport serait même de 1 pour 4 entre la consommation des applications entre les moins et les plus énergivores.
Gagner jusqu’à un tiers d’autonomie sur mobile
L’amélioration sensible de la sobriété des applications mobiles pourrait avoir rapidement des conséquences très positives sur les impacts écologiques. Si la moyenne des applications était positionnée sur la meilleure application mesuréve de sa catégorie, la consommation énergétique pourrait être réduite de 6TWh, soit l’équivalent d’une tranche nucléaire. Au niveau des utilisateurs, une meilleure consommation énergétique des applications permettrait d’augmenter d’1/3 l’autonomie des smartphones.
Un partenariat unique entre Atos et Greenspector pour réduire la consommation énergétique des smartphones
Travaillant conjointement à l'éco-conception de solutions logicielles, Atos et Greenspector nouent à l’occasion de la publication de ce rapport un partenariat pour intégrer la contrainte environnementale dès la création des applications mobiles et présentent le premier outil accessible dans le cloud pour mesurer la consommation énergétique des applications, sites web et bientôt de l’IoT.
« Avec ce partenariat, Atos dispose d’une solution industrielle qui intègre un système de mesure à sa plateforme de conception pour diminuer les ressources énergétiques utilisées tout en offrant des gains de performance et des temps de réponse améliorés pour l’utilisateur final » explique Steve Péguet, Directeur Innovation d'Atos France.
« La consommation des smartphones (incluant la phase d’usage et la phase de fabrication) représente 11% de la consommation d’énergie du numérique selon le Shiftproject. On accuse souvent le smartphone de ne pas tenir l’autonomie or ce sont les applications installées sur le smartphone qui consomment et dégradent sa capacité de batterie dans le temps » précise Thierry Leboucq, président de Greenspector.
Les applications mobiles consomment autant d’énergie que l’Irlande
Si les datacenters sont souvent pointés du doigt dans l’émission de gaz à effet de serre du secteur numérique (qui représentera près de 10% des émissions sur la planète d’ici 2025), les applications mobiles ne sont pas en reste comme le démontre l’étude menée par Greenspector pour Atos : la projection des consommations annuelles des applications mobiles (hors utilisation des réseaux et des serveurs des datacenters) équivaut à 20 térawatts-heure, soit quasiment l’équivalent de la consommation annuelle en électricité d’un pays comme l’Irlande (5 millions d’habitants).
Les applis de réseaux sociaux consomment jusqu’à 4 fois plus d’énergie
Mails, messages, réseaux sociaux, navigateurs, etc., 7 catégories comprenant chacune 5 applications ont été mesurées à conditions identiques Parmi ces catégories, la navigation web et les réseaux sociaux sont en moyenne plus consommateurs que les jeux ou les applications multimédia. Le rapport serait même de 1 pour 4 entre la consommation des applications entre les moins et les plus énergivores.
Gagner jusqu’à un tiers d’autonomie sur mobile
L’amélioration sensible de la sobriété des applications mobiles pourrait avoir rapidement des conséquences très positives sur les impacts écologiques. Si la moyenne des applications était positionnée sur la meilleure application mesuréve de sa catégorie, la consommation énergétique pourrait être réduite de 6TWh, soit l’équivalent d’une tranche nucléaire. Au niveau des utilisateurs, une meilleure consommation énergétique des applications permettrait d’augmenter d’1/3 l’autonomie des smartphones.
Un partenariat unique entre Atos et Greenspector pour réduire la consommation énergétique des smartphones
Travaillant conjointement à l'éco-conception de solutions logicielles, Atos et Greenspector nouent à l’occasion de la publication de ce rapport un partenariat pour intégrer la contrainte environnementale dès la création des applications mobiles et présentent le premier outil accessible dans le cloud pour mesurer la consommation énergétique des applications, sites web et bientôt de l’IoT.
« Avec ce partenariat, Atos dispose d’une solution industrielle qui intègre un système de mesure à sa plateforme de conception pour diminuer les ressources énergétiques utilisées tout en offrant des gains de performance et des temps de réponse améliorés pour l’utilisateur final » explique Steve Péguet, Directeur Innovation d'Atos France.
« La consommation des smartphones (incluant la phase d’usage et la phase de fabrication) représente 11% de la consommation d’énergie du numérique selon le Shiftproject. On accuse souvent le smartphone de ne pas tenir l’autonomie or ce sont les applications installées sur le smartphone qui consomment et dégradent sa capacité de batterie dans le temps » précise Thierry Leboucq, président de Greenspector.